Après les actes perpétrés contre sa rédaction, Charlie Hebdo a récidivé en publiant une caricature du prophète Mouhammad. La réaction du monde musulman ne s'est pas fait attendre. Comme effet de boule de neige, tous les pays à majorité musulmane ont connu une manifestation contre la caricature de leur prophète. Le 5e Khalif de la communauté islamique ahmadiyya, Mirza Masroor Ahmad a, pour sa part, condamné la caricature qu'il qualifie d'infâme et invite les musulmans à la retenue et à la prière.
Après les actes perpétrés contre sa rédaction, Charlie Hebdo a récidivé en publiant une caricature du prophète Mouhammad. La réaction du monde musulman ne s’est pas fait attendre. Comme effet de boule de neige, tous les pays à majorité musulmane ont connu une manifestation contre la caricature de leur prophète. Le 5e Khalif de la communauté islamique ahmadiyya, Mirza Masroor Ahmad, a pour sa part condamné la caricature qu’il qualifie d’infâme et invite les musulmans à la retenue et à la prière.
Suite aux caricatures du prophète Mouhammad, publiées le 30 septembre 2005 par le quotidien danois «Jyllands Postens », les musulmans togolais ont réagi à cet acte qu'ils ont qualifié de provocation. C’était à travers une conférence de presse donnée vendredi dernier à la mosquée de l’Université de Lomé (UL) par le vice-président de l’Union musulmane du Togo, l'imam Sani Karim.
La Jama'at islamique ahmadiyya de Côte d'Ivoire a élevé une protestation mais appelé à de la retenue dans l'affaire des caricatures du Prophète Muhammad récemment au siège national du mouvement, à Adjamé, le premier responsable des Ahmadis ivoiriens, Abdul Rashid Anwar, a indiqué que l'actuel khalife, Chef suprême du Mouvement ahmadiyya mondial, a déjà réagi depuis son siège à Londres et adopté une ligne de conduite qui est le refus du recours à la violence.
En signe de protestation contre les caricatures du prophète Mahomet dans la presse danoise, une délégation de la fédération des musulmans du Burkina Faso, forte de 5 personnes et conduite par El Hadj Souleymane Compaoré, a remis le 8 février 2006 une lettre à Thomsen Margit, ambassadeur du Royaume du Danemark au Burkina.
Une délégation de la fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) conduite par le président par intérim de la communauté musulmane, Adama Sakandé, a été reçue en audience ce samedi 24 janvier 2015 par le Chef de l’Etat, Michel Kafando. La bonne marche de la transition était au menu des échanges.
La coopération entre le Burkina Faso et le royaume d'Arabie Saoudite dans le domaine sanitaire se porte bien. Dans cette dynamique, plusieurs actions sociales sont entreprises en faveur des couches vulnérables du « pays des Hommes intègres », au nombre desquelles, des campagnes de lutte contre la cécité organisées par l'Agence des musulmans d'Afrique (AMA) en collaboration avec la fondation Al-Basar international.
Les femmes musulmanes réunies au sein de l’Union des Femmes Musulmanes pour la Charité ont organisé le 22 février à la grande mosquée de Lomé, une causerie-débat sur les thèmes : « Les devoirs de la femme mariée au foyer et l'éducation des enfants en Islam ».
«… Et la réconciliation est bien meilleur». C’est autour de ce thème tiré d’un verset du Saint Coran que l’imam Cissé Djiguiba, recteur de la mosquée «Salam» du Plateau, a animé la conférence publique initiée par la Ligue islamique des prédicateurs de Côte d’Ivoire (Lipci), samedi dernier, au carrefour jeunesse à Grand-Bassam. Au public composé pour les ¾ de la communauté musulmane, le conférencier a répété que le Saint Coran préconise la réconciliation entre les hommes comme meilleur moyen pour vivre ensemble. «La guerre n’est pas une fatalité. Elle est évitable», a-t-il indiqué. Avant de suggérer les solutions du Saint Coran, l’imam conférencier a défini «les causes de la guerre en Côte d’Ivoire et des conflits en particulier» et relevé les «conséquences» de la guerre.
L'an 569 marque la naissance du fils d'Abdallah et d'Amina, le prophète Mohamet (569- 632).
Tous les ans, les musulmans du monde entier célèbrent l'anniversaire de la naissance de Mohamet: Le Mouloud.
Au Burkina, c'est le dimanche prochain que la communauté musulmane célèbrera la naissance du père de l'Islam.
Le Mouloud constitue un moment de joie et de prière, une occasion où l'on prêche la nuit durant dans les mosquées. La pratique de cette fête cependant ne semble pas être partagée par tous les musulmans. Pourquoi? Il faudrait peut être remonter l'ensemble des hadiths pour en savoir plus. Mais le président du Conseil Islamique burkinabè (CIB) El hadj Harouna Sana nous en donne une version. Lui pense qu'il faut célébrer la fête car dit-il s'il y a hérésie c'est une hérésie positive.
La seule manière de jouir de notre jeunesse c’est d’utiliser tout ce qu’on a à notre possession pour faire le bien, le bien et rien que le bien. La vitesse avec laquelle le temps passe nous démontre, si besoin y est, que nous avons un court séjour. Il nous revient donc de le gérer avec diplomatie de sorte à extirper tous les nids de regrets, de mauvaises situations, de tout ce qui est inutile dans notre vécu et qui n’apporte aucun bien à notre prochain. Chercher à atteindre la perfection, c’est le meilleur objectif que l’on peut se fixer.
Dans le communiqué de presse ci-dessous, la Fédération des associations islamiques du Burkina annonce que la fête de la Tabaski aura lieu le 16 novembre 2010.
L’on s’en souvient, le 08 mai dernier, les Evêques de la Conférence Episcopale du Burkina-Niger, réunis autour du Cardinal Philippe Ouédraogo à la place de la Nation, priaient pour la paix au Burkina, au Niger et dans le reste du monde. Depuis lors, une neuvaine de prières est en cours pour la paix dans notre pays. Ce vendredi marquera un point culminant de cette neuvaine de prière avec un jour de jeûne décrété pour l’ensemble des diocèses du Burkina. Que pensent les Burkinabè de ces actes de dévotions ? Nous avons rencontré quelques citoyens qui livrent ici leurs appréciations.
La Fondation Coris et Coris Bank International Bénin ont procédé, mardi 24 octobre au Ceg Suya, dans la commune de Nikki, à la remise d’un module de trois salles de classe, avec un bureau pour le directeur et un lot de latrines. Cette action s’inspire de l’orientation sociétale de Coris Bank International, notamment être une banque soutenant le développement des communautés à la base.
Allah Akbar ! Dieu est grand ! C'est par ces mots qu'ont débuté samedi à Lomé sous un ciel magnifique la grande prière ayant marqué pour les musulmans du monde entier la fête de « l'AI-Adha (sacrifice) mieux connue chez nous sous l'appellation de fête de la Tabaski ou fête du mouton.
À l’occasion de la fête de l’Ascension et du Ramadan conjointement célébrée par les chrétiens catholiques et la communauté musulmane ce jeudi 13 mai 2021, le président de la République, Patrice Talon, a adressé un message à l’ensemble des deux communautés religieuses. « Cette année, le Ciel nous fait la grâce inédite de la coïncidence de deux célébrations religieuses majeures. L’Ascension pour les catholiques et le Ramadan pour les musulmans», peut-on lire sur sa page Facebook. Pour lui, la coïncidence inédite de ces deux fêtes est un signe que partout sur la terre, «la coexistence pacifique des religions, leur complémentarité au service du bien-être spirituel et social de l’humanité, doivent être entretenues».
Les fidèles musulmans ont célébré dans la sobriété, la fête de l'Aïd El Fitr, qui marque la rupture de 30 jours de jeûne. Cette commémoration musulmane qui a eu lieu hier, jeudi 13 mai 2021, coïncide avec la montée de Jésus Christ au ciel. Une belle
Comme à l’accoutumée, l’Ecole internationale Ufuk-Bénin a, une fois encore, témoigné sa solidarité à la communauté musulmane béninoise dans le cadre de la célébration de la Tabaski.
L'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ISESCO) a choisi la ville tunisienne de Kairouan, quatrième ville sainte de l'Islam, comme capitale culturelle islamique pour l'année 2009. La célébration de cet événement a donné lieu à des festivités multidimensionnelles dans cette cité fondée en l'an 670 après Jésus-Christ, et dans diverses autres localités du pays.