Un atelier de trois jours regroupe depuis hier les enseignants arabophones de notre pays. Ils réfléchissent sur l'intégration de l'enseignement arabe dans le système éducatif francophone.
La communauté musulmane a donné le top de départ de ses examens du CEP et BEPC arabes, session 2013. Les premières épreuves ont eu lieu le 17 juin 2013 à Ouagadougou en présence de la ministre de l'Eduction nationale et de l'alphabétisation, Koumba Boly.
L'Organisation des établissements d'enseignement confessionnel islamique en Côte d'Ivoire (OEECI) a organisé hier mardi les examens de fin d'année dans les disciplines arabes. Le lancement officiel de ces examens a eu lieu à l'EPP Municipalité de Koumassi.
Les épreuves du Cepe, du Bepc et du Bac arabe de l'enseignement confessionnel islamique ont démarré hier matin dans 54 localités du territoire national. 4169 candidats, au total, composent 518 centres.
Après trois jours d'intenses travaux, l'Organisation des établissements d'enseignement confessionnel islamique en Côte d'Ivoire (OEECI) a pondu, à l'issue d'un séminaire, les textes fondateurs de la Direction nationale de l'enseignement confessionnel islamique de Côte d'Ivoire. La cérémonie de mise en place de cet organe a eu lieu, dimanche dernier, à la salle de conférence du ministère d'Etat, ministère des Affaires étrangères d'Abidjan-Plateau.
Initiative privée visant à développer l'éducation, l'enseignement franco-arabe, présent au Burkina Faso depuis la fin des années cinquante, demeure un maillon faible, parce qu'ayant évolué pendant longtemps en marge du système éducatif national. Aujourd'hui, tous les acteurs reconnaissent la nécessité de repenser ce sous-secteur, mais des sacrifices doivent se faire de part et d'autre.
L'Association mondiale de l'appel islamique (AMAI) a remis hier 20 juillet 2000 un lot de 6000 fascicules d'une valeur d'environ 7 000 000 F CFA au ministère de l'Enseignement de base et de l'Alphabétisation (MEBA). Ces fascicules, entièrement édités en langue arabe sont destinés aux enseignants des écoles médersas au Burkina. Ces livres contiennent essentiellement des programmes enseignés dans nos écoles primaires. La reproduction de ces fascicules en arabe par l'Association mondiale de l'appel islamique s'inscrit en droite ligne des recommandations des travaux de l'atelier sur l'enseignement arabe tenu du 27 au 29 juillet 1999 à Ouagadougou. Ces 6000 exemplaires embrassent des programmes des matières scientifiques, d'éveil, d'apprentissage de la langue arabe et d'éducation islamique.
L'Association islamique pour la formation et la recherche scientifique (AIFRS) a organisé la deuxième édition de l'exposition de livres islamiques. Le but recherché, outre ses travaux sur le terrain, est de "vulgariser" le livre islamique auprès de l'élève de la médersa.
Des cadres issus des secteurs publics et privés, des enseignants et chercheurs, des étudiants de l'université de Ouagadougou venant des cinq arrondissements du Kadiogo et musulmans d'origine se familiarisent avec les versets coraniques à l'école Franco-arabe Al Mahadoul Islami au secteur 19 à Nonsin. Selon le professeur coranique El hadj Adama Aorema initiateur de la formation, il s'agit, pendant un laps de temps, d'apprendre aux cadres musulmans comment lire et traduire le Coran dans leurs actes quotidiens.
Une étude menée par le Cercle d'étude, de recherche et de la formation islamiques (CERFI) a permis de dénombrer l'ensemble des foyers coraniques du Burkina. Les résultats ont été restitués au cours d'un atelier, le 21 décembre 2013 à Ouagadougou.
Ce samedi 21 juin 2014, a eu lieu au siège du CERFI (centre d’études, de recherches et de formation islamiques) le lancement officiel de la construction du lycée du CERFI. La cérémonie a été parrainée par le professeur Moussa Quattara, Ministre des enseignements secondaire et supérieur. La construction de ce joyau R+3 est un appui que le CERFI apporte à l’enseignement secondaire.
L'Université musulmane d'Afrique, qui est en chantier à la Riviera Bonoumin, devrait ouvrir ses portes en février. La première pierre de cet édifice qui sera bâti sur 1,5 ha a été posée samedi dernier par le Cheick Aboubakar Fofana, président du Conseil supérieur des imams (Cosim). Mais, les travaux débuteront par la construction de l'Institut supérieur de l'imamat en Afrique. Il s'agit, selon M. Mohamed Camara, membre du conseil d'administration de la Communauté musulmane de la Riviera (Cmr), organisation qui a initié le projet, du premier établissement supérieur islamique en Côte d'Ivoire. L'Institut formera des étudiants diplômés en sciences islamiques désireux d'embrasser les fonctions d'imam, d'aumônier, de prédicateur, de muezzin ou de gestionnaire de mosquées et communautés.
La signature des conventions de financement des Organisations à base communautaire (OBC) vendredi 24 janvier 2003, a donné l'occasion à certains responsables d'associations de lutte contre le Sida de nous situer sur leurs activités et d'apprécier le montant reçu.
Chargé par l'Unesco de rédiger en six volumes l'histoire de l'islam et ses implications dans le monde moderne, le Comité des experts islamiques internationaux s'est réuni du 17 au 19 novembre au siège de l'Organisation, à Paris, pour mettre au point les derniers détails du prochain volume.
Le chef de l’Etat, le général Gnassingbé Eyadéma a été profondément affligé par la cruelle disparition d'un homme tel que le roi Fayçal d’Arabie Séoudite.
Le vendredi 2 décembre prochain, notre capitale accueillera, en principe, une grande personnalité du monde arabe : le Cheick Ismaël Abu Daoud. Président de la Chambre de commerça et d'industrie de Jeddah et administrateur de la Banque islamique de développement (BID), le Cheick foulera pour la toute première fois le sol africain à travers le Burkina.
La 8è assemblée générale de la Communauté musulmane qui vient de prendre fin le dimanche dernier, à Yako, s'ouvre sur une ère nouvelle pour tous les musulmans du Burkina. Ceux-ci ont pris l'engagement de se serrer les coudes pour un meilleur épanouissement de l'islam. Le programme du nouveau comité exécutif chargé de diriger la communauté pendant les trois ans à venir est fort riche et porteur d'espoir. Tout devra changer; c'est ce que s'engage à faire en effet El Hadj Toumani Triandé, celui que les musulmans ont placé de nouveau aux commandes de la communauté pour un deuxième mandat consécutif de trois ans. Peu après la clôture, M. Triandé a révélé à la presse nationale les grandes lignes de son programme triennal.
Adama FOFANA n'est plus un homme à présenter. Intellectuel de haut vol, ila déjà une empreinte indélébile dans les rouages de l'Administration et de la politique dans notre pays. Ministre dans le gouvernement de Blaise Compaoré, Président du Conseil supérieur de l'information, il a régalé les Burkinabé, les Africains, par des analyses et des propos sur la démocratie, les droits de l'homme, qui constituent d'ores et déjà des référents pour les générations à venir. Avec sa « Petite Académie », il continue à témoigner sur l'Histoire de notre pays avec courage et compétence. L'homme, qui a toujours bon pied, bon oeil, a accepté de répondre à quelques questions de San Finna.
El Hadj Abdourahamane Konaté, fondateur de la communauté islamique Mouhammadiyyat parle de l'application de la charia et porte un démenti selon lequel il est entrain d'implanter le Mujao en Côte d'Ivoire. Entretien.
Un an après son installation, l'imam central de Natitingou, Check Nourou Dine Mouhamed Sanni, évoque à travers cet entretien les actions qu’il engage pour un retour de la paix au sein de la communauté musulmane secouée par une crise de succession sans précédent. Il jette par ailleurs un regard sur la cohabitation entre les religions et fustige tout acte attentatoire à la vie humaine commis au nom d'une religion.
Depuis le mardi 13 avril 2021, la communauté musulmane observe le jeûne devant conduire à la célébration de la fête du Ramadan. Une période au cours de laquelle, les fidèles musulmans adoptent des comportements très stricts et respectent un certain nombre d’interdits. Dans cette interview,El-hadj Abou Yèkini, Imam de la Mosquée centrale de Godomey-Togoudo et Commissaire chargé de la médiation au Bureau exécutif national de l’Union Islamique du Bénin explique l’importance du carême musulman,ainsi que les mesures prises pour bien passer ces quarante jours de prières en cette période marquée par la pandémie de la Covid-19.