A l'instar des chiites du monde entier, la communauté chiite du Burkina a commémoré l'anniversaire de la mort en martyr le l'Imam Houssein (A), petit-fils du prophète Mouhammad (SAW). Placée sous le signe de "Achoura et clair- voyance dans la religion", la journée commémorative de l'Achoûra s'est tenue dans l'enceinte de l'Association pour l'établissement de l'unité islamique (AEUI). C'était le 6 décembre 2011.
Dans le cadre de la commémoration de la Journée nationale de Pardon (JNP), des offices religieux ont été célébrés dans les mosquées et les églises de Ouagadougou le 30 mars 2005. Des prières pour le pardon, la réconciliation nationale et la paix au Burkina Faso ont été dites aux cours des différentes célébrations.
La communauté libanaise, regroupée au sein de l'Association de bienfaisance Al-Ghadir, a organisé une vaste opération de don de sang, le jeudi 13 mars 2003, au palais de la Culture de Treichville. Tous de noir vêtus pour signifier le port du deuil, ce sont environ mille Libanais, hommes, femmes et enfants, qui ont pris d'assaut le Palais de la culture de Treichville et les civières du Centre national de transfusion sanguine pour faire don de leur sang et célébrer Achouraa : commémoration de l'assassinat de l'Imam Hussein. Troisième petit-fils du prophète Mohamed, celui-ci a été mis à mort dans des conditions atroces pour s'être rebeller contre la tyrannie du roi Yazid de Damas en Syrie. Le chiisme, courant islamique, resté fidèle à la famille du prophète Mohamed et auquel s'identifie la communauté d'Al-Ghadir, prend cette mort pour sacrifice suprême. Pour les chiites, ce sacrifice symbolise la victoire du bien sur le mal et la défense des valeurs authentiques de la religion musulmane.
La communauté musulmane du Dahomey a fêté hier dans la ferveur et l'allégresse générale, la commémoration de la naissance du prophète Mahomet connue sous le nom de Mouloud.
Les musulmans du Bénin, à l’instar de leurs frères du monde entier, ont célébré mardi dernier la fête de RabioulAw’wal ou l’anniversaire de la naissance du prophète Mahomet
Conformément aux prescriptions islamiques, les musulmans du Bénin ont célébré hier sur toute l’étendue du territoire national, à l’instar de ceux du monde entier la naissance du prophète Mahomet dans la joie et dans l’allégresse.
C’est dans la prière et le recueillement que les Togolais, avec à leur tête le président de la République Gnassingbé Eyadèma, ont imploré vendredi dernier Dieu tout-puissant pour la guérison des blessés de l’odieux attentat terroriste perpétré le 11 septembre 2001 contre le World Trade Center à New York et le Pentagone à Washington et pour le repos de ceux qui ont trouvé la mort. C’était au cours des offices religieux (culte protestant et prière musulmane) organisés vendredi dernier au Palais des Congrès de Lomé à l'occasion du deuil national d'un jour décrété au Togo à l’attention des victimes de cette attaque terroriste contre le peuple américain.
Lomé, 7 fév. (ATOP) – Le 17e anniversaire de la disparition du père de la nation, feu Gnassingbé Eyadéma a été marqué par une prière musulmane et des offices chrétiens respectivement le vendredi 4 et le dimanche 6 février dans les différentes préfectures du pays.
Les cérémonies marquant le 40e jour du décès de maman Yokossi Hondo Otcha Maria Firmine la mère de notre grand camarade de lutte Mathieu Kérékou se sont déroulées dimanche dernier dans plusieurs localités de notre pays.
Depuis le début de la crise ivoirienne, des observateurs familiers de la vie sociale et politique ivoirienne n'ont pas manqué d'incriminer les autorités religieuses d'avoir agi comme facteur d'aggravation des antagonismes politiques qui ont amené à son déclenchement. Que la religion et lesleaders religieux aient volontairement ou involontairement exacerbé la crise militaro-civile en Côte d'Ivoire, voici qui semble paradoxal à première vue, et indéniable après réflexion.
La Conférence nationale des associations islamiques du Bénin (CONAIB-SHOURA) en collaboration avec l’Institut international de la pensée islamique (IlPIUSA) et l’Union islamique du Bénin (UIB-Bénin) a organisé à l’INFOSEC à Cotonou du 25 au 27 novembre 1994, un séminaire sur le leadership en islam.
Quand le pèlerin quitte l'aéroport international de Ouagadougou ou de Bobo, il atterrit à Djaddah, la ville d'accueil de tous les pèlerins. Il va rallier la ville de La Mecque située à 70 km par la route. A l'entrée du territoire sacré de La Mecque, il pose le premier acte du hadj qui est la sacralisation.
Un homme n'a que l'espace d'une vie pour réaliser ses desseins. Mais une religion, toutes les religions ont l'éternité pour elles. Celles-ci, au contraire de l'homme, ne doivent donc jamais céder à l'impatience, elles ne peuvent qu'ignorer l'écume des choses pour jouer la longue durée. Leur vocation naturelle est de persévérer.
Sommet positif ? Sommet historique? Pour le Burkina, l'essentiel était une fois encore de montrer à la communauté internationale en participant à la cinquième conférence islamique, les idéaux de paix et de coopération multiforme qu'il n'a cessé de proclamer avec tous les Etats épris de justice. Vittel. New-York. Yamoussoukro. Hararé sont devenues des villes symboles et des étapes importantes dans la percée diplomatique et la manifestation d'une politique extérieure dynamique. Koweit-City vient s'ajouter à ce long périple en faveur de la paix, de la solidarité et de la coopération au profit du développement et de la fraternité. La marche et le combat pour un monde nouveau, débarrassé de toutes les injustices causées par l'impérialisme. A toutes les tribunes précédentes comme à ce dernier forum islamique, le Burkina a eu droit à la parole pour dire haut et fort ce que d'autres pensent tout bas et qu'ils sont incapables de dénoncer à cause d'un servilisme politique et d'un suivisme idéologique sans bornes, coupables et condamnables. Le Burkina, part la voix du Président du Conseil national de la révolution. Président du Faso, le camarade Thomas Sankara, a développé un plaidoyer en faveur d'un ordre mondial nouveau autour de la question de la paix et de la solidarité. Deux thèmes qui reviennent comme un leitmotiv, mais qui restent les fondements et les bases essentielles pour la construction d'un univers où tous les peuples ont droit à l'existence.
"J’ai tous les défauts, mais Dieu m’a fait grâce de ne pas ajouter la cupidité et le matérialisme ", rassure le président la CENI, Newton Ahmed Barry, dans une déclaration ce mardi 25 septembre 2018, au siège de l’institution.
Nouveau rebondissement à la Commission électorale nationale indépendante du Burkina. Dans une lettre adressée au ministre de l’administration territoriale, le président du présidium de la fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) a transmis le nom d’Adama Kafando, magistrat à la Cour de cassation. Il remplace Ahmed Newton Barry qui se serait retiré, selon des sources proches de la communauté musulmane.
Jeter les bases d’une nouvelle forme de coopération arabo-africaine, tel est le but de la première session de la grande commission mixte Bénin-Emirats Arabes Unis qui a entamé jeudi dernier à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, ses travaux.
Par un arrêté en date du 23 octobre 1998, le ministre de l'Administration territoriale et de la sécurité, président de la Commission nationale d'organisation du pèlerinage à la Mecque (CNOPM) a mis fin aux fonctions de Secrétaire permanent de M. Ouédraogo Seydou. Comme on pouvait s'en douter, la mesure du président de la CNOPM est une conséquence de la gestion financière désastreuse du Hadj 1998, qui a occasionné un déficit de plus de 220 millions F CFA.