Fortement recommandé à tout musulman, le sacrifice du mouton qui est l’essence même de l’Aïd El Kébir, une continuité de l’acte exécuté par le prophète Abraham en guise de soumission à Allah le Tout Puissant, n’est pas une obligation imposée aux fidèles qui n’en ont pas les moyens. Mais étant donné que chaque poil d’un bélier immolé est porteur d’une bénédiction et que le moment venu, c’est le même animal qui se présentera à celui qui l’aura sacrifié, pour assurer son transport au paradis, on comprend alors l’obsession des uns et des autres à s’en procurer au moins un, quel que soit son prix. Les fidèles musulmans de la cité des Kobourou, conscients de ces réalités, n’ont pas voulu être du reste.
Les musulmans de Godomey à l’instar de ceux du Bénin, ont célébré, mardi 16 novembre dernier, la fête de la Tabaski. La grande prière précédant les festivités, s’est déroulée à la place publique du CEG de Godomey, en présence de nombreux fidèles dont le ministre de l'Energie et de l’Eau, Sacca Lafia.
Tout comme les musulmans du Bénin et du monde entier, la communauté islamique de Cotonou a commémoré, vendredi 26 février dernier, la fête du Maouloud consacrant le jour anniversaire et de baptême du prophète Mahomet. Tout comme les années précédentes, elle s'est retrouvée à la mosquée centrale de Joncquet pour célébrer les manifestations marquant cette fête.
Places Idi et mosquées désertes. C’est l’image que donnaient dans la matinée de ce jeudi 30 novembre, jour du Maouloud, ces lieux de regroupement des musulmans à Bohicon comme à Abomey. Une fête diversement appréciée et qui a suscité peu d’intérêt. A l’occasion de cette journée, des séances de prières et de lectures coraniques sont faites un peu loin des mosquées.
Contrairement à la Tabaski et au Ramadan, hier mardi, jour dédié à la fête du Maouloud marquant l’anniversaire de la naissance du prophète Mahomet, n’a enregistré à Abomey ni à Bohicon de manifestations festives significatives. Mais à Abomey, la soirée de la veille a enregistré une séance de prière dirigée par l’Iman Chouaïbou Nondichao à la mosquée historique. Au cours de cet office religieux, des versets du Saint Coran ont été lus. De même, des prières sont adressées à Allah, le Miséricordieux afin qu’il fasse demeurer et briller davantage sa lumière sur le prophète Mahomet. En cette veille des élections présidentielle et législatives, les fidèles et leur chef religieux n’ont pas omis d’élever leurs voix vers le Dieu unique pour que le Bénin puisse traverser dans la quiétude, la paix et la sérénité cette période sensible.
En cette heureuse et traditionnelle célébration du Mouloud qui commémore la naissance du prophète Mohamed (paix soit sur lui), l'Association burkinabè d'amitié et de solidarité avec les peuples arabes (A.B.A.S.P.A.) adresse ses vives félicitations à tous les fidèles musulmans du Burkina et d'ailleurs.
Les fidèles de l'islam entament cette nuit la commémoration de la naissance du prophète Mahomet (569 après J.C ) soit moins de trois semaines avant Noël. Il s'agit de la fête du Mouloud qui intervient chaque année à la onzième nuit lunaire ou encore au douzième jour du troisième mois lunaire chez les musulmans (Rabi Lawal selon les érudits).
Ils sont venus de la Côte d'Ivoire, du Mail, du Togo, du Tchad, du Niger, d'Algérie... des 30 provinces du Burkina. Ils sont venus par milliers à Ramatoulaye. Ils, ce sont les fidèles musulmans. Un seul Idéal commandait leur déplacement dans ce petit département de la province du Yatenga. Commémorer la fête du Mouloud. La naissance du prophète Mohamed. La fol était donc au rendez-vous. Les bénédictions aussi. Les Invocations surtout.
Les fidèles de la communauté musulmane du Togo ont, comme leurs coreligionnaires du monde entier, célébré dans la ferveur, le dimanche 1er février, la fête d’Al-Hadha ou Tabaski. A cette occasion, des prières ont été dites de Lomé à Dapaong pour implorer la bénédiction divine sur le Togo, ses fils et ses dirigeants.
Cette année, le zom-koom aura un goût amer à l'occasion de la fête du ramadan. Pour cette raison : le prix du sucre a connu une hausse alors qu'ailleurs à la même période, c'est l'inverse. A qui la faute ? Les commerçants pointent un doigt accusateur sur les fournisseurs de ce produit de grande consommation. En cette veille de l'Eid-el Fitr, une équipe de L'Obs. a fait un tour d'horizon dans la zone commerciale.
A l'instar des autres musulmans du Bénin, ceux d'Abomey et de Bohicon ont célébré mercredi 1er octobre, la fête du Ramadan dans les divers lieux de prières. Partout, les Imans ont prié pour le chef de l'Etat et pour que la paix revienne dans toutes les composantes de la nation afin de répondre à cette exhortation de leur ancêtre, qui veut que tous les fils et toutes les filles du pays, bouchent de leurs doigts la jarre trouée.
Les musulmans du Burkina ont célébré, hier la fin du Ramadan ou Ide al fitr. Cette fête couronne un mois de jeûne où la foi était à son summum. Tôt dans la matinée, des milliers de musulmans ont convergé vers les places publiques - les mosquées devenues exiguës pour la circonstance - pour s'acquitter de la prière, pierre angulaire de la fête.
Dapaong – Les prières pour marquer la fête du Ramadan ont réuni les fidèles musulmans de la région des Savanes, le mercredi 10 avril dans les différentes localités en présence des autorités administratives, politiques, militaires et religieuses au-devant desquelles les préfets.
Dapaong, 10 avr. (ATOP) – Les prières pour marquer la fête du Ramadan ont réuni les fidèles musulmans de la région des Savanes, le mercredi 10 avril dans les différentes localités en présence des autorités administratives, politiques, militaires et religieuses au-devant desquelles les préfets.
Les musulmans du canton de Bè et de ses environs ont marqué la fin de jeûne du ramadan le samedi 15 décembre par une prière au CEG Bè-Plage, qui demeurera leur lieu de prière pour les événements des grands jours.
Contrairement aux fausses informations qui circulent dans les réseaux et qui fixent samedi comme étant le jour de la fête du Ramadan au Bénin, l’Union islamique du Bénin (Uib) , seule instance habilitée à renseigner sur cette célébration sur le territoire béninois, n’a encore fixé aucune date. C’est d’ailleurs à cet effet qu’elle a décidé de se réunir dans la soirée de ce vendredi 22 mai 2020 à son siège à Cotonou. Ainsi, de cette rencontre, la communauté musulmane du Bénin sera située sur la date officielle retenue, pour cette célébration.
Trente jours après le mois béni du jeûne de Ramadan, les fidèles musulmans de par le monde, ont renoué avec les pratiques habituelles qui leur étaient interdites durant cette période. Pour marquer la fin de ce moment de privations, les fidèles d’Allah au Togo se sont donné rendez-vous, hier, en différents lieux de prière, sur l’ensemble du territoire, pour remercier le miséricordieux pour ses actions de bonté dans la vie de chacun. A Lomé, la grande prière de fin du jeûne de ramadan a eu lieu sur le terrain du Lycée de Tokoin, en présence du Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé, des membres du gouvernement et plusieurs autres personnalités. Ce fut l’occasion pour l’officiant l’Imam Karim Sani, vice-président de l’Union Musulmane du Togo (UMT), d’invoquer Allah, le Très miséricordieux, pour qu’il inonde le Togo de sa paix et éloigne l’humanité des calamités éprouvantes.
Le pardon, la réconciliation et la recherche d'une paix juste et durable sont les vertus que les musulmans doivent cultiver comme l'enseigne l'Islam, en vue d'une élection présidentielle apaisée. C'est le message que l'Imam de la grande mosquée de la Riviera golf, à Cocody, El Hadj Mamadou Traoré, a lancé, hier, lors de la prière de l'Aïd El Fitr, la fête de la rupture qui marque la fin d'un mois de jeûne et de veillée de prières.
Le pardon, la réconciliation et la recherche d’une paix juste et durable sont les vertus que les musulmans doivent cultiver comme l’enseigne l’Islam, en vue d’une élection présidentielle apaisée. C’est le message que l’Imam de la grande mosquée de la Riviera golf, à Cocody, El Hadj Mamadou Traoré, a lancé, hier, lors de la prière de l’Aïd El Fitr, la fête de la rupture qui marque la fin d’un mois de jeûne et de veillée de prières.
Du 20 juillet au 18 août, les musulmans du Burkina se sont acquittés du troisième pilier de l’islam, le jeûne. Après donc 30 jours d’abstinence, d’adoration d’Allah et d’exécution de bonnes œuvres sociales, ils ont célébré ce dimanche 19 août 2012 la fête de l’Aid-el-Fitr, marquant la fin de ce mois de pénitence et de bénédictions. A la Place de la Nation, c’est l’imam de la grande mosquée de Ouagadougou, EL Hadj Aboubacar Sana, qui a dirigé la prière. Au nom du dialogue interreligieux, l’archevêque de Ouagadougou, Mgr Philippe Ouédraogo, a assisté à cette prière pour transmettre le message de l’église catholique à la communauté musulmane du Burkina.
Débuté le 14 novembre dernier, le jeûne musulman a pris fin dans la nuit du samedi dernier après l'observation du croissant lunaire. Après ces trente jours de repentance, de pardon, et de rémission des péchés, les musulmans de Côte d'Ivoire ont célébré, hier, la fête de Ramadan ou l"Aid el fitr". A l'école primaire publique Plateau du Port-Bouët II, dans la commune de Yopougon, où nous nous sommes rendus, c'est l'imam El Hadj Koné Idriss Koudous qui a officié la prière. Dans son sermon, le président du Conseil national islamique (CNI) a rappelé le bien-fondé du jeûne aux nombreux fidèles réunis. Selon lui, c'est à cette occasion que le fidèle musulman se fait pardonner ses péchés, en se privant d'eau et de nourriture du lever au coucher du soleil, en priant régulièrement dans un esprit de tolérance et dans un esprit de charité. El Hadj Koné Idriss Koudous est aussi revenu sur les questions d'ordre socio-politique dans son intervention. Pour dire qu'aujourd'hui, "la Côte d'Ivoire est plus que divisée". Il a ajouté que, "les Ivoiriens se regardent en chien de faïence".
Les fidèles musulmans du Burkina ont conclu vendredi dernier le mois de jeûne du Ramadan par la célébration de la fête de l'Aïd Al Fitr. Un mois durant, les fidèles de la religion du prophète Mohamed ont dû observer des règles strictes de leur confession exigées par la marche vers Allah.
Le professeur Issa Kindo nous rappelle ici le sens du jeûne.