Les populations de 100 villages dans neuf communes de Salogo et Mogtédo dans le Ganzourgou, Dapelogo, Nagréongo, Ziniaré et Zitenga dans l’Oubritenga, Boussé, Laye et Niou ont proclamé publiquement éradiquer le phénomène de l’excision et du mariage d’enfants. Cet acte collectif a été posé le mardi 20 décembre 2016 à Tanlili dans la commune de Zitenga. L’initiative est portée par le groupe d’appui en santé, communication et développement.
Au Burkina Faso, le Code des personnes et de la famille (CPF) favorise le mariage d'enfants. Depuis 2006, des activistes des droits humains réclament la révision de ce texte de référence en matière de mariage. Le processus de relecture dudit Code débuté en 2012 a connu une accélération pendant le Régime de la Transition de 2015. Un nouveau souffle qui devrait « légalement » sonner le glas du mariage d'enfants. Mais, jusqu'au premier trimestre 2019, ce n'est pas encore le bout du tunnel. Combien de temps faudra-t-il pour réviser ce document de 123 pages ? Dans le souci de comprendre ce train de retard, nous avons tenté de suivre à la trace la révision du Code des personnes et de la famille… Enquête !
L'Association burkinabè pour la culture islamique (ABCI) a organisé du 11 au 18 août 1996, une semaine culturelle en faveur des jeunes musulmans du Burkina Faso. Pendant une semaine donc, à l'Institut Al Elmi de Hamdalaye, plusieurs jeunes venus de divers horizons ont approfondi leurs connaissances sur l'islam. Le thème de cette semaine était: “L'Islam et la société”. Ce thème se justifie dans la mesure où de nos jours l'Islam est quelque peu indexé, compte tenu de tout ce qui se passe dans les autres contrées. Le cas algérien notamment en est une illustration.
La 4e semaine culturelle de l'Association burkinabè pour la culture islamique (ABCI) a pris fin samedi 1er août 1998 à Ouagadougou. Au cours de cette semaine, l'ABCI a fait partager aux participants venus d'une trentaine de provinces du Burkina Faso, les vertus cardinales de l'islam.
L'association pour la Culture Islamique (ABCI) tient son deuxième congrès depuis le 29 Juillet 1995 au Centre culturel arabe lybien. Ce congrès qui s'achève en principe aujourd'hui, doit permettre la mise sur pied d'un nouveau bureau. Mais en attendant, les participants qui sont pour l'essentiel des élèves et étudiants des écoles coraniques venus de plusieurs provinces du Burkina, se sont penchés sur des thèmes à même de les raffermir et de les faire avancer dans la foi islamique.
L'Association burkinabè pour la culture islamique (ABCI) organise du 4 au 8 septembre 2000 une semaine culturelle sous le thème "l'Islam et les musulmans présents et futurs". La cérémonie de lancement de ladite semaine a eu lieu le 4 septembre à l'institut Al Elmi franco-arabe de Hamdallaye à Ouaga.
Le missionnaire du mouvement Ahmadiyya, Abdoul Rachid Anwar, qui vit actuellement au Canada, était venu au Burkina dans le cadre de la convention annuelle du mouvement Ahmadiyya. Au cours de son séjour au Burkina, il était de passage au journal « Le Pays », le 9 avril dernier. Nous lui avons posé quelques questions en rapport avec l'actualité et la religion musulmane. Nous vous proposons la substance de l'entretien, dans les lignes qui suivent.
Il est très sollicité par ces temps qui courent, entre réunions pour solutionner la crise qui prévaut actuellement au sein de la communauté musulmane, mais nous avons pu l’avoir afin d’en discuter avec lui. Une crise qui n’a toujours pas trouvé une solution qui satisfasse toutes les parties. Lui, c’est Abdoul Rasmané Sana, président de la CMBF. C’était le mercredi 2 septembre 2020 à son domicile.
Les chrétiens du monde entier s'apprêtent à célébrer la naissance du Christ. Moment de réjouissances, la question est de savoir comment cette fête de Noël est vue par l'islam. L'imam Abdoulaye Guitti du CERFI et de l'AEEMB nous éclaire davantage.
Les fidèles musulmans de la Jama'at islamique ahmadiyya se sont retrouvés à Ouagadougou pour la commémoration de la 26e jalsa salana qui a eu lieu du 24 au 26 mars dernier.
Le ministre auprès du premier ministre chargé du Budget, Abdourahmane Cissé, a offert trois cartons de sucre, un carton de lait et de l'argent aux musulmans du groupe de presse La Refondation SA (société éditrice du quotidien Notre Voie et de l'hebdomadaire satirique Bol'Kotch).
Rentré du Koweït en 1981 avec un diplôme de pédagogie en langue arabe M. Abdrahmane Sidibé a réuni certains de ses promotionnaires et anciens amis pour créer le Comité d'appel à l'islam. (CAI)
Entre 200 et 300 musulmans ont manifesté vendredi à Abidjan contre la caricature du prophète Mahomet en une de l'hebdomadaire français Charlie Hebdo, un évènement rarissime en Côte d'Ivoire, a-t-on appris de source sécuritaire.
Le Président du Faso Autrement, Ablassé Ouédraogo, et candidat à la présidentielle de 2015, a réagi au micro de Burkina24 sur ses récentes déclarations sur Jeune Afrique par rapport à ses atouts pour la présidentielle de 2015. Pour lui, c'est notre confrère de Jeune Afrique qui aurait mal retranscrit ses propos. Il affirme avoir envoyé un correctif au magazine. En attendant, il livre ce qu'il a voulu réellement dire.
Le musulman, fils de paysan burkinabè a encore frappé. A Dédougou pour la campagne électorale ce vendredi 13 novembre 2015, Ablassé Ouedraogo, le candidat du « Le Faso Autrement » et de la coalition « Ensemble Autrement » a impacté son auditoire grâce à sa « marque de fabrique ». Tout en déballant son programme politique, l’homme n’a pas dérogé à sa réputation. En se présentant comme un fils de paysan, un musulman « prêt à aller prier ».
Le parti Le Faso Autrement déplore la transcription tronquée des propos de Docteur Ablassé OUEDRAOGO, Président du Parti, et la mauvaise interprétation qui s'en est suivie.
Dans une interview accordée à notre confrère Jeune Afrique, Ablassé Ouédraogo le candidat du parti Le Faso Autrement cite « les trois atouts principaux » qu’il possède et qui pourraient militer en sa faveur au soir du 11 octobre 2015. « Je suis Moagha du plateau central, et les Mossis sont une forte composante du Burkina Faso. Je suis aussi musulman, ce qui n’est pas rien dans un pays où 70% des gens le sont également. Enfin, comme je vous l’ai dit, j’ai un vaste réseau de relations utiles dans le cadre de la diplomatie de développement que nous souhaitons mettre en place ».