Si la dissension entre confréries musulmanes est moins perceptible à Cotonou, la situation semble critique dans la partie septentrionale. Rencontré à mosquée centrale de Kandi au quartier Bakpara, Buhari Mama Bio, secrétaire des personnes du troisième âge et président de la ligue des droits de l’homme, évoque le sujet…
L'Association burkinabè pour la culture islamique (ABUCIS) organise chaque année, depuis 1993, un séminaire culturel pour renforcer la connaissance et les pratiques islamiques. Cette année, elle n'a pas failli à sa logique. C'est ainsi que du 31 juillet au 7 août se tiendra à la Maison du peuple, son deuxième séminaire islamique.
La communauté islamique Ahmadiyya du Burkina Faso a organisé un point de presse, le jeudi 31 mai 2013, à Ouagadougou. Une occasion pour les membres de l'organisation de lancer leur programme permanent de réhabilitation de 75 forages à travers le Burkina Faso.
La communauté islamique Ahmadiyya, en partenariat avec l'ONG Humanity First et le laboratoire CAPRIL POINT ont organisé, un camp médical gratuit au sein du centre médical de la communauté, les 21 et 22 juillet 2017, à Ouagadougou. Il s'est agi selon les organisateurs, de venir en aide aux populations démunies.
Le Bénin à l’instar des pays du monde entier pleure les victimes de la bousculade qui a endeuillé le Hadj 2015. L’Ong Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a organisé, hier jeudi 1er octobre à la mosquée Ahmadiyya de Cotonou à Kpankpan, une prière inter-religieuse pour exprimer sa compassion aux parents éplorés et surtout pour le repos des âmes des défunts.
Le groupe international d'investissement pour les pays sous-développés Afrique-Golfe représenté par son président pour l'Afrique et le Golfe Son Excellence Cheick Ahmed Tidjani Ampaté Bah et le bureau de la communauté musulmane du Burkina Faso ont donné jeudi dernier une conférence de presse à l'hôtel Indépendance. L'objet de la conférence a porté sur l'accord de financement d'un montant de 5 milliards de F CFA signé par les deux parties et au bénéfice de la communauté musulmane du Burkina.
L’Infosec de Cotonou a servi de cadre hier à un atelier organisé par la Banque islamique de Développement (BID) et le ministère de la Micro Finance. Cet atelier vise à faire la restitution de la synthèse d’une étude relative à un accord de prêt entre le Bénin et cette banque pour la mise en place de micro-crédits.
Depuis l’avènement au pouvoir de Son Excellence le général d’armée Gnassingbé Eyadéma, président-fondateur du RPT, président de la République, la République Togolaise a diversifié sa politique de coopération internationale. A côté des sources traditionnelles ont apparu des sources nouvelles dont l’action appréciable se poursuit. C’est dans ce cadre que se situent les accords de prêts signés entre l’Arabie Saoudite et le Togo.
À Maradi, troisième ville du Niger selon les recensements officiels mais capitale commerciale du pays, un groupe de riches marchands, les 'alhazai' (sing. 'alhaji') s'est constitué au fil des ans grâce en particulier au négoce avec le Nigeria voisin. Ces 'alhazai' sont imprégnés à la fois des valeurs du capitalisme marchand mais aussi de l'islam comme en témoigne leur titre d''alhadj'. À travers de multiples actions, ces marchands ont encouragé la diffusion de l'islam. C'est dans une perspective historique, en remontant à la fondation même de Maradi, que l'auteur retrace les différentes phases de l'accumulation des 'alhazai' et les étapes de l'islamisation de la ville en s'efforçant de montrer comment le premier processus influa sur le second. Il traite successivement de la fondation de Maradi au début du 19e siècle; de la paix coloniale, qui s'accompagna d'un essor du commerce local et permit également aux populations de se déplacer pour des motifs religieux; de l'ère de la traite arachidière, dès 1930; et du développement du grand commerce avec le Nigeria et de l'islamisation de la ville après 1970.