La crise qui sévit au sein de la communauté musulmane de Banfora connaît de nouveaux développements. Cette fois, c'est le chef de canton de Banfora, sa Majesté Yoyé Héma, qui est dans le viseur. Se sentant donc accusé de xénophobie dans le choix de l'imam central de Banfora, le chef de canton nous a invités à son palais le 11 juin 2017, pour apporter un démenti qu'il veut formel. Selon Yoyé Héma qui, à l'occasion, était entouré de ses notables et proches collaborateurs, Banfora, la cité du Paysan noir, a toujours été une terre d'hospitalité. Nous vous proposons in extenso la réaction de sa Majesté.
La crise qui sévissait au sein de la communauté musulmane de Banfora depuis quelques mois connaît une fin heureuse, depuis ce 11 janvier 2018. En effet, un accord trouvé entre les deux parties protagonistes, sous l'égide du président du Conseil régional (PCR) des Cascades, N'Gollo Drissa Ouattara, a permis l'installation ce jour même de Ibrahim Sagnon comme président des imams de la Comoé. Le même accord maintient Amadou Sanogo, qui assurait l'intérim du grand imam, au poste d'imam de la mosquée du secteur 2.
Suite aux différentes activités menées par les partisans de l'Imam Sayouba au sujet de la crise actuelle qui secoue le mouvement sunnite (publication d'écrits et Conférence de presse), qualifiées de Campagnes de désinformation et d'agression par le Bureau National dudit mouvement, ce dernier est monté au créneau dimanche 6 octobre 2002 pour, dit-il, rétablir les faits dans leur véracité. C'était dans la 4e mosquée Sunnite de Ouagadougou sise à Pissy, au secteur 17.
On avait cru à la fin de la crise ébranlant la communauté musulmane de Natitingou avec l’intronisation le 10 juillet dernier de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, par l’Union islamique du Bénin. Mais c’est sans compter avec le refus de son adversaire Alaza Ibrahim d’abdiquer. Vendredi 22 juillet dernier, la Cité des Nanto a frôlé les échauffourées avec la tentative des partisans de ce dernier de tenir la traditionnelle séance de prières dans l’ancienne mosquée centrale de la ville.
De nouveaux rebondissements dans la crise qui agite la communauté musulmane dans le processus de désignation de l’imam de la mosquée centrale de la ville. En dépit de l’arrêté préfectoral appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l’installation d’imam, les populations sont allées enlever de force les portes des ancienne et nouvelle mosquées restées fermées jusque-là, samedi 2 juillet dernier pour les traditionnelles séances de prières.
On avait cru à la fin de la crise ébranlant la communauté musulmane de Natitingou avec l’intronisation le 10 juillet dernier de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, par l’Union islamique du Bénin. Mais c’est sans compter avec le refus de son adversaire Alaza Ibrahim d’abdiquer. Vendredi 22 juillet dernier, la Cité des Nanto a frôlé les échauffourées avec la tentative des partisans de ce dernier de tenir la traditionnelle séance de prières dans l’ancienne mosquée centrale de la ville.
Les deux camps qui se disputent la présidence de l’association Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF) ont été reçus, le 11 septembre 2020, par le Médiateur du Faso, Saran Séré/Sérémé. Après cette rencontre, la crise semble être un vieux souvenir. C’est ce qu’ont laissé entrevoir les parties au sortir de l’entretien.
Jusque-là, imam intérimaire depuis le décès de Bâ Ouattara, El Hadj Amadou Sanogo a été officiellement fait imam de la grande mosquée de Banfora, le 27 janvier 2018. La cérémonie d'installation s'est déroulée en présence de plusieurs fidèles venus être témoins d'un événement que d'aucuns voulaient voir avorté.
Le bureau national du Mouvement sunnite du Burkina a donné une conférence de presse le 6 octobre 2002 à sa mosquée du vendredi sise secteur 17 de Ouagadougou.Cette rencontre avec les journalistes avait pour objectif, selon ses organisateurs, d'établir la vérité des faits par rapport à la crise que vit depuis longtemps le Mouvement sunnite de notre pays.
Le vendredi 13 juin 1986 marquera d'une pierre blanche la vie de la communauté musulmane de notre pays. Ce jour là en effet, le président du CNR. président du Faso, le capitaine Thomas Sankara recevait une forte délégation de la communauté, toutes tendances confondues. Il était aux environs de 11h20.
La guerre de succession a commencé au sein de la communauté musulmane de Porto-Novo à propos de la succession de l’Imam central de la ville en la personne du fe
Le malheureux incident intervenu au sein du Mouvement sunite du Burkina Faso autour de l'ouverture d'une nouvelle mosquée et qui a divisé la confession sunite en deux a connu son épilogue mardi dernier en fin de soirée. Le fait que le ministère des Affaires étrangères ait abrité la cérémonie de cette réconciliation pourrait prêter à confusion. Mais fait-on remarquer, c'est dans ce ministère que siège le Comité national d'organisation du pélerinage à La Mecque.
L'opinion burkinabè, ouagavilloise en particulier sait que rien ne va plus chez les musulmans sunnites du Burkina ; et ce, depuis plusieurs mois. Une crise qui avait même tourné à l'affrontement entre fidèles à la grande mosquée sunnite et siège de cette communauté au secteur 5 de Ouagadougou, entraînant l'intervention sur les lieux des forces de l'ordre et la mise sous scellé des bureaux du mouvement. Depuis lors, la crise sunnite demeure, de même que, la tension persiste à la grande mosquée “Wahabite". L'unité du mouvement en a pris un sérieux coup, et la déchirure est réelle.
A la suite d’une séance de prière organisée hier jeudi 1er septembre 2016 à la mosquée centrale de Zogbohouè, les responsables de la Fondation Malèhossou et plusieurs autres fidèles musulmans ont échangé avec la presse. Ils soutiennent que la cherté de la vie et l’amenuisement du panier de la ménagère ne sont pas imputables au régime actuel, dirigé par Patrice Talon. Ils ont saisi l’occasion pour se prononcer sur la crise universitaire et la suspension des activités de la société Sttb.
Le climat politique reste délétère dans la commune de Doumbala. Si l'installation du maire Marc Dombwa, élu sous la bannière du CDP le 15 mars 2013 n'a pas encore eu lieu, c'est parce qu'il est contesté par une partie de la population pour n'avoir pas été le candidat proposé par la sous-section du CDP/Doumbala.
Si le colon opère chez nous, en Libye par exemple, au motif que le Nègre, le Corse, l'Arabe est barbare, pourquoi n'opérerions-nous pas chez lui, au motif qu'il l'est encore plus ? Qui détermine quelle est la norme de la barbarie et pourquoi ? Le plus fort ? Sous quel motif valide ? Selon quels intérêts ?
A Ouarégou, village situé dans la commune rurale de Béguédo, à environ 30 km de Tenkodogo chef-lieu de la province du Boulgou, une crise oppose des musulmans de deux confréries.
A Ouarégou, village situé dans la commune rurale de Béguédo, à environ 30 km de Tenkodogo chef-lieu de la province du Boulgou, une crise oppose des musulmans de deux confréries.
Au Bénin, la Covid-19 passe pour un défi quotidien dans le rang des confessions religieuses. Tout en rivalisant d’ingéniosité, elles placent leur foi en Dieu pour conjurer ce sort qui éprouve le monde en perte de repère. Elles retiennent toutefois de l’avènement de ce virus, un message divin à l’humanité dont la crainte de Dieu laisse encore des questionnements.
Après le clergé catholique et les méthodistes, le chef de l’Etat a reçu en audience hier jeudi l’Union Islamique du Bénin. La délégation a abordé avec Patrice Talon, la situation socio-politique actuelle.
Le président sortant de l’association Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF), El hadj Abdou Rasmané Sana, nous a accordé une interview hier, 25 juin 2020, sur la crise que traverse cette structure depuis deux ans.
Résidant à Ouagadougou, le cheik Ahmado Sawadogo a effectué un déplacement à Barsalogho, commune rurale de la province du Sanmatenga, le 15 septembre 2019. Le retour au bercail de ce natif de la localité a été marqué par des visites de courtoisie à des autorités administratives, sécuritaires et coutumières locales, une séance de prières pour la paix dans une mosquée et un don de vivres et d'un forage d'eau au profit des personnes déplacées internes de la commune.
La gestion d'une crise sociale, politique, économique ou autre n'est pas une chose aisée. Sans un minimum de pondération, de sens de la responsabilité, il est souvent difficile de trouver le remède qui convient. A la lumière de la crise universitaire et de la tourmente à la mosquée de Gourcy, l'auteur des lignes ci-dessous estime que leur gestion par les autorités n'a pas été heureuse. D'où des propositions de bonne gestion qu'il fait à qui de droit.
Le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou s’est exprimé, mardi 31 octobre 2023, sur la question de la limitation des naissances au Bénin. Le chef du parlement estime que les chrétiens et musulmans sont sur la même longueur d'onde.