C’est donc lui, ‘’notre’’ ancien hôte qui avait gîte et couvert avant 2014 dans le quartier huppé de Ouaga 2000 qui est devenu notre bourreau ! Maintenant dirigeant de la coalition djihadiste Nusrat al-Islam wal-Muslimin (Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans), il a revendiqué la double attaque du 2 mars 2018 dans la capitale. Il s’est accoquiné avec des hommes politiques qui ont depuis traversé la frontière. Il a établi des relations incestueuses d’affaires avec des officiers supérieurs de notre armée, depuis en geôles, ou toujours dans les rangs.
Après avoir écouté le colonel Kadhafi pendant six heures d’horloge au cours de sa fameuse conférence de presse marathon, après l’avoir approché comme nous l’avons fait au cours du grand déjeuner qu’il a offert sous une tente, après quelque deux semaines à Tripoli, il nous a été donné de constater par nous-mêmes que tout ce qu’on raconte sur la Libye et son chef n’est qu'un écran de fumée qui se dissipe au contact de la lumière, de la réalité. Je n'avais jamais entendu parler du colonel Kadhafi sans les épithètes de bouillant, d’impulsif, de coléreux. A Tripoli c'est au contraire, un colonel Kadhafi calme, sincère, franc et même avec une coquetterie de prima donna que nous avons rencontré.
« Pour une nécessaire solidarité entre les religions afin de contrer l’expansion du terrorisme ». C’est par ce thème, que la communauté islamique Ahmadiyya du Burkina a tenu, du 24 au 26 mars 2017 à Kouba ( à 25 kilomètres au sud de Ouagadougou, dans la commune de Koubri), sa 26èmeconférence annuelle dénommée Jalsa Salana. S’appuyant sur les réactions, l’on peut dire que c’est avec pleine satisfaction et un engagement plus soutenu, que les treize mille participants ont refermé les portes de leur retraite spirituelle dans la soirée de dimanche, 26 mars 2017.
Jama'at islamique Ahmadiyya ! Cette congrégation religieuse est au Burkina Faso depuis 1989. Parmi les activités qu'elle mène dans ce pays figure en bonne place la construction de dispensaires, d'écoles, de mosquées et bientôt un hôpital. En outre, elle s'active à la formation de la jeunesse dans l'idéal islamique, "selon les enseignements du Coran, des Hadices et des prophètes". C'est dans ce cadre que 700 jeunes musulmans de diverses provinces ont bénéficié du 5 au 7 octobre 2001 d'une formation théorique et pratique sur les préceptes de l'Islam. A cette formation, la deuxième du genre organisée par Jama'at islamique Ahmadiyya se sont associés des jeunes musulmans du Bénin, de la Côte d'Ivoire et du Ghana.
La «Jama'at» islamique Ahmadiyya du Burkina a célébré son onzième Jalsa Salana (convention annuelle) les 8 et 9 avril 2000 à Somgandé dans le secteur 25 côté Est SOCOGIB.
En prélude au XIIe Djalsa Salaria (conférence annuelle) de la Jama'at Islamique Ahmadiyya prévue du 16 au 18 février, une conférence de presse a été donnée au siège de la mission Ahmadiyya hier 15 février par M. Rachid Amir et chef missionnaire de Côte d'Ivoire.
Le missionnaire régional de la Jama'at islamique Ahmadiyya des Hauts-Bassins, Ali Asghar a organisé un dîner à l'hôtel RAN Somkèta de Bobo-Dioulasso à l'occasion de la fête de Ramadan qui marque le jour de l'an chez les musulmans.
Du 23 au 25 mars s’est tenu à Bustan-e-Mahdi Kouba(espace baptisé par les Ahmadiyya) à Koubri sur la route de Kombissiri la 18è conférence de la Jama’at islamique Ahmadiyya sur le thème « Le Khalifat est-il une institution qui garantit la paix dans le monde ». En prélude à cette rencontre, les responsables de cette communauté et leurs convives de l’étranger ont rencontré la presse pour expliquer la philosophie du Ahmadiyya. Un malentendu lié à une approche philosophique oppose le reste de la communauté islamique aux Ahmadiyyas. Selon leurs détracteurs, la Jama’at Ahmadiyya est une secte suscitée par l’Occident pour contrecarrer l’islam orthodoxe. Pour les responsables Ahmadyys qui ont échangé avec les journalistes le 21 mars dernier, ces allégations sont loin d’être la vérité. Ils estiment qu’ils sont sur la voie tracée par le prophète Mohamed, qui selon eux avait parlé de son vivant de dernier de Mahdi qui allait venir à la fin de temps.
La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a organisé du 18 au 20 décembre dernier à Djrègbé, commune de Sèmè-Podji, la 27e édition de la conférence annuelle de l’association pour le compte de 2015.
La Jamaat islamique Ahmadiyya du Burkina Faso a organisé du 21 au 23 mars 2003 à Ouagadougou sa 14e conférence annuelle dénommée "Jalsa Salama". Placée sous la présidence de l'Amir Jamaat Ahmadiyya du Burkina, M. Mahmaad Nasir Sapib, cette conférence a réuni plus de cinq mille (5000) adeptes venus de toutes les provinces du Burkina. Par cette conférence, Ahmadiyya entend oeuvrer à la formation morale et spirituelle de ses membres dans l'optique des enseignements du saint Coran. Ce n'est un secret pour personne, de mauvaises interprétations de ces enseignements ont plongé le monde dans un spectacle de dérives multiples et multiformes. Face à ce constat désolant, la Jamaat islamique Ahmadiyya du Burkina ne cesse de mener des actions à même de stimuler les valeurs morales et spirituelles dans le sens d'établir l'indispensable relation entre l'homme et son créateur.
La Jamaat islamique Ahmadiyya du Burkina a organisé une conférence de formation des jeunes les 28, 29 et 30 janvier derniers à Somgandé au secteur 25 de Ouagadougou sur le thème: «Contribution des jeunes au rayonnement de l'islam». Cette conférence appelée IJTEMA est une rencontre de formation morale et spirituelle des jeunes qui constituent le fer de lance du progrès de la Jamaat islamique ahmadiyya du Burkina Faso.
Il s'est tenu à Somgandé du 5 au 7 octobre 2001, la convention annuelle de la jeunesse de la Jamaat Islamique Ahmadiyya. Cette rencontre du Khudam-ul ahmadiyya a regroupé plus de 700 Jeunes venus de plusieurs horizons du Burkina. Le missionnaire en chef Mahmood Nasir Saqib a présidé la cérémonie d'ouverture en présence de Souleymane Kaboré. le Sadar Khudam-ul ahmadiyya du Burkina Faso et des missionnaires régionaux.
Le Jamat Islamique Ahmadiyya du Burkina Faso, situé sur l'avenue Bassawarga et le Centre médical de Gounghin ont offert gratuitement une soixantaine de poches de sang à l'hôpital Yalgado- Ouédraogo de Ouagadougou le samedi 14 octobre dernier. Ce don de sang selon M. Souleymane Kaboré, président des jeunes Ahmadistes du Burkina s'inscrit dans les actions de bienfaisance du Jamat pour sauver des milliers de vies en danger. Au même moment s'est déroulé à Youba, localité située à une vingtaine de kilomètres de Ouahigouya dans la province du Yatenga, un camp médical.
Le ministre de la Défense nationale et des anciens combattants, Jean Claude Bouda, a effectué une visite dans la garnison de Dédougou, le samedi 24 juin 2017. En marge de cette visite, le ministre a également rencontré les autorités administratives, coutumières et religieuses, pour leur faire part de l'objectif de cette visite.
Jean-Baptiste Sanou est président de l'Observatoire national des faits religieux (ONAFAR), un organisme institué le 28 janvier 2015 dans le but de « surveiller les contenus médiatiques à caractère religieux, de suivre l'application de la réglementation sur les pratiques culturelles, de promouvoir la tolérance et le dialogue inter-religieux, ainsi que de renforcer les capacités des leaders religieux et des animateurs des médias confessionnels et laïcs. »
Lomé — Un concours national de meilleurs lecteurs du saint Coran a été organisé le dimanche 26 février dernier dans «l’amphi 20 ans» de l’Université du Bénin par la JEIB (Jeunesse Estudiantine Islamique de l’Université du Bénin). Cette manifestation se situe dans le cadre de la célébration de la nuit de la Destinée : nuit au cours de laquelle Allah a révélé le coran au prophète Mahomet et qui coïncide avec le 27e jour du Ramadan, vise à inciter les jeunes à la lecture du coran. Les candidats au nombre de 11 viennent de toutes les régions du Togo. La cérémonie a été ouverte par le président de l’Union Musulmane au Togo Cheik Afoda Safouwane en présence de M. Inoussa Bouraïma, ancien ministre de la Défense nationale et parrain de la JEIB et du secrétaire général du mouvement M. Amadou Tadjidini.
Des voyages à la Mecque pour le pèlerinage 2018, des tablettes et des smartphones. Tels sont les prix offerts aux lauréats de la 10ème édition du jeu concours sur la famille et les compagnons du prophète Mahomet, dans la mosquée du centre des études
Michel Gbagbo s'est rendu jeudi dernier à la mosquée Bilal de Port-Bouët II pour faire un don de 40 sacs de sucre à la communauté musulmane de cette localité, dans le cadre du Ramadan. "Je suis venu, a indiqué Michel Gbagbo, en vue d'apporter soutien et réconfort à la communauté musulmane de Port-Bouët II, et à travers elle, toute la grande famille de la communauté. Nos frères sont à l'épreuve de Dieu.
Comme convenu, des fidèles musulmans ont jeûné ce lundi 26 décembre 2016 pour demander au Tout-Puissant de contrer les terroristes hors des frontières du Burkina. Selon El Hadj Mahamadi Dera, Président de l'Association des muezzins Saïd Bilal du Burkina (AMSBBF), cet acte de piété a été suivi par plus de 316 fidèles pratiquants.
C'est aujourd'hui probablement que les fidèles musulmans du Burkina Faso et du monde entier entament le jeûne du mois du Ramadan communément appelé carême. Troisième des cinq (5) piliers de l'islam la religion musulmane, le jeûne est une abstinence de boire, de manger, d'avoir des relations sexuelles et de toutes pratiques contraires à la volonté divine; étalé sur 29 ou 30 jours, le jeûne commence toujours selon l'exigence de l'islam par l'apparition du croissant lunaire.
Depuis ce 24 avril 2020, les musulmans burkinabè à l’instar d’autres pays ont entamé les 30 jours de jeûne. Pour le jeûne de cette année, le Burkina Faso est confronté à une pandémie rendant un peu difficile pratiques enseignées par la religion. Pour cerner les enseignements et les bonnes pratiques à observer durant ce mois. Lefaso.net est allé à la rencontre de l’imam Tiégo Tiémtoré de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina Faso (AEEMB) et du cercle d’études, de recherche et de formation islamiques (CERFI).
Tsévié, 7 avr. (ATOP) – Le centre Al Fourkane d’Agoè Zongo de l’ONG Direct’Aid, une organisation koweitienne, a remis des kits alimentaires à des musulmans vulnérables des préfectures du Zio et d’Agoè-Nyivé le mercredi 6 avril à Tsévié.