Il est des événements qui ne peuvent passer inaperçus. Leur particularité et l’écho, les propulsent irrésistiblement sur le devant de l’actualité. C’est le cas hier à Zongo, un quartier populeux au sud de Cotonou de l'inauguration de la plus grande mosquée du pays doublée de l'intronisation de son Imam. Les autorités religieuses et politiques de notre pays, des milliers de fidèles étaient venus témoigner et apporter leur soutien à l’oeuvre accomplie.
La communauté musulmane de Cotonou et en particulier celle du quartier Agla était en fête le dimanche 30 décembre 2001. L'événement était capital et l’émotion forte. La communauté musulmane d’Agla inaugurait sa mosquée centrale et par la même occasion célébrait la turbanisation de son Imam en la personne de Djamiou Mohamad Salou Migan. Cette cérémonie a été placée sous le signe de la gloire à Dieu le Tout Puissant, l’exauceur.
Les adeptes de l'islam du secteur 17 arrondissement de Boulmiougou, se sont retrouvés à la mosquée le vendredi 12 mai, plus tôt que d'habitude. C'était l'inauguration de leur lieu de culte. Le président de la communauté musulmane du Burkina, le représentant de la présidente de la délégation spéciale de l'arrondissement de Boulmiougou, l'envoyé du Moro-Naba, les présidents des différentes associations et organisations islamiques ont pris part à cette inauguration.
Avoir une mosquée, où tous les fidèles se réunissent pour la prière du vendredi, tel est le vœu que formulent tous les fidèles d'un village. Ceux du village Carrefour, situé à l'embranchement de la nationale n° 1 et la voie qui mène à la mine de Poura, ont vu leurs vœux exhaucés, grâce à un fils du village.
L'inauguration de la mosquée de Gourga et le lancement des activités de la Fondation Gourga se sont déroulés le vendredi 20 mai 2016 à Gourga, en présence de Salifou Diallo, président de l'Assemblée nationale et patron de la cérémonie, des différentes autorités de la Région du Nord, du Cheik de Ramatoulaye Aboubacar Maïga 2, du Cheik Hamidou Zoungrana, du Cheik Issaka Soré, sans oublier la population qui est sortie très massivement pour l'occasion.
C'est sous la présidence de M. Nomba Ouédraogo, Président de la Cour Suprême et d'une importante délégation gouvernementale qu'a eu lieu vendredi matin, l'inauguration officielle de la belle Mosquée de Kongoussi.
C’est en présence de M. Karim Dramane, ministre de l’Education Nationale que s’est déroulée à Abomey, samedi dernier, la cérémonie d’inauguration de la mosquée du quartier de Zongo devant une foule nombreuse.
Les fidèles musulmans du quartier Bilbalgo (secteur n° 2) et environnants ont depuis le 28 mai 2004 un joyau pour rendre grâce à Allah : une mosquée de vendredi dont l'inauguration s'est déroulée en présence du président de l'Assemblée nationale, du ministre d'Etat, ministre de l'Agriculture, de l'Hydraulique et des Ressources halieutiques, du ministre de la Sécurité, de celui de la Justice, du président du Conseil constitutionnel, du directeur de l'Agence des musulmans d'Afrique ainsi que de nombreux invités dont des autorités religieuses et coutumières.
Le vendredi 28 juin 1996 restera marqué dans la mémoire de bons nombres de fidèles musulmans de Ziniaré, capitale de la province de l'Oubritenga. Il s'agit plus exactement des sunnites de la commune de Ziniaré qui disposent désormais d'une mosquée pour les prières de vendredi et des jours ordinaires. L'inauguration de cette “maison de Dieu” a eu lieu le vendredi dernier en présence des premiers responsables de la province d'Oubritenga, de la Commune de Ziniaré, des responsables coutumiers, religieux (musulmans) et de nombreux fidèles.
Le vendredi 19 novembre 1999 était jour de fête pour la population de Tikaré en général, et, plus précisément pour sa communauté musulmane. En effet, c'est ce vendredi 19 novembre que les fidèles musulmanes de Tikaré, localité située à environ 25 km de Kongoussi, ont procédé à l'inauguration de leur nouvelle mosquée. Femmes, enfants et hommes, tous ont pris d'assaut dès les premières heures de la journée ce nouveau lieu de prière qui les rapprochera davantage à Allah, Dieu Le Père Tout-Puissant. Chants, prières et recueillement, en somme ferveur religieuse: Allah était réellement présent à Tikaré ce vendredi jour de grâces. N'a-t-il pas dit qu'il est là où au moins deux personnes sont réunies pour le prier?
Un bâtiment flambant neuf servant de lieu de dévotion et de prière pour les femmes de la communauté musulmane a été inauguré dimanche dernier à la place de la grande mosquée centrale de Cotonou.
Une délégation libyenne de cinq membres conduite par le Dr Mohamed Ahmed Al-Chérif, est arrivée hier à Lomé. Elle a été accueillie à l’aéroport par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération M. Koffi Panou et celui de l’Intérieur et de la Sécurité le général Séyi Mèmène. La délégation libyenne est dans notre pays dans le cadre de l’inauguration du Centre islamique de Lomé II, construit par la Jamahirya arabe - libyenne. Cette cérémonie, a déclaré le Dr Al-Chérif, témoigne de la coopération agissante entre la Libye et le Togo.
La communauté musulmane de Kloto a réceptionné hier sa nouvelle mosquée au quartier Zongo de la ville de Kpalimé. C'était lors d'une cérémonie d’inauguration qui s’est déroulée en présence de M. Komivi Akado, secrétaire régional du RPT, préfet de Kloto, de El Hadj Boukari Bonfoh, président de l'Union musulmane du Togo et de nombreuses personnalités politiques et religieuses.
Lanfièra localité située à une cinquantaine de kilomètres de Tougan, chef-lieu de la province du Sourou était en fête le vendredi dernier. Et pour cause, le village a inauguré ce jour sa deuxième mosquée après la première construite vers 1800 par le fondateur de Lanfièra Mahamoudou Sanogo dit Karamo Lanfièra.
Alors que la communauté musulmane s’apprête à entamer ce vendredi, 24 avril, un mois spécial de Ramadan en raison de la pandémie du coronavirus, les locaux de la radio “La voix de l’islam“ étaient en flammes dans la matinée de ce jeudi, 23 avril 2020
Les victimes de l'incendie qui a ravagé neuf maisons au quartier Tokoin-Lycée à Lomé le 17 août dernier ont bénéficié des biens de première nécessité et des fournitures scolaires. L’ensemble, composé de vêtements, de vivres et des cahiers, est estimé à 1.488.000 francs CFA. Ce geste humanitaire qui leur a été fait jeudi dernier à l’école Franco-Arabe, émane de l’ONG-Jabal Nour Al Khairiya.
On ne peut toucher au beignet sans s’enduire la main d’huile. C’est là, un proverbe bien connu de chez nous et le sieur Agnambodè Liamidi Adissa, 38 ans, chauffeur de son état et demeurant au quartier Lokossa à Porto-Novo, l’apprendra à ses dépens.
Le ministre des Droits humains et de la promotion civique, Albert Ouédraogo, après avoir rencontré les communautés musulmane et catholique les 11 et 12 juillet 2012 à Ouagadougou, a rencontré la communauté protestante le lundi 16 juillet 2012 à la Fédération des églises et des missions évangéliques du Burkina (FEME). Cette tournée a pour but de recueillir des conseils et suggestions auprès des religieux pour faire face à l'incivisme grandissant au Burkina Faso.
L'Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina (AEEMB) a procédé, le 23 mars 2017 à Banfora, au lancement de la 12e édition de ses séries de formations islamiques dans les 45 provinces du Burkina Faso. Présidée par la haut-commissaire de la province de la Comoé, cette initiative s'est déroulée sous le thème : « L'incivisme en milieu scolaire et estudiantin : quelles solutions pour la jeunesse musulmane ? ».
Avant de reprocher aux cadets sociaux leur incivisme, il faut observer celui des aînés, remarquer que cet incivisme des adultes est le plus souvent anti-laïque, et qu’il est davantage irrespectueux voire méprisant pour la liberté des “autres”, que formateur d’une citoyenneté responsable.
Le respect de la dignité humaine, l'acceptation du prochain dans sa différence, la culture du civisme, la lutte contre l'insécurité et la promotion de la paix au Burkina Faso sont autant de thèmes qui tiennent à cœur au cheikh soufi Moaze, guide de la communauté spirituelle musulmane des soufis.
Faire les études islamiques ne garantit pas l’insertion dans l’administration publique béninoise. Et pour cause, les profils recherchés ne sont pas conformes à ceux de ces diplômés. Cet état de choses crée un sentiment de frustration dans le rang de ces derniers.