En taisant un regard rétrospectif, on se rend compte que le jeûne est une ancienne forme d'adoration reconnue par les religions antérieures y compris le paganisme.
Islam : lundi c'est zembendé Le lundi 26 avril 1999 marquera le 10e jour du nouvel an musulman (Mouharram) connu sous le nom de “Zembendé", "Djoménei" ou “Hâram” respectivement en mooré, dioula et fulfuldé.
La section béninoise de la fondation Mohammed VI des Oulémas africains a tenu, ce samedi 30 juin, à Cotonou, un colloque international sur '' les constances religieuses communes et leurs impacts sur la consolidation des valeurs de tolérance et de modération''. Gotha religieux et musulmans venus d'ici et d'ailleurs ont marqué de leur présence cette rencontre scientifique.
Le conseil supérieur d'Ahl ul Bayt pour la culture et le développement (CSA/CD), en collaboration avec l'Institut international al Moustapha, ont célébré la journée d'Al Mahdi (as), le 21 mai 2016 à Ouagadougou, sous le signe de « la question de l'Imam Mahdi (as), une réalité religieuse et universelle ». La conférence publique organisée à cet effet a été animée par Ousmane Paré et Ibrahim Ouédraogo. On retiendra que s'il y a divergence par rapport à l'identité du sauveur de l'humanité, cependant l'ensemble des courants philosophiques, scientifiques, politiques et religieux pensent que quelqu'un viendra à la fin des temps sauver l'humanité de l'oppression, des guerres et de tous ses problèmes.
Historique du jeûne
Le jeûne par définition est une abstinence. Autrement dit une privation du corps et de l'âme de certains besoins naturels les plus appréciés, comme la nourriture, la boisson, les relations sexuelles et la parole. Exemple, le jeûne de la parole de Marie. Il serait tout d'abord :
Dans le département de Piéla, province de la Gnagna, un enfant miraculé avait fait l'événement, en octobre 1993. A sa naissance, il portait une écriture arabe innée sur son aine droite dont Mouhammad était la transcription.
Selon les termes d'une lettre adressée à tous les musulmans du Burkina dont copie est parvenue hier soir à notre rédaction, le signataire, El Adj Souleymane Derra, présentateur de l'émission musulmane à la télévision accuse le bureau de la Communauté musulmane de "se regrouper pour aller faire un congrès à Yako sans l'avis de l'Imam”. Entendez le grand Imam de Ouagadougou El Adj Abdoul Salam Tiemtoré.
Les musulmans, comme à l’accoutumée, ont sacrifié cette année encore aux deux importants rituels de la tabaski : la prière des deux rakats et l’immolation du mouton, le 20 janvier dernier. Dès 8 heures, les places habituellement choisies pour l’accomplissement de cet acte religieux étaient déjà occupées. Hommes, femmes et enfants, comme indiqué dans le principe de l’islam, ont pris d’assaut ces lieux de prière et d’invocation d’Allah.
La prière est le deuxième pilier de l'Islam, après la profession de foi et avant le jeûne du ramadan, l'aumône légale et, le pèlerinage à la Mecque. C'est dire donc toute son importance dans l'acte de soumission à Allah. La mosquée que vient de construire une mécène à Gounghin, un quartier de Ouagadougou, est le symbole du don de soi, de la foi. Ce lieu de culte a en effet la particularité d'être climatisé, au grand bien de ses utilisateurs. C'est un fait très rare sous nos cieux, pour que nous le passions sous silence.
La Communauté musulmane du département de Béguédo dans la province du Boulgou, dispose maintenant d'une nouvelle mosquée. L'inauguration de cette mosquée a eu lieu le vendredi 11 février 2000. C'était au cours d'une cérémonie qui a mobilisé une grande foule.
Dans la partie septentrionale du Bénin où la population est majoritairement musulmane, l’émergence de nouveaux courants islamiques rend difficile, la cohabitation entre les fidèles musulmans. La paix est menacée et les positions se radicalisent. Immersion dans une guerre d’idéologies dans les communes de Kandi et Malanville.
Nous vous proposons, ci-dessous, le résumé du sermon de l'Aïd El Kebir 2007 prononcé par l'imam Tiégo Tiemtoré, le 19 décembre, sur le terrain de l'UFR/SDS à l'Université de Ouagadougou, qui nous a été transmis par l'AEEMB.
Du 15 au 17 septembre 2011, l'Association des muezzins souhada said bilal (AMSSB) du Burkina a organisé un séminaire de formation à l'intention des muezzins. Les travaux se sont déroulés dans la salle de conférence de la grande mosquée de Ouagadougou.
Toutes les structures œuvrant dans le domaine de l'éducation détiennent désormais une base de données sur les caractéristiques des foyers coraniques existant au Burkina Faso. A travers le Recensement général des foyers coraniques (RCFC) 2013, le Cercle d'études, de recherches et de formations islamiques (CERFI) met à leur disposition des chiffres fiables.
La journée du mahdisme a été célèbrée par l'Association islamique d'al Mawadda au Burkina Faso (AIM-B) sous forme de dîener-débat le 7 juillet 2012 à Ouagadougou. Placé sous le signe de « la croyance philosophico-religieuse de la venue du sauveur », ce dîener-débat s'est déroulé au siège de ladite association.
Au Bénin, l’Islam ne semble pas constituer de foyer d’extrémisme, même au nord du pays où il est majoritaire. Et ses relations avec les autres religions sont paisibles. Cet équilibre est-il menacé ?
S’il y a une mesure barrière qu’on a du mal à respecter scrupuleusement en matière de lutte contre le Covid-19, c’est bien la distanciation sociale. Mais selon Ismaël Tiendrébéogo, imam au Cercle d’études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) et à l’Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina (AEEMB), elle peut bien s’appliquer dans les mosquées à condition que la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) engage une sensibilisation et une bonne communication en direction des fidèles ; certains la considérant comme un phénomène nouveau, car ne l’ayant jamais pratiqué.
La corruption! Elle semble de plus en plus répandue et sous des formes les plus diverses. Que faire pour la conjurer, cette gangrène? L'adhésion de tout le monde dans cette lutte qu'on doit mener à cette fin est plus que nécessaire. Mais commençons par nous référer à nos propres convictions, morales, religieuses et autres. Dans cette optique, monsieur Chaiub Al Hassanne Abdul Adl a jeté le pavé dans la marre par un article qu'il a publié dans nos colonnes (cf. L'Observateur n° 3805 du 7 décembre) et qui analyse la corruption sous l'angle de sa religion à lui qu'il connaît bien: l'islam. Il a souhaité que d'autres religieux-de l'Eglise catholique ou apostolique- viennent à la rescousse en développant la position de la Bible par rapport à la corruption, pour qu'ensemble ils puissent convaincre la société de la bannir.
"L'islam et Démocratie" est le thème d'une conférence-débat organisée par l’Association des Elèves et Etudiants Musulmans au Togo sous-section de l'Université de Lomé ; (AEEMT-UL).
L'hôtel Relax a servi de cadre samedi dernier à un dîner-débat islamique. Organisé par le Cercle d'étude, de recherche et de la formation islamique (CERFI), ce diner-débat était animé par Boubacar Fofana et Abdallah Dziguiba Cissé. Venus d'Abidjan, ces deux prêcheurs sont bien connus des télespectateurs burkinabè pour l'émission “Islam et société” de la télévision nationale.
Pour redonner à la langue arabe sa place d'antan, un stage de formation est organisé à l'intention des enseignants de cette langue. Cela se passe au lycée technique de Ouagadougou, du 23 février au 1er mars 2001.
Un comité de soutien de l'ensemble des associations islamiques aux actions du Comité national de lutte contre la pratique de l'excision (CNLPE) est mis en place depuis samedi dernier. C'est l'heureux résultat qui a sanctionné les travaux du séminaire de sensibilisation sur les méfaits de l'excision à l'attention des responsables des associations islamiques. Ce séminaire débuté le mardi 11 mars, s'est achevé samedi après-midi sur un fond de satisfaction, les séminaristes s'étant engagés à se faire des alliés inconditionnels de la lutte que mène le CNLPE pour la disparition de la pratique de l'excision. Exposés, projections de films, débats ont nourri la recherche de solutions, voies et moyens de sensibilisation des fidèles musulmans.