Le mardi 31 juillet 2012, la Commission jeunesse de la Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF) a offert des vivres à des malades de plusieurs services de l'hôpital Yalgado Ouédraogo. Deuxième du genre, ce geste entre dans le cadre des activités de cette commission pendant le mois de carême. Il a été possible grâce au geste de El Hadj Inoussa Kanazoé, administrateur de Kanis international.
Un atelier national de validation de l'avant-projet de loi portant Code des Personnes et de la Famille a eu lieu du 17 au 21 juin 2019 à Koudougou. La Fédération des Associations islamiques du Burkina (FAIB) n'a pas été « impliquée » à cet atelier, selon elle, et déplore cet état de fait sur sa page Facebook.
« Le Burkina Faso est une exception parmi les pays sahéliens en raison de sa grande diversité religieuse et de la tolérance qui y règne ». C'est la conclusion à laquelle sont parvenus les chercheurs de l'International Crisis Group (ICG). L'organisation a publié son rapport intitulé «Burkina-Faso-preserver-l-equilibre-religieux» le 6 septembre 2016 dans lequel il est fait mention du « solide » modèle de coexistence religieuse et de sa pérennité dont seuls les Burkinabè ont le secret. Un modèle qu'ils recommandent de préserver à tous les coups en ces temps de montée de l'extrémisme violent dans la sous région ouest-africaine notamment dans la partie Nord de son territoire.
« Burkina Faso : préserver l’équilibre religieux ». C’est sous cet intitulé que l’International Crisis Group a publié le 6 septembre dernier, un rapport sur la coexistence religieuse au Burkina. Pour l’ONG, « le Burkina Faso est une exception parmi les pays sahéliens en raison de sa grande diversité religieuse et de la tolérance qui y règne ». Cependant, l’organisation attire l’attention de l’ensemble des acteurs sur un certain nombre d’aspects. Le rapport a fait l’objet d’échanges avec les journalistes ce jeudi, 22 septembre 2016 à Ouagadougou.
Crisis Group est une Organisation non gouvernementale (ONG) qui fait des analyses en situation de crise un peu partout dans le monde. Dans un rapport publié le 16 septembre 2016, l'ONG pointe des « frustrations » au sein de la communauté musulmanes au Burkina Faso. Ledit rapport a été présenté aux différentes communautés religieuses, autorités politico-administratives et à la presse ce jeudi 22 septembre 2016 à Ouagadougou.
Le diplomate américain, Dr. Tulinabo Mushingi, était le « frère en islam », ‘’convié’’ pour la « rupture » du jeûne, en ce vendredi, 18 juillet 2014, au siège du Cercle d’études de recherches et de formation islamiques (CERFI) sis au quartier 12 00 logements. Outre la « rupture du jeûne », Dr. Mushingi a assisté, entre autres, à un témoignage de musulmans sur un voyage effectué aux Etats-Unis, à la prière, à des invocations et à une communication sur Islam et coexistence pacifique.
L'Union fraternel des croyants de Dori (UFC-Dori) a organisé, les 11 et 12 mai 2018, à Fada N'Gourma, un stage régional sur la thématique du rôle de la jeunesse des communautés religieuses dans la promotion de la paix sociale.
« Vivre ensemble », c’est autour de ce thème que le centre culturel islamique du Burkina (CCIB) a réuni des jeunes musulmans et catholiques pour un panel-débat. Au terme des échanges, tous s’accordent que le vivre ensemble est un élément très important dans la vie des hommes comme le soulignent le Coran et la bible. Une activité qui a eu lieu le samedi 2 mai 2015 au CCIB.
« Les lignes directrices du vivre ensemble selon l’Islam ». C’est autour de ce thème que le Centre culturel et islamique du Burkina (CCIB) a organisé, les 13 et 14 août 2016 à Ouagadougou, un séminaire de réflexion sur la contribution de la communauté islamique à un vivre-ensemble dans une société multiconfessionnelle. L’activité, co-parrainée par la directrice pays du PDEV II (Programme paix par le développement phase II, américain), Salamata Sawadogo, et le Secrétaire permanent du Comité d’organisation du 11-décembre, Boukari Khalil Bara, a connu l’intervention de responsables chrétiens, musulmans et de leaders coutumiers et traditionnels.
Le Grand chancelier des Ordres burkinabè, André Roch Compaoré, a effectué une visite de courtoisie à la communauté musulmane, le jeudi 20 août 2015 à Ouagadougou. Il a été question de recueillir des bénédictions et d'établir une collaboration entrant dans le cadre de la construction d'un Burkina Faso de paix et de cohésion sociale.
Après un mois d'abstinences et d'adoration, les musulmans du Burkina, à l'instar des autres du monde, sont en fête. Nous revenons ici avec des précisions sur cette fête de rupture du jeûne.
Hypertension, diabète... de nombreux musulmans souffrent de ces maladies qui pourraient les contraindre à ne pas respecter le cinquième pilier de l'islam. Pourtant, une alimentation adaptée aiderait à éviter ce désagrément.
C'est un fait ! De nombreuses personnes n'exécutent pas les cinq prières obligatoires en islam et se découvrent pourtant jeûneurs pendant le mois de ramadan. : Une triste réalité. En effet, la prière est le pilier principal de l'islam (après l'attestation de foi) et toute personne qui s'en éloigne tombe dans le groupe des mécréants. Vos suggestions son toujours attendues à l'adresse
Suite à notre publication sur la zakat du mardi 8 juillet 2014, certains de nos lecteurs ont voulu avoir des compléments d'informations, cas pratique à l'appui.
Le Collectif des associations do jeunesse musulmane (CAJM) a organisé une conférence de presse, jeudi dernier, au siège de l’AEEMCI, à la Riviera 2, pour donner sa position sur "le refus du gouvernement ivoirien d'octroyer une fréquence radio à la communauté musulmane de Côte d'Ivoire".
Le président du Faso a signé le mardi 1er juin 1999, un décret portant création, composition et missions d'un collège de sages.
Ce décret fait suite à son message à la nation du vendredi 21 mai 1999, discours dans lequel il avait pris, entre autres engagements, la décision de mettre sur pied un collège de sages qui devrait "passer en revue dans les meilleurs délais, tous les problèmes pendants de l'heure et proposer des recommandations à même d'emporter l'adhésion de tous les protagonistes de la scène politique nationale". Dans cette perspective, il avait successivement reçu en audience la semaine dernière les trois anciens chefs d'Etat, le collectif ainsi que les représentants des communautés religieuses et coutumières.
Après les audiences accordées aux anciens chefs de l’Etat, aux membres dû Collectif des organisations démocratiques de masse et de partis politiques par le Président du Faso, c’était le tour des autorités religieuses et coutumières du Burkina, le vendredi 28 mai 1999 au Palais présidentiel. Ces rencontres, on le sait, entrent dans le cadre de la mise en place d’un collège de sages annoncé le 21 mai dernier par le chef de l’Etat dans son discours à la nation.
Après les anciens chefs d'Etat et le collectif le jeudi 27 mai, c'était autour des représentants des communautés religieuses et des autorités coutumières d'être reçus vendredi soir par le président du Faso qui joint ainsi l'acte à la parole. Moins d'une semaine après son important message à la nation, le chef de l'Etat montre encore sa disponibilité à voir le drame de Sapouy et tous les «crimes impunis» réglés. Une démarche qui est allée droit au cœur des autorités coutumières et religieuses.