Le Cercle d'études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) a procédé a l'investiture de son nouveau bureau exécutif national chapeauté par Moussa Nombo, reconduit pour un mandat de trois ans (2013-2015). C'était le 3 février 2013 à Ouagadougou.
Le Cheick Adama Aorèma Ouédraogo est l'auteur d'une publication appelée « Invocations tirées du Saint Coran et de la Sunna » éditée par l'imprimerie Sonaza. Le Cheick Adama Aorèma Ouédraogo met à la disposition des fidèles musulmans cette œuvre afin qu'ils vivent sainement leur foi de croyants. Ce recueil, issu du saint Coran, est un appel à la soumission et au respect des préceptes établis par la religion musulmane. C'est le rappel de la vie du bon musulman qui est mis en exergue à la bonté et la soumission. Cette brochure compte 89 pages et vient rappeler aux sœurs et aux frères en Islam, que la religion musulmane est en somme une sorte de reconnaissance envers Dieu le créateur.
La communauté musulmane de Natitingou a célébré, ce mardi 21 août, la fête de la Tabaski. A la place Idi, la traditionnelle prière suivie d’offrande consacrant la commémoration a rassemblé des milliers de fidèles.
Offrir une éducation de qualité aux couches défavorisées, notamment les enfants fréquentant les foyers coraniques, ceux en situation de rue et les femmes. C’est l’ambition d’IQRA, une organisation de la société civile qui s’est donnée pour mission de contribuer à l’instauration d’une paix et d’un développement socio-économique et culturel durable au Burkina Faso et dans la sous-région. Au cours d’un déjeuner de presse organisé ce samedi 3 août 2019 à Ouagadougou, IQRA a dressé le bilan de ses réalisations.
Le Directeur général de l'Organisation islamique pour l'Education, les sciences et la culture (ISESCO) entreprend, du 21 au 23 mai 2013 une visite de travail au Burkina Faso.
Le directeur général de l'Organisation islamique pour l'Education, les Sciences et la Culture (ISESCO) est en visite de travail au Burkina Faso, du 21 au 23 mai 2013 pour une visite de travail au Burkina Faso.
Dans le cadre de son programme d'activités, l'observatoire "Qui vive" des conditions de vie des femmes, du Groupe de recherche sur les initiatives locales (GRIL) a organisé une conférence sur le thème "Femme et Islam" le mardi 2 novembre 1999 au Centre culturel Georges Méliès. La conférence a été animée par Mme Penda MBow, historienne à l'Université Cheick Anta Diop de Dakar (Sénégal). Pour elle, si la femme occupe un rang de second plan en Islam, c'est parce que la lecture des textes islamiques est quelquefois biaisée.
Boubacar Tamboura, enseignant de français à Komki Ipala, réagit face à l'article de M. Baro, «le mariage contractuel en islam», paru dans «Le pays» du mercredi 24 mai 2000. Dans sa réaction, M. Tamboura souligne que le mariage contractuel est en réalité «un mariage de jouissance, déshonorant, abrogé, interdit en islam» et affirme que l'article de M. Baro est «truffé de demi-vérités et de vérités mortes qu'il convient de corriger avant la pollution des esprits».
Mieux outiller les Imams et responsables musulmans pour une propagation plus efficace et plus saine des valeurs islamiques au profit de la société, tel est l'objectif d'un séminaire de formation qui a débuté hier à Ouagadougou sous l'égide du Centre culturel arabe libyen en collaboration avec l'Association mondiale de l'appel en islam. Une centaine d'Imams et prêcheurs venus de six provinces du Burkina prennent part à ce séminaire qui durera une semaine.
Samedi dernier, a eu lieu à l'INJEPS, la clôture de la 4è colonie de vacances islamique. Organisée par l'Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina et le Cercle d'études, de recherche et de formation islamique, cette présente édition était placée sous le parrainage de Madame Ouédraogo Alizèta, DG de la Société burkinabè des manufactures et cuirs (SBMC). Pendant deux semaines, près de 280 enfants ont reçu une formation portant sur la prière musulmans, la morale islamique et bien d'autres aspects de l'islam.
Cette année, le 1419e anniversaire de la naissance du prophète Mouhammad (Paix et salut sur lui et sur sa pure famille) sera célébré partout à travers le monde du 25 au 30 juin 1999. Une occasion pour les musulmans de rendre grâce à Dieu.
C'est aujourd'hui le 10e jour de la nouvelle année musulmane 1417. Que nous rappelle-t-il, ce jour dit achoûra ? Connu sous le nom de “zambendé” “djomenei” et “Hâram", respectivement dans les trois langues nationales mooré, dioula et fulfuldé, l'achoûra est aussi appelé “jour de feu". Il donne lieu à des manifestations diverses dans certaines de nos sociétés africaines telles que se jeter de l'eau sale, se jeter des oeufs pourris, se pourchasser avec des flambeaux, etc. Bref, ces manifestations qui, souvent, créent des troubles dans l'ordre public, est par conséquent dangereuses pour la sécurité des gens, n'ont rien à voir avec les recommandations islamiques.
S'il y a des musulmans qui fêtent l'anniversaire de la naissance du prophète Mouhammad (Paix et Salut sur lui et sur sa famille), il y a d'autres qui, en plus de cela fêtent celle des membres de sa famille notamment : Fatimah Zahra, sa fille et Ali Ibn Abi Thalib, son cousin et héritier ; ce sont les Chi'ites.
Cette année, le 1418e anniversaire de la naissance du prophète Mouhammad (Paix et Salut sur lui et sur sa pure famille) sera célébré partout à travers le monde du 07 au 12 juillet 1998. Une occasion pour les musulmans de rendre grâce à Dieu.