« Médias et religions, dialogue interreligion et promotion du patrimoine culturel au Burkina Faso », c’est le thème qui a occupé les journalistes du 9 au 10 octobre 2014 à Loumbila. Le ministère de la culture et du tourisme a été l’initiateur de cet atelier d’échanges dans le cadre de la célébration de la culture islamique : Ouagadougou 2014, de l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture.
Tenkodogo — Tenkodogo a abrité du 29 juillet au 4 août, une colonie de vacances islamique sur le thème "L'éducation islamique des enfants, meilleure issue pour l'humanité".
La Jama'At islamique Ahmadiyya de la région de Tenkodogo a procédé le vendredi 2 février dernier à l'inauguration de la mosquée de Bado, village situé à 17 km au sud-ouest de Tenkodogo.
La ville de Béguédo a connu une animation particulière le vendredi 11 février 2000. La raison était la cérémonie d'inauguration de la nouvelle mosquée. C'est le cheik de Hamdalaye, Aboubacar Doukouré qui a officié la prière inaugurale. On notait la présence du ministre des Transports et du Tourisme, M. Alain Yoda, des autorités provinciales. des imams et représentants des communautés religieuses invités. Cette mosquée est une initiative du haut-commissaire de la province du Soum (natif de Béguédo) M. Boukari Khalil Bara qui a eu à négocier un financement en 1998 auprès de l'association Sabil El Nadia. Lequel financement a été accordé en octobre 1999 par la princesse Rouquia du Koweït. Ce financement a permis l'achat de matériaux de construction et d'assurer la main-d'œuvre. La population, elle, a fourni la main-d'œuvre non qualifiée et les matériaux locaux, les ressortissants de Béguédo résidant en Italie ont également apporté un appui financier. Le nouvel édifice dont le coût n'a pas été révélé a une longueur de 22 m sur 20 m de large.
Au départ, les musulmans du Burkina adoraient Dieu dans l'unité. Puis vint l'année 1986 qui devait marquer un tournant pour les fidèles. On se rappelle que c'est cette année là que naquit des dissensions qui allaient provoquer une scission entre ces frères dans la foi. Ainsi, il se tint en 1986, simultanément, faute d'accord, deux congrès. Pendant que l'un se déroulait à Koudougou, l'autre se tenait à Bobo-Dioulasso. En 1988, les musulmans ne réussirent pas à s'unir dans une seule organisation, malgré la tentative de réconciliation du président Blaise Compaoré. L'Imam d'alors sera évincé ainsi que sa suite.
C’est désormais dans une mosquée flambant neuve de plus de 400 places que les fidèles musulmans de Boulmtoré Bangrin dans la province du Zoundwéogo, effectueront la grande prière du Vendredi. Le joyau réalisé par la Fondation Hadja Bibata Noury Islam (FHBNI), du nom de la défunte mère de El Hadj Hamidou Ouédraogo, a été inauguré ce 15 avril 2015 en présence d’un parterre de fidèles et d’opérateurs économiques.
Les députés étaient en séance plénière jeudi 23 juin. Ils ont débattu de deux dossiers portant tous sur des questions d’actualité. Le premier concerne les difficultés qu’éprouvent certains étudiants dans la jouissance de la bourse à eux accordée ; et le second a trait aux dispositions que prennent le gouvernement pour une bonne organisation de l’édition 2016 du pèlerinage à la Mecque.
Dans la bousculade intervenue à la Mecque ce jeudi 24 septembre 2015, deux pèlerins burkinabè ont été blessés, a indiqué Cheick Boni, le président du Comité de suivi du pèlerinage à la Mecque au Burkina , au journal de 20h de la télévision nationale.
« Pour couper court à toutes ces rumeurs » à la suite de profusion d'informations relatives au bilan des victimes de la bousculade du 24 septembre dernier à Mina, le ministre de l'administration territoriale et de la décentralisation en compagnie des membres de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) ont animé une conférence de presse ce mardi 13 octobre 2015. Ils ont ainsi livré les informations à leur disposition sur le bilan officiel et les mesures prises en vue de l'accueil des pèlerins dont le premier vol retour est programmé pour le jeudi 15 octobre.
La communauté musulmane de Porto-Novo a organisé samedi 24 octobre dernier, une séance de prière à l'intention des pèlerins décédés lors de la bousculade dans la vallée de Mina à la Mecque, le 24 septembre dernier. L'initiative a été soutenue par des autorités politico-administratives ainsi que d'autres confessions religieuses et des têtes couronnées de la ville.
Tous les Loméens musulmans, catholiques et protestants ont prié Dieu vendredi matin à la Maison du RPT autour du Guide de la Révolution togolaise, le général d’armée Gnassingbé Eyadéma, des membres du Bureau politique, du gouvernement et du Comité central. Ceci pour donner le coup d’envoi aux manifestations prévues pour le 10e anniversaire de l’accession au pouvoir du général Gnassingbé Eyadéma.
« L'Afrique ne peut plus faire confiance ni à l’Occident, ni à l'Orient qui tous ont échoué dans la recherche des solutions aux problèmes qui secouent notre monde ». Ainsi peut se résumer la politique libyenne, objet d'une brillante conférence à l’Université du Bénin donnée par son Excellence, le président Muammar Qadafi, chef de l’Etat libyen.
D'une manière générale, un des moyens pour percevoir toute situation actuelle, c'est d'essayer de connaître le passé d'une manière exacte et sous tous les angles. Ainsi, fort de ces informations et connaissances, il est aisé de concevoir un avenir plus agréable.
D'une manière générale, un des moyens pour percevoir toute situation actuelle, c'est d'essayer de connaître le passé d'une manière exacte et sur tous les angles. Ainsi, fort de ces informations, et connaissances, il est aisé de concevoir un avenir plus agréable.
La crise au sein du haut conseil des imams de Parakou est à son comble. Plusieurs membres de ce creuset qui ne parlent plus le même langage que le président l’imam Wakeiya de Yéboubéri ont décidé de se mettre en association. Les dissidents se sont mis ensemble pour créer la ligue des imams de Parakou. Un creuset qui se démarque du Haut conseil des imams de Parakou et qui se met sous la coupole de l’Union islamique du Bénin.
« L'Union Islamique du Bénin, dans son communiqué, rappelle à toutes fins utiles les volumes de sons autorisés: la limitation du niveau de bruit à l'intérieur est fixée à 70 décibels, 70 décibels de 06h00 à 13h00 et 15 h00 à 22h00 (c'est-à-dire pour les appels aux prières de Ansr, Magrib et Ichai) et 50 décibels de 13h00 à 15h00 et de 22 h à 06h00 (c'est à dire pour les appels aux prières de Soubh et Zouhr). Cette limitation peut être facilitée par l'utilisation de deux types de haut-parleur, l'un interne et l'autre externe. »
A l’instar de plusieurs pays africains, le Burkina a célébré ce mardi 20 juillet 2021, l’Aïd el Kébir, la Tabaski. Comme à l’accoutumée, le Cercle d’études, de recherche et formation islamique (CERFI), et de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (A.E.E.M.B) ont convié les fidèles à la prière sur le terrain Dabo Boukary de l’Université Joseph Ki-Zerbo (Université de Ouagadougou).
Si il y a bien un sujet qui cristallise l’attention des Burkinabè sur les réseaux sociaux, ce week-end, c’est bien l’apparition d’un supposé groupe dénommé « Sécurité Islamique » à Pouytenga, à l’Est du Burkina. Contrairement au phénomène des Koglweogo qui avait créé une sorte de bipolarisation des opinions (anti et pro-koglweogo), la naissance de ce groupe est largement décriée sur la toile.
L’extrémisme violent a pris des proportions inquiétantes au Burkina Faso, surtout dans ses parties Nord et Est. Les efforts de l’État burkinabè semblent vains. Mahamoudou Savadogo, gendarme à la retraite et consultant sur les questions d’extrémisme violent au Sahel, pense que l’une des meilleures stratégies dans la lutte contre le terrorisme, serait d’impliquer la population. Dans cette interview qu’il nous a accordée, il déplore les pratiques qui éloignent les populations des forces de défense et de sécurité parce que, dit-il, « dans cette guerre asymétrique, la pièce maîtresse, c’est la population ».
Une lame détruite et un foulard blanc jetés à terre. Par cet acte symbolique, les populations de 150 villages des 7 communes de la province de la Sissili se sont engagées publiquement ce jeudi 27 novembre 2019, à abandonner la pratique du mariage d’enfants, de l’excision et des violences faites aux enfants. Cette déclaration publique entre dans le cadre du projet « Consensus communautaire pour mettre fin au mariage d’enfants, à l’excision et pour la protection effective des enfants dans la région du Centre-Ouest », initié par l’ONG Mwangaza Action, avec l’appui de l’UNICEF.
Le groupe djihadiste Ansarul Islam, actif dans le nord du Burkina Faso, est désormais placé sur la liste noire des organisations terroristes par les Etats-Unis, selon un communiqué publié mardi par le département d'Etat américain.