L'extrémisme violent ; voici un phénomène qui constitue de nos jours une préoccupation majeure pour la plupart des nations ; un phénomène que l'Organisation de la jeunesse musulmane en Afrique de l'Ouest (OJEMAO) entend combattre. C'est pourquoi, en marge de son 13e congrès ordinaire, elle a choisi de se pencher sur la question lors d'un colloque qui s'est tenu à Ouagadougou. Placée sous le thème : « La contribution de la jeunesse musulmane de l'Afrique de l'Ouest à la prévention de l'extrémisme violent », la cérémonie d'ouverture dudit colloque est intervenue le 16 août 2016.
Lomé, 10 août (ATOP) – Le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme ont été depuis longtemps une préoccupation pour les dirigeants du monde entier. En réponse au phénomène, les chefs d’Etats et de gouvernement du G-7 ont créé à Paris en 1989 le Groupe d’Action Financière (GAFI). En Afrique de l’Ouest, les Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO faisant écho à la mobilisation internationale sur la question, ont créé en 2000, le Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA). Alors que différentes mesures et stratégies sont mises en œuvre pour juguler le mal, la pandémie du Covid-19 vient émousser les ardeurs.
Le bureau de l'Agence des musulmans d'Afrique (AMA/Burkina), a organisé un séminaire de formation à l'intention des directeurs d'écoles de l'ONG Direct-Aid, les 25 et 26 avril 2014 à Ouagadougou.
Au Burkina Faso, de nombreuses ONG interviennent dans divers domaines de développement socio-économique, mais elles ne se ressemblent pas, chacune ayant sa spécificité.