Le conseil des ministres s'est tenu le mercredi 29 avril 2009 en séance ordinaire à partir de 09 heures 00 sous la présidence de Son Excellence, Monsieur Blaise COMPAORE, Président du Faso, Président du conseil des ministres. Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu des communications orales, autorisé des missions à l'étranger et procédé à des nominations.
Le conseil des ministres s'est tenu le 11 septembre 2013 en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 15 H 10 mn sous la présidence de Son Excellence Monsieur Blaise COMPAORE, Président du Faso, Président du conseil des ministres.
Le Conseil des ministres s’est réuni ce jeudi 24 mai 2018, sous la présidence de monsieur Patrice Talon, président de la République, chef de l’Etat, chef du gouvernement. Les dossiers ci-après ont été examinés au cours de la séance :
Le conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 28 mars 2018 sous la présidence du président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré. Des dossiers de fond ont été examiné lors dudit conseil dont trois évoqués par le porte-parole du gouvernement, Rémis Fulgance Dandjinou.
Le Conseil des Ministres s’est tenu ce 14 octobre 2015 en présence de la quasi-totalité des membres du gouvernement. Au nombre des dossiers inscrits à l’Ordre du jour, on note le choix de la date des élections législatives et présidentielle et l’institution du deuil national en hommage des pèlerins burkinabè décédés à la Mecque. Le Gouvernement a également créé un Fonds de soutien à la culture et au tourisme et décidé de relancer les négociations dans la crise à la mine de Tambao.
Le Conseil des ministres s'est tenu à Ouagadougou, le mercredi 30 novembre 2016, en séance ordinaire, de 09h 45 mn à 14h 00 mn, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres. Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu une communication orale, procédé à des nominations, et autorisé des missions à l'étranger.
Le Conseil des ministres a tenu sa réunion hebdomadaire, hier, à Cotonou, sous la présidence du camarade lieutenant-colonel Mathieu Kérékou, chef de l'Etat.
Le Conseil islamique burkinabè (CIB) a tenu sa deuxième assemblée générale ordinaire (AGO) les 30 avril et 1er mai 2004 sur le thème "Islam et santé". A l'issue de cette AGO, l'ancien bureau dirigé par El hadj Harouna Sana a été reconduit pour un mandat de 5 ans.
Vendredi dernier, secteur 28 de Ouagadougou, Dassasgo) à la zone 6 exactement, a eu une cérémonie inaugurale d'une mosquée. La cérémonie, qui a connu la présence effective du représentant du ministre de l'administration territoriale et de Sécurité, du maire de la commune de Bogodogo est une importance capitale pour les fidèles du Conseil islamique burkinabè (CIB). Désormais, ce sont plusieurs centaines de fidèles qui sont dispensés endurer 3 km chaque vendredi pour prier.
Le lundi 27 décembre 1993 à 10 heures, le parloir de la MACO a servi de cadre à une cérémonie de don du Conseil islamique burkinabè aux détenus de ladite maison.
Le Bureau de l’Association mondiale pour l’appel à l’islam en République du Bénin porte à la connaissance du public qu’à partir du Mardi 04 Décembre 2001, des repas pour la rupture du jeûne seront offerts à près de 1.000 personnes selon le programme ci-après :
Il s'agit d'un instrument hautement important qui servira à la fois de véritable centre d'impulsion religieuse, de bureau d'expertise des tares de la pratique de l'islam, de lieu de négociation et de forum de réconciliation, a-t-il dit. Mais il pourra être surtout le choc salutaire qui permettra aux uns et aux autres de repenser leurs méthodes et leurs objectifs. Car, pour le président de Al Coran, c'est le lieu de réhabiliter les imams et les muezzins. "Il faut sauver les imams, il faut aider les muezzins", précise-t-il. Pour, indique-t-il, aider à la chute des préjugés, des erreurs, du mensonge et de l'image négative qu'on connaît aujourd'hui de la communauté musulmane. En effet, selon El Hadj Harrissou, l'imam n'est rien d'autre que la personne chargée de garder, de préserver le message divin après sa révélation et de l'expliquer aux hommes. Quant au muezzin, il est celui qui appelle les fidèles à la prière ; il est le porte-voix de l'imam à la mosquée. Malheureusement, déplore-t-il, il n'a jamais été pris en compte dans la gestion de l'islam en Côte d'Ivoire. Aussi, cette structure s'investira, promet-il, à le remettre à sa vraie place et de lui faire jouer son rôle.
L'imam El Hadj Bahikro Bazoumana de la petite mosquée Bahikro, sise en face du commissariat de police d'Aboisso, est désormais le président régional du Conseil national islamique (CNI) dans la région du Sud Comoé. Il a été investi, le dimanche 8 août dernier, à la grande mosquée, par l'imam Idriss Koudouss Koné, président national du CNI. C'était en présence de la quasi-totalité des imams du Sud Comoé et de nombreux fidèles musulmans.
Deux ans après sa création par le Conseil national islamique (CNI), l’Université musulmane en Côte d’Ivoire (UMCI) destinée à contribuer à la formation des étudiants et enseignants - toutes origines et confessions religieu-ses confondues -, sera ouverte dès la rentrée académique nationale prochaine 2009-2010. Le samedi 20 juin 2009, dans les locaux de HETEC du Plateau-Dokui qui abritera les cours, le lancement officiel de ses activités acadé-miques a été effectif.
Deux ans après sa création par le Conseil national islamique (CNI), l'Université musulmane en Côte d'Ivoire (UMCI) destinée à contribuer à la formation des étudiants et enseignants - toutes origines et confessions religieu-ses confondues -, sera ouverte dès la rentrée académique nationale prochaine 2009-2010. Le samedi 20 juin 2009, dans les locaux de HETEC du Plateau-Dokui qui abritera les cours, le lancement officiel de ses activités acadé-miques a été effectif.
La communauté musulmane a choisi de confier, samedi la présidence du Conseil national islamique à l'iman El Hadj Idriss Koné. Voici, à grands traits, quelques idées forces de son premier discours officiel.
La Commission chargée de la liberté de Presse, de l’Ethique et de la Déontologie du Conseil supérieur de la communication (CSC) a procédé le mardi 06 décembre 2016, à l’audition des responsables de deux médias. Il s’agit du média en ligne« lefaso.net » et de la radio « Wat FM ».
Dans le souci d’aider les professionnels de la presse écrite et de la presse en ligne à mieux contribuer à la lutte contre le terrorisme, le Conseil Supérieur de la Communication (CSC) les a conviés à une rencontre le lundi 13 mars 2017. Le menu de cette rencontre a été de réfléchir sur la manière par laquelle les journalistes peuvent apporter davantage leur contribution à l’édification d’un Burkina de paix.