Le président sortant de la Communauté musulmane du Burkina Faso(CMBF), Rasmané Sana, a animé, le samedi 13 mars 2021 à Ouagadougou, un point de presse, sur la crise qui secoue leur organisation.
A l’initiative du Médiateur du Faso, les acteurs de la crise de leadership au sein de la communauté musulmane se sont rencontrés, le vendredi 11 septembre 2020 à Ouagadougou. A l’issue des échanges, ils se sont engagés à taire leurs divergences pour un retour à la paix.
Ceci est une lettre ouverte de Dr Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso autrement, ancien ministre des Affaires étrangères et "sympathisant" de la Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF). L’auteur de la lettre voit dans cette crise la complicité de forces externes dans l’objectif de s’accaparer de la direction de la CMBF et de contrôler ainsi la Communauté musulmane. Et quand il parle de forces externes, il dénonce explicitement une "immixtion flagrante" du gouvernement dans la gestion du CMBF.
Au cours d’une conférence de presse, ce lundi 17 mai 2021, le président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, parti au pouvoir), Simon Compaoré, a réagi à la lettre ouverte du président de Le Faso autrement (parti de l’opposition), Dr Ablassé Ouédraogo, publiée la veille et qui accuse le gouvernement de « dynamique dangereuse de politisation, et une tentative de récupération politique de la Communauté Musulmane du Burkina Faso qui sont déplorables et inacceptables ».
Le Bureau exécutif de la communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF) était face à la presse, le vendredi 26 mars 2021 à Ouagadougou, pour faire le bilan de sa transition et exiger de l’administration burkinabè leur récépissé. Cela permettra à la structure de mener ses activités en toute légalité et de consolider les acquis engragés.
Ceci est un appel de l'Association pour la tolérance religieuse et le dialogue interreligieux (ATR/DI) concernant la crise au sein de la communauté musulmane du Burkina Faso.
Le gouverneur des Cascades, Léontine Zagré, a procédé à 16h 21 mn le 25 mai 2017 à la réouverture de la grande mosquée de Banfora fermée suite à une crise entre fidèles musulmans et liée à une affaire de succession. Fermée afin de préserver la paix sociale, cette réouverture intervient après un accord entre les protagonistes qui ont accepté une trêve à cause du mois de jeûne. C'est après cela que pourra intervenir la mise en place des différentes structures.
Le président de la République, Patrice Talon a tenu, mardi 31 octobre 2023, une rencontre avec les protagonistes de la crise à la mosquée centrale de Cadjêhoun et l’Union islamique du Bénin. Cette réunion a permis aux différentes parties de s’entendre sur l’essentiel.
Médiateur mandaté de l’Union islamique du Bénin dans la résolution de la crise à la mosquée centrale de Cadjèhoun à Cotonou, El- Hadj Malèhossou apprend que le pouvoir et l’argent sont à l’origine de la guéguerre. Invité d’Actu Matin du 06 novembre sur Canal 3, il revient sur l’intervention salvatrice du Président Patrice Talon.
Il y a crise de succession à la tête de la mosquée centrale de Sèmèrè, dans le nord-Bénin. Les deux candidats qui se disputent la place sont issus d’une même famille qui a la charge d’assurer cette fonction selon l’ordre de succession établie.
Le président de la communauté musulmane sortant, Abdoul Rasmané Sana, et le président du bureau mis en place à Bobo-Dioulasso, Mahamoudou Bandé, ont « enterré la hache de guerre » chez le Médiateur du Faso, après la prière du vendredi 11 septembre 2020.
Le ministre de l'administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité, Auguste Denise Barry, et son homologue des mines et de l'énergie, Boubakar Bâ, étaient face aux Hommes de médias, dans la soirée de ce jeudi 4 juin 2015 à Ouagadougou. La crise de la mine de True Gold dans le village de Namissiguima et des questions sécuritaires étaient au menu de cette conférence conjointe.
Le début de l’année 2019 a été sanglant à Yirgou, village de la commune de Barsalogho. Suite à l’assassinat du chef et de 5 de ses frères le 1er janvier par des terroristes, des représailles ont eu lieu et les autochtones s’en sont pris à la communauté peulh accusée de complicité dans cette affaire. A la date du 29 janvier 2019, le bilan officiel faisait état de 68 morts et de 19 832 déplacés internes. Face à cet afflux massif, un plan de réponse a été élaboré par le gouvernement en créant des sites d’accueil pour les sans-abris. C’est pour conjurer un tel drame que l’Association Racines pour la promotion et la réhabilitation des traditions orales en partenariat avec les leaders coutumiers, traditionnels et religieux, a initié une journée de réconciliation entre les communautés le samedi 9 février 2019 dans les sites des réfugiés à Barsalogho et à Foubé , suivie d’une prise d’engagements fermes à Korko.
Le samedi 25 septembre dernier, le Cadre de concertation des confessions religieuses (CCCR) a procédé à l'élection des membres de son conseil d'administration et du bureau à Porto-Novo. C'est l'Imam Mohamed Assifatou qui a été porté à la tête de cette organisation. Visiblement son élection n'est pas acceptée par tous. En effet, le président national des Cultes endogènes Dah Gbèdiga Adoko et ses hommes ont manifesté leur désaccord arguant que les textes dudit cadre avaient été violés. Dans un entretien accordé à Reporter Benin Monde, le président national des Cultes endogènes, a clairement fait savoir qu'il revenait à l'organisation qu'il dirige de prendre les rênes du Cadre de concertation des confessions religieuses.
Des démissions sont enregistrées la semaine dernière au sein du Conseil des imams de Parakou minée par une crise de leadership. Les dissidents entendent créer dans un délai proche le Conseil suprême des affaires islamiques qui se veut plus représentatif avec non seulement des imams mais aussi des savants et prédicateurs de l’islam dans la ville. Ce creuset aura pour objectif de « procurer la quiétude à tout le peuple béninois et à celui de Parakou en particulier et ceci, dans le respect des règles établies par le Coran et la Sunan du prophète, loin de tout extrémisme et en respect des lois et de la Constitution républicaines », a annoncé Moussa Aboubakari, porte-parole des démissionnaires, jeudi dernier face à la presse.
Le maire de la commune de Ouahigouya a été auditionné par la commission de vérification du ministère de l'Administration territoriale et de la Décentralisation (MATD), le vendredi 22 octobre dernier à Ouaga.
Président fondateur de l’Association des fidèles musulmans, amis de Patrice Talon (Afimata), El Hadj Yacoubou Malèhosou critique le rôle qu’a joué l’Imam Dicko dans la démission du président Ibrahim Boubacar Kéïta au Mali. C’est dans une interview accordée à Crystal news.
" Mettre fin à la " gestion hasardeuse (…) Eviter à la ville de Porto-Novo de nouveaux éléphants blancs (… ) Défendre des valeurs qu’on a incarné depuis 20 ans(…) Eviter les mêmes erreurs que celles qu’on reproche au régime en place (…)", c’est le combat que mène Me Adrien Houngbédji. Ccette approche est très mal perçu par le Maire de la ville de Porto-Novo qui est à couteau tiré avec l’ensemble de ses conseillés. Cette situation de crise qui fragilise le PRD à l’hotel de ville de Porto-Novo est pour Karim da SILVA, le "sage" FCBE l’occasion rêver pour porter l’estocade à Adrien HOUNGBEDJI, Pt du PRD.
Les contestataires du nouveau bureau exécutif de la Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF) élu en juin 2015 à Fada N'gourma, ont organisé une conférence de presse le 2 août 2015 à Ouagadougou pour, disent-ils, dénoncer non seulement l'irrégularité dans laquelle s'est tenue le Congrès, mais aussi lancer un appel sur l'urgence de rétablir l'ordre statutaire au sein de la pionnière des organisations islamiques au Burkina.
Dans notre édition du lundi 1er août 2016, nous rendions compte de la conférence de presse que des fidèles musulmans ont animée à propos de la crise au sein de la communauté musulmane. Dès le lendemain, nous avons reçu le droit de réponse que voici, du Conseil national de la communauté musulmane du Burkina Faso, qui estime qu'il n'en est rien. Selon lui, "le linge sale doit se laver en famille", comme le dit l'adage. Lisez plutôt !
Les membres du groupe des membres du comité exécutif et du bureau national ayant demandé le report du congrès de la Communauté musulmane du Burkina Faso ont animé une conférence de presse le 30 juillet 2016 à Ouagadougou, pour interpeller les autorités par rapport à la crise qui prévaut actuellement au sein de la communauté musulmane burkinabè.
Le président sortant de la Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF), Rasmané Sana, a animé un point de presse, le samedi 25 juillet 2020, à Ouagadougou. Il a dénoncé le refus de dialogue de ses coreligionnaires pour une sortie de crise.
La coordination des jeunes musulmans du Burkina Faso (CJMB) a organisé le mardi 14 juillet 2020 à la salle de conférence du conseil burkinabè des chargeurs (CBC) une conférence de presse. L’ordre du jour de cette rencontre avec les Hommes de médias a porté sur la médiation que ladite coordination a entreprit pour la résolution de la crise au sein de la communauté musulmane.
La guerre de succession au sein de la communauté musulmane vient de franchir une nouvelle étape avec ce qui est arrivé le week-end dernier à Ouagadougou.