L'imam Moustapha Sy, guide supérieur de la communauté musulmane de Côte d'Ivoire, a animé une conférence de presse, le 29 décembre dernier, à sa résidence à Abattoir sur le voyage annulé des 2000 pèlerins pour la Mecques, a demandé à sa communauté d'éviter d'intoxiquer la population en faisant du chantage politique du malheur des 2000 pèlerins pour les terres saintes.
Le président de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (Cdvr) estime que le processus ne sera ni un champ de vengeance, ni le règne de l'impunité. Hier, à l'ouverture du séminaire organisé à Abidjan-Cocody pour mieux s'imprégner des expériences extérieures, Charles Konan Banny a déclaré : nous ne nous sommes pas encore égarés. La route est bien tracée. Le processus ne sera ni vengeance, ni impunité. L'impunité est source de problèmes et la vengeance ne permet pas de construire. On doit éliminer le mensonge et la violence des rapports humains . L'ex-Premier ministre a dit sa foi en la réconciliation des Ivoiriens qu'il est chargé de conduire. Sa foi, a-t-il expliqué, réside dans la volonté affichée par son mandat, Alassane Dramane Ouattara,
Rentré de France où il avait été évacué pour raison de santé, le président du conseil national islamique (CNI) El Hadj Idriss Koudouss a parlé de son hospitalisation, mardi dernier, à Yopougon à l'occasion d'une cérémonie de remise à la communauté musulmane locale des clés d'un établissement confessionnel islamique.
La commission épiscopale pour le dialogue avec l'islam s'est réunie en session ordinaire les 6 et 7 novembre 2001 au centre polyvalent de Ouagadougou, sous la présidence de Mgr Paul Ouédraogo.
Le mardi 3 septembre 1974, à la suite d'une séance de travail à la salle de conférence du ministère de l'intérieur et de la Sécurité sous la présidence du capitaine Michel Aïkpé les membres du Comité National Provisoire de la Conférence Islamique du Dahomey et du Comité pour le Pélerinage de la Mecque 1973 ont eu à porter à la connaissance du ministre les problèmes relatifs à l'organisation de la Communauté Islamique et aux préparatifs du prochain pélerinage à la Mecque.
En tant que croyante, c'est avec intérêt que j'ai lu les articles de El Adj Hamado Ouangrawa sur le pélérinage 91 à La Mecque. Dans son 2e article pour le 9-7-91, son Excellence Omar Diawara Ambassadeur du Burkina en Arabie Saoudite disait en substance qu'en plus du budget alloué à son ambassade, l'Etat devait ajouter un 2è budget qui permettra de compenser les charges financières occasionnées par le séjour annuel des pèlerins. Son Excellence souhaite également que le Burkina prenne des contacts avec des propriétaires de bâtiments saoudiens, ceci pour permettre à nos pèlerins de pouvoir se loger facilement et correctement.
Pour que le burkini fasse son apparition, faut-il que le Burkina possède un accès à la mer, ou à défaut se crée des plages de sable fin en lisières de barrages ? Mais pourquoi, après l’annulation de la compétition “bim-bim”, le Burkina n’organiserait-il pas, en complément de la compétition des Miss qui s’affichent « à l’occidentale » en bikini, un concours de beautés qui défileraient en burkini ? Nous, femmes musulmanes, n’aurions-nous pas droit à coquetterie et reconnaissance ?
La décision du Comité central au cours de sa dernière réunion de vendredi dernier de rompre les relations diplomatiques avec Israël est inspirée par le réalisme qui éclaire notre politique extérieure.
L’Association des jeunes pour la revive de la Sounna (Ajrs) soulage dans le cadre de la célébration de la fête de Tabaski, plusieurs milliers de familles vulnérables et à faibles revenus, dans 17 communes du Bénin dont Abomey-Calavi. Ceci, en mettant à leur disposition du 31 juillet au 3 août, tout ce qu’il faut dont des bêtes immolées, pour passer ces moments de fête dans une allégresse totale et ce, sans anicroches.
Le nouveau président de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) s’appelle Yaya Dama. Il a été élu pour un mandat de deux ans, à l’issue du 16e congrès ordinaire de l’association qui s’est tenu du 25 au 28 décembre 2016 à Ouagadougou.
Les populations de 100 villages dans neuf communes de Salogo et Mogtédo dans le Ganzourgou, Dapelogo, Nagréongo, Ziniaré et Zitenga dans l’Oubritenga, Boussé, Laye et Niou ont proclamé publiquement éradiquer le phénomène de l’excision et du mariage d’enfants. Cet acte collectif a été posé le mardi 20 décembre 2016 à Tanlili dans la commune de Zitenga. L’initiative est portée par le groupe d’appui en santé, communication et développement.
Au Burkina Faso, le Code des personnes et de la famille (CPF) favorise le mariage d'enfants. Depuis 2006, des activistes des droits humains réclament la révision de ce texte de référence en matière de mariage. Le processus de relecture dudit Code débuté en 2012 a connu une accélération pendant le Régime de la Transition de 2015. Un nouveau souffle qui devrait « légalement » sonner le glas du mariage d'enfants. Mais, jusqu'au premier trimestre 2019, ce n'est pas encore le bout du tunnel. Combien de temps faudra-t-il pour réviser ce document de 123 pages ? Dans le souci de comprendre ce train de retard, nous avons tenté de suivre à la trace la révision du Code des personnes et de la famille… Enquête !
L'Association burkinabè pour la culture islamique (ABCI) a organisé du 11 au 18 août 1996, une semaine culturelle en faveur des jeunes musulmans du Burkina Faso. Pendant une semaine donc, à l'Institut Al Elmi de Hamdalaye, plusieurs jeunes venus de divers horizons ont approfondi leurs connaissances sur l'islam. Le thème de cette semaine était: “L'Islam et la société”. Ce thème se justifie dans la mesure où de nos jours l'Islam est quelque peu indexé, compte tenu de tout ce qui se passe dans les autres contrées. Le cas algérien notamment en est une illustration.
La 4e semaine culturelle de l'Association burkinabè pour la culture islamique (ABCI) a pris fin samedi 1er août 1998 à Ouagadougou. Au cours de cette semaine, l'ABCI a fait partager aux participants venus d'une trentaine de provinces du Burkina Faso, les vertus cardinales de l'islam.
L'association pour la Culture Islamique (ABCI) tient son deuxième congrès depuis le 29 Juillet 1995 au Centre culturel arabe lybien. Ce congrès qui s'achève en principe aujourd'hui, doit permettre la mise sur pied d'un nouveau bureau. Mais en attendant, les participants qui sont pour l'essentiel des élèves et étudiants des écoles coraniques venus de plusieurs provinces du Burkina, se sont penchés sur des thèmes à même de les raffermir et de les faire avancer dans la foi islamique.
L'Association burkinabè pour la culture islamique (ABCI) organise du 4 au 8 septembre 2000 une semaine culturelle sous le thème "l'Islam et les musulmans présents et futurs". La cérémonie de lancement de ladite semaine a eu lieu le 4 septembre à l'institut Al Elmi franco-arabe de Hamdallaye à Ouaga.
Le missionnaire du mouvement Ahmadiyya, Abdoul Rachid Anwar, qui vit actuellement au Canada, était venu au Burkina dans le cadre de la convention annuelle du mouvement Ahmadiyya. Au cours de son séjour au Burkina, il était de passage au journal « Le Pays », le 9 avril dernier. Nous lui avons posé quelques questions en rapport avec l'actualité et la religion musulmane. Nous vous proposons la substance de l'entretien, dans les lignes qui suivent.
Il est très sollicité par ces temps qui courent, entre réunions pour solutionner la crise qui prévaut actuellement au sein de la communauté musulmane, mais nous avons pu l’avoir afin d’en discuter avec lui. Une crise qui n’a toujours pas trouvé une solution qui satisfasse toutes les parties. Lui, c’est Abdoul Rasmané Sana, président de la CMBF. C’était le mercredi 2 septembre 2020 à son domicile.
Les chrétiens du monde entier s'apprêtent à célébrer la naissance du Christ. Moment de réjouissances, la question est de savoir comment cette fête de Noël est vue par l'islam. L'imam Abdoulaye Guitti du CERFI et de l'AEEMB nous éclaire davantage.
Les fidèles musulmans de la Jama'at islamique ahmadiyya se sont retrouvés à Ouagadougou pour la commémoration de la 26e jalsa salana qui a eu lieu du 24 au 26 mars dernier.
Le ministre auprès du premier ministre chargé du Budget, Abdourahmane Cissé, a offert trois cartons de sucre, un carton de lait et de l'argent aux musulmans du groupe de presse La Refondation SA (société éditrice du quotidien Notre Voie et de l'hebdomadaire satirique Bol'Kotch).
Rentré du Koweït en 1981 avec un diplôme de pédagogie en langue arabe M. Abdrahmane Sidibé a réuni certains de ses promotionnaires et anciens amis pour créer le Comité d'appel à l'islam. (CAI)