Malgré la controverse, les députés ont quand-même voté à l'unanimité, la loi relative à la légalisation de l'avortement au Bénin. Ceci, au grand dam de la Conférence épiscopale du Bénin (Ceb) qui a quelques heures plutôt, avant la survenue de ce vote
Le Président de la République, Laurent Gbagbo, a offert, le vendredi 27 août dernier, 1 tonne de sucre et autant de riz à la communauté musulmane d'Adzopé et des localités environnantes comme Agou, Assikoi, Bécédi-Brignan et Yakassé-Mé. C'est le ministre Léon Emmanuel Monnet, maire de la commune d'Adzopé, qui a présenté le don.
Créée en 1986, l’Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina(AEEMB), commémore cette année ses 30 ans d’existence. C’est justement pour marquer cet évènement que les membres de l’association ont organisé un séminaire autour du thème « AEEMB, 30 ans de promotion de l’islam et d’engagement, acquis et défis » à Ouagadougou. A cette occasion, nous avons rencontré le président de la structure Ali Sawadogo, afin de lancer un regard sur le bilan des 30 années écoulées et les défis que se fixe l’association pour les années à venir.
AEEMB : comment affronter le 21e siècle? L'Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina, AEEMB, organise du 15 au 22 août, à Ouagadougou, un séminaire sur la “jeunesse musulmane face aux défis du 21e siècle”.
Du 3 au 9 mai 2015, l'Association des Elèves et Etudiants Musulmans du Burkina Faso(AEEMB) organise sur toute l'étendue du territoire la 3eme édition de la Semaine nationale de la solidarité(SNSI), semaine au cours de laquelle les cœurs seront ouverts aux personnes les moins nanties. Le lancement a eu lieu le dimanche 3 mai dans le conseil général de Sanmatenga.
« Jeunesse musulmane et engagement citoyen », c’est le thème de la 15ème édition du séminaire régional de l’encadrement islamique (SEREENI), qui se tient du 29 août au 5 septembre 2020, dans la tradition musulmane. C’est la ville de Ziniaré, chef-lieu de la région du Plateau Central, qui a abrité la cérémonie d’ouverture officielle de cette quinzième édition du SEREENI, qui se déroule concomitamment dans cinq villes différentes. L’édition se tient sous le parrainage de El Hadj Moussa Kuanda.
L'Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina (AEEMB) organise du 23 au 29 août 2012 à Banfora, un Séminaire régional de Formation islamique sous le thème : « Rôle et place de la jeunesse musulmane dans l'unité de la Oummah burkinabè ». Ce séminaire est placé sous la présidence de Souleymane Soulama, maire de la commune de Banfora.
Le 16e congrès ordinaire de l'Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina (AEEMB) s'est tenu du 25 au 28 décembre 2016, sous le thème : « trois décennies d'existence : bilan et perspectives ». L'événement a été marqué par l'investiture du nouveau président du Comité exécutif, pour un mandat de deux ans.
L'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) a procédé, dimanche 29 janvier 2006, au lancement officiel de son site Web, nouvelle version.
L’association des élèves et étudiants musulmans du Burkina, AEEMB, a clos son XVè Congrès extraordinaire le dimanche, 28 décembre 2014 à l’Amphi A600 de l’Université de Ouagadougou. Cette rencontre qui s’est ouverte le 25 décembre s’est achevée par le renouvellement des instances de l’association. La cérémonie de clôture a connu la présence de plusieurs leaders musulmans et des « frères » des autres confessions religieuses.
L'aéroport international de Bobo-Dioulasso peine à décoller. Les chiffres du trafic sont à la traîne depuis un bon moment. Qu'est-ce qui est fait pour redonner du souffle à cette plateforme aéroportuaire ? Reportage.
La mission conduite par le directeur général des cultes, Bamba Messamba, pour régler le conflit lié à la gestion de la mosquée de Man qui perdure entre les sunnites est loin d’avoir porté ses fruits. D’après nos sources, sur une instruction d’Ahmed Bakayoko, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Bamba Messamba a foulé le sol de la capitale de la région du Tonkpi, du 18 au 20 juin dernier.
Le gouvernement a tranché définitivement sur la crise née de la destruction de la mosquée de Panzani, un quartier de Ouagadougou. En effet, le gouvernement, dans un communiqué daté du 6 mai 2021, a attribué le terrain litigieux à la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB). Cette décision de l’exécutif ne semble pas faire l’unanimité. Le chef de file de l’opposition (CFOP), Eddie Komboigo, pour sa part, reste sceptique. Pour lui, cela peut conduire à une autre crise.
Le Gouvernement a définitivement tranché le conflit né de la destruction de la mosquée de Panzani, le 7 septembre 2020. Dans un communiqué en date du 6 mai 2021, l’exécutif a décidé d’attribuer le terrain litigieux à la Fédération des Associations Islamiques du Burkina Faso (FAIB) « à l’effet de permettre la réalisation de toute infrastructure ou toute activité en faveur de la communauté islamique ».
Le journal d'Etat, Sidwaya, a été cité à comparaître le jeudi 5 juillet 2018 au Tribunal de grande instance de Ouagadougou pour diffamation pour son article intitulé « Sécurité islamique de Pouytenga, les dessous d'une affaire ». Le dossier a été renvoyé au 19 juillet prochain.
Ceci est un communiqué de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) sur l'affaire « sécurité islamique » qui a secoué l'opinion nationale.
La création ou la confirmation d'un « groupe de sécurité » à caractère islamique à Pouytenga dans le Kouritenga inquiète la Toile au Burkina Faso. Le prédicateur Dr Isaac Kindo, qui était dans la ville, dément la formation d'un groupe au même caractère que les koglweogos. Le ministère de la sécurité, lui, affirme qu'il a lancé une investigation.
Le weekend passé, une information faisant état de la création d’une « sécurité islamique » à Pouytenga, à l’Est du Burkina, a causé une vague d’indignations sur la toile. Malgré le communiqué du ministère de la sécurité, les internautes ne semblent pas être convaincus des « mesures éventuelles à prendre » par le gouvernement. Sur cette question, on peut lire des commentaires approuvant la mise en place de cette « sécurité islamique », même certains d’entre eux prétendent que c’est de l’ironie.
Faisant suite à une publication sur les réseaux sociaux sur une "Sécurité islamique " à Pouytenga, la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) s’est saisie de l’affaire pour comprendre et mieux situer l’opinion. L’information a provoqué une multitude de réactions d’inquiétudes sans doute justifiées par le contexte actuel.
La liberté d'expression est aujourd'hui au centre d'intenses controverses. Parmi ceux qui la revendiquent, il s'en trouve qui se croient tout permis. Tant et si bien que la France, pays de la Déclaration universelle droits de l'Homme, a dû prendre des mesures préventives, pour assurer la protection des biens et des personnes.