A l'occasion de Mouloud 2013, le conseiller chargé des relations de la commune de Bobo-Dioulasso avec les pays arabes, El Hadj Ismaël Démé nous livre dans cette interview, des clés de compréhension de cette commémoration et de la guerre en cours au Mali, sur fond d'islamisme présumé.
Le Cheick Seydou Bangré a organisé dans la nuit du 1er au 2 mai 2013 à Ougadougou, en différé, la commémoration de la naissance du Saint Prophète Mohamed. Les fidèles musulmans ont, à cet effet, prié pour la paix et la cohésion sociale au Burkina Faso.
Les adeptes de la Communauté spirituelle musulmane des Soufis du Burkina/Section de Koudougou ont, pour la 3e année consécutive, commémoré en différé le Mouloud le vendredi 19 avril 2013 avec leur guide spirituel, le Cheick Soufi Moaze, par une nuit de prières et de prêches au Théâtre populaire de Koudougou. A cette occasion, le Cheik Soufi Moaze a appelé musulmans et non-musulmans à craindre Dieu et à combattre la violence par la prière, car, prévint-il, les armes ne peuvent pas arrêter les armes, ni le feu éteindre le feu.
En ce début du mois de Ramadan pour les musulmans du monde entier et en particulier ceux du Burkina Faso, il est bon de se souvenir des règles concernant le jeûne. Dans cette optique, Cheick Mohamed Bachir Tassembédo, petit-fils d'El Hadj Sanoussa Pouytenga et président de l'Association des jeunes musulmans pour l'éclaircissement de la religion au Burkina (AJMER-BF) nous parle des bienfaits de ce mois béni.
Sur invitation du Centre de recherche et de formation islamique (CERFI), Cheik Abdoul Madjid Kasogbia, prédicateur congolais, théologien, expert en analyse comparée des religions, vient de séjourner au Burkina. Un séjour mis à profit pour animer des conférences publiques dans plusieurs villes du pays des hommes intègres autour du thème : « le message divin à travers Abraham, Moïse, Jésus et Mohammad : convergence ou divergence ». Le 03 janvier 2013, c’était l’étape de la capitale, Ouagadougou, qui a vu le palais des sports de Ouaga 2000 refuser du monde.
Cheik Soufi Moaze, guide spirituel des soufis du Burkina, ne manque jamais l'occasion de rétablir la vérité sur l'Islam, dans ce monde où il devient difficile de démêler le faux du vrai. Il a encore réitéré ce credo, le 27 avril dernier, à Ouagadougou, au cours d'un Maouloud qu'il a organisé et qui a réuni des milliers de fidèles musulmans.
Cheikh Afoda Sofiane, président de l’Union musulmane du Togo décédé le 8 novembre 1995 à l'âge de 82 ans des suites d'une courte maladie, a été inhumé hier après - midi au cimetière musulman à Adétikopé à 15 km de Lomé.
La Tabaski ou l'Aïd el Kébir, encore connue sous le nom de fête du mouton, sera célébrée demain mardi 16 novembre 2010 au Burkina. Pour mieux comprendre le sens de cette fête, nous avons rencontré cheikh Halidou Sanné, un habitant de Dablo, une commune rurale de la province de Sanmatenga.
Au cours du Maouloud, anniversaire de la naissance du prophète de l'Islam, qu'il a célébré le 28 avril dernier à Ouagadougou, Cheick Soufi Moaze a bénéficié du soutien de la oummah du Burkina, qui était fortement représentée à travers ses différentes associations.
Tu peux aisément deviner combien j'ai été heureux de recevoir le sac d'arachides, fruit de tes nouvelles récoltes, que tu m'a envoyé par le transporteur du village. Mille fois merci de m'avoir mis dans le cercle restreint de tes incontournables parents, pour lesquels tu n'hésites guère à te sacrifier. Sans peut-être le savoir, tu auras un tant soit peu contribué à m'ôter une épine du pied, car, plus que jamais, la vie chère reste d'actualité. En tous les cas, cher cousin, tu mérites un repos réparateur, car bien laborieuse fut la saison qui s'achève.
Nous sommes vendredi. Jour de prière remarquable de nos frères musulmans. Constat. Affluence voir embouteillage aux abords de nos mosquées à Cotonou. Chose normale car, nos frères de religion islamique ont le droit comme tous les autres, de remplir leur devoir religieux. Ce qui mérite admiration de ma part. Car une société pieuse bénéficie «normalement» d'une bonne dose de morale et donc gagne en spiritualité. J’étais plongée dans cette admiration lorsque je constatai que l’abus était aussi de ce monde.
Loin d’être une prescription du Coran, la consommation de fruits en période de carême répond à l’envie de la grande majorité des musulmans de suivre à la lettre l’un des enseignements du prophète Mahomet. C’est lui qui a conseillé aux fidèles qu’après toute une journée de privation d'aliment, il est souhaitable que le croyant rompt le jeûne en commençant par les fruits. Mais cela suffit-il à expliquer la fluctuation des prix des fruits en période de carême ? Au marché de fruits de Cadjèhoun comme à Ganhi et chez les grossistes à Dantokpa, la chose est décriée tant par les clients que par les détaillants qui rejettent la responsabilité sur les grossistes.
Le week-end qui vient de s'écouler a connu chez nous beaucoup d'événements tant sur le plan socio-économique que sur le politique. Le domaine religieux n'a pas été en reste.
Après 30 jours de jeûne, les musulmans ont célébré hier l'Aïd-el fitr dans un contexte de crise économiuqe et financière marqué par la dévaluation du franc cfa qui a entraîné une flambée des prix des produits alimentaires.
Au rang des fidèles on a pu noter la présence du Chef de l'Etat, le Colonel Saye ZERBO, le Moro NABA à sa droite à la prière de l'AID EL FITR qui fêté dimanche dernier.