M. Barry Moussa Barqué, nouveau ministre des Mines et des Ressources hydrauliques est né le 17 novembre 1942 à Dapaong. Après ses études primaires, il fait de 1955 à 1963 ses études secondaires successivement au collège de Sokodé et au Lycée Bonnecarrère de Lomé. Nanti de son baccalauréat «mathématiques», M. Barry Moussa Barqué part en France, où il s’inscrit au Lycée national Georges Clémenceau de Nantes. Il y suit alors de 1963 à 1966 les classes de mathématiques supérieures et spéciales. De 1966 à 1970, il est à Marseille où il suit des cours à l’Ecole d’ingénieurs, à la faculté des Sciences, à l’institut de mécanique des fluides et à l’institut de la mécanique statistique des fluides et de la Turbulence. Il en sort diplômé avec le grade d’ingénieur des Travaux publics. Après sa maîtrise es-sciences, il obtient le diplôme d’ingénieur hydraulicien. Rentré au Togo, il est successivement ingénieur à l’Arrondissement de l’Hydraulique et Electricité, adjoint au chef d’Arrondissement et chef d’Arrondissement, cumulativement avec le poste d’adjoint au directeur des T.P. M. Barry Moussa Barqué est depuis 1978 directeur du Port de Lomé, jusqu’à hier où il est nommé, ministre des Mines et des Ressources hydrauliques.
Bissiri Joseph Sirima se présente comme une des figures emblématiques du MPP dans les Cascades. Dans cet entretien qu'il a bien voulu nous accorder, il invite les acteurs de son parti qui, de façon souterraine, mettent des structures en place, à se ressaisir car, selon lui, ce sont des pratiques qui ne feront pas gagner le parti. Il parle également de son implication dans la résolution de la crise au sein de la communauté musulmane de Banfora et dans l'apaisement de la situation à Nafona où deux officiers de police ont trouvé la mort. Lisez !
A quelque quarante-huit heures de la clôture officielle de la campagne pour la présidentielle de 2010 au Burkina, le candidat de la majorité présidentielle a choisi la région des Hauts-Bassins pour son avant- dernière rencontre avec les électeurs. Le meeting du mercredi 17 novembre 2010 à Bobo-Dioulasso a tout simplement été une démonstration de force pour un candidat qui n'a pas lésiné sur les moyens pour faire de ce rendez-vous un véritable succès populaire.
Blaise Compaoré en allant à Abu Dhabi répond ainsi à une invitation maintes fois renouvelée depuis près d'un an maintenant par son Altesse, le Sheick Zayed à visiter les Emirats Arabes Unis (EAU).
Accueil des grands jours à Abu Dhabi, entretiens au sommet entre les deux chefs d'Etat, visite du complexe industriel de la zone franche de Dubaï dénommé le Jebbel Ali.
Mais, le président du Faso garde des autorités de Abu Dhabi, une disponibilité à financer des projets socio-économiques dans notre pays.
Dans la plupart de ses sorties publiques et médiatiques de ces derniers mois, le président Blaise Compaoré avance qu’il a la majorité du peuple avec lui. Ayant cette majorité, il serait alors bien fondé de faire passer tous ses projets de réformes, même les plus controversés comme ceux relatifs au sénat et à la révision de l’article 37 de la constitution. Pourtant, quand on y observe de près, la majorité dont il se réclame est plus fictive que réelle. Sur la base des élections présidentielles organisées au Burkina Faso depuis 1991, les scores obtenus par le candidat Blaise Compaoré n’ont jamais approché la majorité du corps des inscrits, encore moins la majorité du potentiel électoral. Sa majorité électorale a toujours été une minorité dans le corps social.
Blitta-gare, 20 nov. (ATOP) – Deux châteaux d’eau, fonctionnant grâce à l’énergie solaire, ont été inaugurés, le dimanche 19 novembre à Laouwaï et Katakpé, deux villages de la commune Blitta 1.
Le préfet de Blitta, M. Atcholi Aklesso, a inauguré, le mois dernier à Pagala-Bouzia, dans le canton de Pagala-Gare, une mosquée d’une capacité de 300 places, bâtie grâce à deux généreux donateurs saoudiens, MM. Ahamed Al Amoudi et Oumar Bin Hatas, qui, à travers leur représentant au Togo, El Hadj Haroun, ont entièrement financé les travaux pour un coût global de 2.500.000 F CFA.
Blitta-gare, 29 déc. (ATOP) – La douzième édition du concert spirituel annuel de reconnaissance à Dieu a tenu « toutes ses promesses » le jeudi 28 décembre au Centre internationale de conférence de Blitta (CICB).
Blitta-gare, 16 déc. (ATOP) – Le canton de Koffiti à 50 km au sud de Blitta-gare, a été doté d’une Unité de soins périphériques (USP) dont l’inauguration s’est déroulée le jeudi 15 décembre.
Suite et fin Le problème de l’eau est capital dans le désert où il fait excessivement chaud. Les tout premiers pèlerins et même à un temps pas très reculé, nos prédécesseurs avaient beaucoup souffert d’eau. Mais de nos jours les autorités saoudiennes ont installé quelques bornes fontaines. Mina n’est vivant que pendant les 4 jours de rassemblement des pèlerins qui vivent sous des tentes. Après c’est pire qu’un cimetière. Quelques bâtiments : l’Hôtel de Police, le Ministère du Pèlerinage, l’Hôpital et la Grande Mosquée du Khaïf.
Au mois de novembre dernier les musulmans se sont rendus par centaines de milliers, aux Lieux Saints de l'Islam, Médine et La Mecque. Cela a été pour certains un renouvellement, pour d'autres, leur premier voyage. J'étais de ceux qui ont effectué le pèlerinage à La Mecque de 1975. Peut-être le 1.500.000e pèlerin. J'avais, dès mon retour parlé de ce qui se passe là-bas, sur cette terre d'Arabie Séoudite, cette terre bénie par Allah. Mais je n'avais pas tout dit. J'ai attendu douze mois, la veille du prochain voyage, pour revenir sur le pèlerinage aux Lieux Saints, celui de 1975. Cela, je l'ai voulu ainsi afin d'analyser ce voyage et ce qui se passe en ces Lieux Saints de l'Islam, sans passion et dans la plus grande sérénité. Je ne cache pas que c'est dur, pénible, épuisant et harassant, le pèlerinage à la Mecque. Ceux qui ont déjà fait ce voyage et qui ont eu la chance de revenir dans leur pays respectif, en savent beaucoup sur le déroulement de cette migration annuelle où tous les hommes deviennent égaux quels que soient leur origine et leur rang social ; où on ne reconnaît plus chef d'Etat ou manœuvre ; où tout le monde s'annule devant la grandeur et la lumière du Dieu Unique, et où tout le monde demande le pardon, et l'absolution.
Environ une cinquantaine d'étudiants béninois de l'Université islamique de Médine en Arabie saoudite, désirant revenir au Bénin, se retrouvent dans l'impasse depuis plusieurs mois. Et ce, en raison de l'indifférence des autorités béninoises à l
Contre tout projet de légalisation de l’homosexualité au Burkina Faso, la communauté musulmane de l’ouest a organisé une assemblée générale à la grande mosquée de Dioulasso-Ba (Bobo) ce samedi 12 septembre 2015. En plus de l’homosexualité, cette assemblée générale a permis à la communauté musulmane de l’ouest d’évoquer les « préoccupations des musulmans au Burkina Faso ». Entre autres, les musulmans au Burkina Faso aimeraient la création d’un ministère de culte, la juste représentativité des cadres musulmans dans les Hautes administrations, le retour de l’arabe au collège…
La coordination des Associations Islamiques de l'Ouest a initié un meeting pour élaborer la synthèse des préoccupations des musulmans en vue d'attirer l'attention de la classe politique, de l'administration sur l'urgence et la nécessité de les prendre en compte. C'était ce samedi 12 septembre 2015 à Bobo-Dioulasso.
Sur invitation de la Coordination des associations islamiques de l’ouest, des responsables des Organisations de la société civile (OSC) dans la ville de Bobo étaient à la mosquée de Dioulasso-Ba ce samedi 03 octobre 2015. Venus pour écouter les « sages », les leaders de dix OSC (G10) sont repartis avec une « enveloppe symbolique », une batterie de bénédictions et des conseils…
Le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao (LAT), était le porteur d'un message du président du Faso aux autorités coutumières et religieuses de Bobo, le lundi 14 janvier 2013. Remercier celles-ci pour leur implication constante au maintien de la paix au Burkina, et par la même occasion demander leurs prières et bénédictions pour que règne la paix sur la terre des Hommes Intègres. Tel était l'essentiel du message de LAT à ses visités de Bobo.
La cérémonie de commémoration du 56ème anniversaire des forces armées nationales a eu lieu ce mardi 1er Novembre 2016. Une occasion, pour rendre hommage à la nation, à toutes les victimes de la barbarie et de la lâcheté et en particulier aux vaillants soldats tombés au champ d'honneur. C'est sous le thème « démocratie, défis sécuritaires et progrès économique et social : contribution des Forces armées nationales » que l'armée nationale a voulu commémorer le 56ème anniversaire de sa création.
La cérémonie de commémoration du 56ème anniversaire des forces armées nationales a eu lieu ce mardi 1er Novembre 2016. Une occasion, pour rendre hommage à la nation, à toutes les victimes de la barbarie et de la lâcheté et en particulier aux vaillants soldats tombés au champ d'honneur. C'est sous le thème « démocratie, défis sécuritaires et progrès économique et social : contribution des Forces armées nationales » que l'armée nationale a voulu commémorer le 56ème anniversaire de sa création.
C’est aujourd’hui, 11 décembre 2014, jour du 54ème anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso que sa majesté M’Pa Yacouba Sanou a été inhumé. Décédé dans la journée du dimanche 08 décembre 2014, le Chef des Bobo Mandaré est enterré dans la même cour que feu, son père.
Le ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme, Abdoul Karim Sango a procédé à la remise officielle de la Mosquée réhabilitée de Dioulassoba à la communauté musulmane de Bobo Dioulasso, ce jeudi 5 septembre 2019.
Interpellé à travers les réseaux sociaux, le comité de réhabilitation et de gestion de la mosquée de Dioulassoba a livré une conférence de presse le vendredi 12 octobre 2018, pour donner des explications suite à la dégradation constatée sur certaines parties de la bâtisse de la mosquée. Selon les conférenciers, l’entrepreneur reconnait sa responsabilité dans la situation et s’engage à prendre en charge les coûts de réparation des dégâts.
Les représentants des associations islamiques de Bobo-Dioulasso ont organisé une marche meeting avec d'autres communautés religieuses pour protester contre la publication du numéro 1178 du journal hebdomadaire Charlie Hebdo. C'était le samedi 24 janvier 2015 sur la place « Wara Wara » de la Bobo-Dioulasso.