La Banque Islamique de Développement (BID) a tenu les 2 et 3 novembre derniers sa 24e réunion annuelle du conseil des gouverneurs à Djeddah, la capitale économique du Royaume de l’Arabie Saoudite. Mais elle a célébré un double événement, la commémoration de son 25e anniversaire. Cela coïncide aussi avec la célébration cette année du centenaire de la fondation du Royaume. De quoi faire de cette semaine un grand moment de fête, et de Djeddah, un grand carrefour des affaires.
La Banque islamique de développement (BID), institution internationale de développement au service des pays membres et des communautés musulmanes des pays non membres, célèbre son jubilé d'argent (XXVe anniversaire) ce 1er juillet 1999. Ce sera au Palais des congrès de Ouaga 2000. A l'occasion, il est prévu une exposition sur les réalisations de la banque au Burkina Faso et ailleurs dans ses pays membres ainsi qu'un symposium sur le thème «Les pays membres de l'Organisation de la Conférence islamique (OCI) face au XXIe siècle : rôle de la Banque islamique de développement».
La 24e réunion du conseil des gouverneurs de la Banque Islamique de Développement (BID) tenue à Djeddah en Arabie Saoudite les 2 et 3 novembre derniers a fait un plaidoyer pour le secteur privé qui, selon les gouverneurs sera le moteur du développement du futur. « L'avenir appartient au secteur privé », affirme le président de la BID le Saoudien Ahmad Mouhamad Ali. Un symposium a même été organisé qui a été consacré, au cours de la même période, au renforcement de la participation du secteur privé dans les projets d'infrastructure. Partout dans le monde on note un désengagement de l’Etat des entreprises publiques et cela donne des résultats satisfaisants. Le Togo s'est engagé également dans ce processus de privatisation, terme tellement redouté par ce que signifiant des mesures de restructuration qui entraînent des licenciements de personnel Mais il nous faut chercher à connaître les bienfaits de cette politique qui, somme toute, comporte plus d'avantages que d'inconvénients. Dans cet article, le rôle du secteur privé avec les atouts de la privatisation.
La Banque islamique de développement (BID) est une banque dont l'une des préoccupations est d'assister les pays les moins avancés en leur accordant des crédits multisectoriels.
Faire le point de l’exécution des projets financés par la Banque islamique de développement (BID) et apporter des solutions aux problèmes y afférents, tel est l’objectif de la seance de travail qui a réuni hier au Bénin Sheraton hôtel à Cotonou, les membres de la délégation de la BID, les chefs des projets financés par cette institution et Mme Célestine Zanou Wètohossou, directrice de cabinet du ministre du Plan, de la Restructuration économique et de la Promotion de l'Emploi.
Les autoroutes de l'information constituent aujourd'hui une donnée incontournable dans tout processus de développement. Y accéder est devenu la préoccupation de toute institution ou nation qui veut être à la pointe de la communication. C'est dans cette optique que la Banque islamique de développement (BID) a institué un réseau de systèmes d'information OCl dénommé OICIS-NET. Depuis le 30 juillet, le Burkina Faso a intégré ce réseau dont les multiples avantages contribueront certainement à renforcer ses facilités de communication.
A l'occasion de la célébration du 25e anniversaire de la Banque Islamique de Développement (BID), son président, entouré de ses principaux collaborateurs, a donné un point de presse afin de faire le bilan de l'action de cette banque. Il a également saisi l'occasion pour parler des ambitions de la BID pour l'avenir.
Dans le cadre d’une visite de travail et d’amitié de 48 heures dans notre pays la République Populaire du Bénin, le Dr Mohamed Ali, président de la Banque Islamique de Développement et le camarade Zul Kifl Salami, ministre du Plan, de la Statistique et de l'Analyse Economique ont procédé vendredi dernier à la signature d’une Convention. Par cette convention, la Banque Islamique de Développement met à la disposition de notre pays une somme d’un montant de 1.400.000 dollars US soit environ 600 millions F CFA non remboursable. Ce fonds servira à la construction à Natitingou d’un Complexe agricole et à la formation de techniciens d’encadrement pour ledit Complexe.
La Banque islamique de développement (BID) entend renforcer sa coopération avec l'Etat de Côte d'Ivoire. Son vice-président chargé des opérations, Amadou Boubacar Cissé, conduit une délégation de hauts représentants de la Banque, dans le cadre d'un séjour de travail en Côte d'Ivoire. Dans le pavillon d'honneur de l'aéroport Félix Houphouet-Boigny, le mardi 4 juillet dernier, Amadou Boubacar Cissé a été plus explicite sur le séjour de la délégation de la BID.
Le secteur bancaire béninois est de plus en plus actif, il s'enrichira bientôt d’une nouvelle banque, la Banque Islamique du Bénin. L'assemblée générale constitutive s'est tenue, hier mardi 26 septembre, à la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin, à cotonou. La cérémonie d'ouverture de l'assemblée générale a été présidée par l’ancien ministre d'Etat, Zul-Kifl Salami, en présence des actionnaires constituants, des hommes d’affaires et autres investisseurs.
Que se passe-t-il donc au sommet de la hiérarchie religieuse musulmane de Bantè pour que les fidèles de cette communauté en soient parvenus à se scinder en deux tendances distinctes, ayant chacune à sa tête un guide spirituel ou imam ? Le dévouement à Dieu doit-il s’embarrasser de considérations bassement matérielles et égoïstes ou doit-on plutôt, en tant que serviteur de Dieu, s’astreindre à beaucoup d’humilité, d’abnégation et de charité humaine? Tel ne semble pas être le cas aujourd’hui à Bantè où le drame qui se joue au sein de l’importante communauté musulmane confine plutôt à une manifestation de xénophobie, à un relent pur et simple de frivolité et de rejet d’autrui.
L’Amir et chef missionnaire de la Communauté islamique ahmadiyya du Burkina Faso, Mahmood Nasir Saqib a inauguré ce vendredi 20 mai 2016, la « Mosquée Masroor » de Mahouana, département de Kouka dans la province des Banwa. Selon lui, « En plus de l’Adoration d’Allah, cette mosquée doit servir à l’encadrement des enfants afin qu’ils soient éduqués sous la conduite d’un islam tolérant ».
Depuis le samedi 23 février 2008, la rue 1.24, située en pleine zone commerciale de Ouagadougou, porte désormais le nom de rue El hadj Ousmane Sibiri Ouédraogo. Ainsi en a décidé le Conseil municipal de Ouagadougou lors d'une cérémonie qui a réuni plusieurs personnalités dont le maire Simon Compaoré, et le président de l'Assemblée nationale, Roch Marc Christian Kaboré.
Afagnan, 29 jan. (ATOP) – Une mosquée moderne et un bloc de latrines ont été réceptionnés le vendredi 27 janvier à Afagnan, chef-lieu de la commune Bas-Mono 1.
Bassar, 16 jan. (ATOP)- Des offices religieux pour implorer la protection divine sur le chef de l’Etat se sont déroulés le vendredi 13 et le dimanche 15 janvier à la mosquée de Nangbani et à la paroisse Saint Martin de Bassar.
Bassar - La chapelle catholique “Sainte Marie Mère de Dieu" entièrement rénovée, et la mosquée “Imam Aba Fadj Al Abass" nouvellement construite, au chef-lieu du canton de Sanda-Kagbanda, localité située à 33 km au nord-est de Bassar, ont été inaugurées le 2 janvier, au cours des cérémonies de bénédiction et de consécration.
Bassar - La mosquée de Dimori, localité située à 24 km au sud-ouest de la ville de Bassar, a été inaugurée le 30 janvier en présence de plusieurs personnalités locales.
Bassar - La grande mosquée de Tchatchaminadè, localité située à 13 km au nord-est de la ville de Bassar, a été officiellement inaugurée le 18 mars dernier.
Bassar — L’Assemblée Mondiale de la Jeunesse Islamique (WAMY), section du Togo, organise du 29 août au 3 septembre à Bassar un séminaire national de sensibilisation des jeunes musulmans et de vulgarisation de la foi islamique.
Bassar - Le préfet de Bassar, M. Kondimane Bawa Waké a inauguré le 18 mai dernier à Sando-Afouhou, la nouvelle mosquée construite en face du marché de la localité.