Le respect de la dignité humaine, l'acceptation du prochain dans sa différence, la culture du civisme, la lutte contre l'insécurité et la promotion de la paix au Burkina Faso sont autant de thèmes qui tiennent à cœur au cheikh soufi Moaze, guide de la communauté spirituelle musulmane des soufis.
Faire les études islamiques ne garantit pas l’insertion dans l’administration publique béninoise. Et pour cause, les profils recherchés ne sont pas conformes à ceux de ces diplômés. Cet état de choses crée un sentiment de frustration dans le rang de ces derniers.
Le 27 Avril, jour anniversaire de notre accession à l'indépendance, a été fêté hier dans tout le pays. A Lomé, la journée a été marquée dans la matinée par des offices religieux musulman, catholique et protestant dans la salle des congrès de la maison du RPT.
Le dernier recensement général de la population et de l’habitat commence par livrer ses secrets. Ainsi, les travaux de traitement des données collectées lors du dénombrement du RGPH4 qui s’est déroulé en mai 2013 sur toute l’étendue du territoire national, ont permis de mettre à la disposition des utilisateurs les statistiques sur les effectifs de la population.
A travers la Fondation de solidarité d’aide aux peuples africains (FOSAPA), la Turquie a mobilisé plus de quatre milliards de francs CFA pour la construction d’infrastructures éducatives dans notre pays. De ces infrastructures, figure en bonne place le Lycée privé Médina situé à Ouaga 2000. Bâti sur une aire de quatre hectares, cet établissement a été inauguré le 7 février 2013 à Ouagadougou par le ministre des Enseignements secondaire et supérieur, Moussa Ouattara.
Une école primaire bilingue anglais-français et laïque ouvrira bientôt ses portes au quartier Amanwignon à Parakou. La pose de la première pierre de cette infrastructure socio-éducative a eu lieu hier mercredi 10 juin sous l’égide du président de la communauté Ahmadiyya de Palestine en visite au Bénin, Muhammad Sharif Odeh.
Décédé le vendredi 30 mars 2012 à l'âge de 77 ans, l'ancien ministre voltaïque de la Justice, Malick Zoromé, a été inhumé, le lendemain 31 mars, au cimétière de Gounghin à Ouagadougou.
Coris Bank International Bénin a désormais une branche qui s'occupe du financement islamique. Dénommée Coris Bank International Baraka, c’est une finance éthique, responsable et non spéculative qui a été lancée, mardi 5 juin dernier à Cotonou, en présence du ministre d’Etat, chargé du Plan et du Développement, Abdoulaye Bio Tchané, et d’une forte délégation de la communauté musulmane au Bénin.
En démocratie, le pouvoir appartient au peuple et sa gestion est mise en œuvre dans l’intérêt du peuple, dit-on. De même, c’est le peuple qui, à travers des élections, choisit ses gouvernants. Au Burkina Faso, voter est droit pour tous ceux qui en remplissent les conditions. De ce fait, le citoyen burkinabè peut choisir d’en jouir ou non, contrairement à certains pays où voter est une obligation pour tout électeur potentiel.
En marge de la commémoration de l’anniversaire de l’assassinat de Thomas Sankara, la Ligue des jeunes du Burkina (LJB) a organisé, le dimanche 14 octobre 2018 à Bobo-Dioulasso, une conférence publique sur le thème : « Situation sécuritaire et sociale au Burkina Faso : rôle des OSC ». Cette conférence a été animée par Jean Pierre Bayala, magistrat-colonel à la retraite, expert en maintien de la paix et en reforme du secteur de la sécurité et fondateur de la Justice militaire burkinabè ; et par le cheikh Djafar Hema Ouattara, prédicateur musulman, prêcheur et fondateur du Comité culturel de la génération des trois testaments (CCGT).
Le Bénin enregistre depuis quelques mois, plusieurs attaques terroristes qui ont fait des dégâts matériaux et humains par des groupes djihadistes. Le vendredi 15 septembre dernier, l’État Islamique a revendiqué pour la première fois deux attaques effectuées dans le nord du Bénin.
Pressés par les forces armées des pays voisins touchés par le terrorisme, il semble que les groupes terroristes qui sévissent dans la sous-région manœuvrent à faire du nord du Bénin une zone de transit, voire de repli stratégique. C’est du moins l’analyse qui découle de certains faits notés jusque-là. D’autres pistes liées à des individus armés non identifiés récemment appréhendés ou aperçus ne sont pas écartées.
Pour la paix et la cohésion sociale au Burkina Faso, la Fédération des Associations Islamiques du Burkina Faso (FAIB) a organisé le samedi 25 janvier 2020 au Stade Sangoulé Lamizana de Bobo-Dioulasso, une cérémonie de prière placée sous le thème « Rôle et responsabilité des leaders religieux et coutumiers pour la cohésion sociale dans un contexte de défis sécuritaires ». Les communautés chrétienne et coutumière, le gouvernement et des représentants maliens ont joint leur voix à cette cause.
Les muezzins du Burkina se montrent sensibles aux différentes attaques terroristes subies par le pays. Ils expriment régulièrement leur solidarité avec les autorités et surtout avec les Forces de défense et de sécurité. Ces religieux qui annoncent les cinq prières quotidiennes du culte musulman ont prié, ce mardi 24 décembre 2019 à Ouagadougou, pour la stabilité et la cohésion sociale.
Au rang des acteurs qui œuvrent pour la promotion du dialogue et la culture de la paix au Sahel, figure l’Union fraternelle des croyants (UFC) de Dori. Longtemps, cette organisation a bataillé pour une coexistence religieuse et culturelle, notamment à travers des activités socio-économiques bâties autour du « bouli », ce puissant levier de développement à l’échelle village. Aujourd’hui, face à une situation sécuritaire délétère dans le Sahel, le coordonnateur de l’UFC, François Paul Ramdé, est conscient que sans une véritable implication de l’Etat, une revue des mécanismes des projets et programmes et une collaboration civilo-militaire gagnante, le terrorisme gagnera du terrain. Nous l’avons rencontré, le samedi 4 mars 2017 à Dori. Entretien.
L’insécurité au Burkina et plus particulièrement à Djibo, est en passe de devenir un sujet banal, tant il ne se passe pas un seul jour sans qu’on y enregistre un cas d’enlèvement, d’assassinat ou encore d’attaques contre les symboles de l’Etat. Rien que le 15 août dernier, l’Imam de cette grande ville du Nord du Burkina, Souaibou Cissé, pour ne pas le nommer, y a été retrouvé assassiné. Le corps du vieil Imam a été retrouvé dans les encablures de Djibo et plus particulièrement dans le village de Tibéré. Il faut rappeler que l’infortuné avait été enlevé le 11 août dernier à Gaskindé (province du Soum) par des terroristes alors qu’il revenait de la capitale, Ouagadougou. Et comme d’habitude, l’acte a été posé entre Namsiguia et Djibo. Et la distance qui sépare les deux localités, est seulement de 36 kilomètres. Pour les populations de Djibo et pour les tous les usagers de la nationale 22, ce tronçon représente celui de la mort. On l’aborde en se confiant seulement au Tout-Puissant, puisque les Forces de défense et de sécurité (FDS) semblent l’avoir abandonné.
Les villages de Nassoumbou, Diguel, Baraboulé, Goundoumbou, Kéréboulé, Tongomael, Kourfayel… ont reçu la visite des terroristes ces derniers temps. Ces séries d’attaques se sont souvent soldées par des morts d’hommes et de nombreux blessés. Les députés membres de la Commission défense et sécurité avait souhaité effectuer une mission pour apporter soutien et réconfort aux populations qui y vivent et travaillent. Mais, l’exécutif leur a suggéré de différer cette mission, estimant que le moment ne sied pas. Pour certains élus, dire que la situation sécuritaire n’est pas propice pour qu’un député s’y rende, c’est simplement envoyer de mauvais signaux à ceux qui ont choisi de travailler au Sahel, malgré le contexte difficile.
Des enseignants sommés par deux (02) hommes armés sur une moto de quitter leur poste, cela s'est passé dans la province du Soum au Nord du pays. L'information est de la télévision Bf1 dont le reporter a eu un entretien téléphonique avec l'un des enseignants qui ne se dit pas prêt de rejoindre son poste à moins d'une garantie sécuritaire dans la localité.
Le Mali vit une situation périlleuse avec l’occupation du nord par différents groupes armés. Diffa une région du Niger frontalière du Nigéria subit les tentatives d’incursion de Boko Haram. Au Burkina Faso, Ansaroul Islam tente d’établir une base dans le Sahel. Avant que toutes ces situations ne surviennent, le Groupe BLM, à travers son premier responsable Ouézen Louis Oulon analysant la situation au Moyen-Orient, avait conclu que la cible vulnérable à l’avenir était nos pays. Malheureusement, l’histoire lui a donné raison. Comment chercher la solution ? C’est ce qui a fait l’objet des échanges du 21 au 22 novembre dernier à Niamey au Niger autour du thème : « Enjeux du terrorisme en Afrique de l’Ouest : Comprendre pour agir ».
L’Imam de la mosquée d’Agori Plateau à Abomey-Calavi, Moutawakil Boukari Malik, a opiné sur les menaces d’insécurité grandissantes au Bénin. Au cours d’une interview accordée à votre journal, il a fait une série de propositions au président de la République en vue de la réussite de son mandat.
Le Fan club de l’Imam Chakirou Amoussou (Facica) étale ses tentacules vers les départements. Il a procédé, il y a quelques jours, à l’installation des coordinations départementales du Zou à Bohicon et celle des Collines à Savè. L’objectif, selon le