Les choses sont allées vite, très vite. En seulement quatre mois, le gouvernement est passé de la parole à l’acte. La place Idi d’Akpakpa sise au quartier Dégakon fait peau neuve. Désormais, on y retrouve des bâtiments flambant neufs qui serviront de gîte pour les pèlerins au Hadj en provenance de l’intérieur du pays. Prise en Conseil des ministres le 6 février dernier, la décision est entrée dans sa phase active le 26 mars. Trois mois ont suffi à l’entrepreneur, conformément au cahier de charges, pour qu’il sorte les bâtiments de terre. Le résultat est plutôt impressionnant. Deux dortoirs d’une capacité de 320 places occupent une bonne partie de l’espace. D’autres infrastructures dont le bureau d’enregistrement des pèlerins et les toilettes ne sont pas du reste. Quid de la cour dont le pavage sera achevé dans une poignée de jours ? Sur ce coup, il faut reconnaître que le gouvernement a plutôt assuré.
L’ancien président de la République Nicéphore Dieudonné Soglo était dans la soirée du lundi 25 Avril 2022 aux côtés des fidèles musulmans de la mosquée centrale de Cadjèhoun.
Le ministre des Travaux publics et des Transports, Nicaise Fagnon a reçu en audience, dans l'après-midi d'hier mardi 17 février, un groupe d’hommes d’affaires de l'Arabie Saoudite, en visite de prospection au Bénin du 14 au 20 février 2009.
C’est à travers un atelier de formation organisé en collaboration avec l’Université d’Abomey-Calavi et la Fondation Konrad Adenauer, que l’Institut des Artisans de Justice et de Paix (IAJP) a attiré l’attention des mouvements de jeunes des universités du Bénin sur la nécessité de lutter efficacement pour qu’aucune doctrine ou endoctrinement ne s’imposent ou n’imposent leur loi mortifère sur le continent africain. C’était le vendredi 21 mai 2021 au Chant d’Oiseau de Cotonou.
"Quelle éducation pour l'enfant musulman à l'ère des TIC ?". C'est autour de cette problématique que l'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) et le Cercle d'études de recherche et de formation islamique (CERFI) ont organisé pour la 19e année consécutive une colonie de vacances qui a eu lieu du 17 au 31 juillet 2008. Les travaux se sont déroulés au centre socio-éducatif de l'Agence des musulmans d'Afrique (AMA) sise au secteur 28 de Ouagadougou.
S’ils migrent au Bénin pour y suivre une éducation coranique, une initiation pratique à la vie et acquérir le sens de l’humilité, ils deviennent un fonds de commerce pour les maîtres coraniques. Le phénomène des “Talibés“ se métamorphose à une allure inquiétante dans la partie septentrionale du Bénin où son contrôle semble échapper aux gouvernants. De Kandi à Malanville, la réalité est saisissante… Intrusion dans un univers fertile à l’endoctrinement religieux et aux crimes.
Le samedi 10 septembre 2011, la problématique des enfants vivant dans la rue a réuni dans la salle de réunions de la Direction régionale de l'Action sociale et de la solidarité nationale des Cascades une cinquantaine de personnes composée en majorité de maîtres coraniques et de responsables de la communauté musulmane.
La communauté musulmane de Zogbodomey, Sakété, Sô-tchanhoué et Cotonou a reçu un important don de vivres et de non vivres ainsi que des enveloppes financières le dimanche 25 avril 2021. Ce don de l’Union des Femmes Musulmanes pour la Vertu (U.F.M.V) à travers l’ONG Oumoulkhaery vise non seulement à accompagner les fidèles musulmans en ce mois de « Ramadan », mais également à soutenir et montrer la responsabilité de l’islam dans le développement de la nation béninoise.
Le ministre d’Etat chargé du développement Abdoulaye Bio Tchané a reçu dans la soirée d’hier mercredi 1er février une délégation de la communauté islamique du Bénin.
Les leaders de la communauté musulmane du Bénin ont été conviés mardi, 19 septembre 2023 à un atelier national de réflexion sur les enjeux démographiques au Bénin. Ladite rencontre qui s’est déroulée au Centre AsSafwa de Direct Aid à Cotonou, bénéficie de l’appui du Projet pour l’autonomisation des femmes et le dividende démographique au Sahel (Swedd-Bénin).
Le 15 janvier 2016, le couple australien résident à Djibo dans la province du Soum a été enlevé par un groupe affilié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Si son épouse a été libérée le 7 février 2016, jusqu’à ce jour, Dr Elliot, lui, est toujours otage. A soixante-douze heures de l’An I de ce rapt, une faîtière d’organisations de la société civile (OSC) à caractères local et national, réunies au sein du Collectif des OSC actives pour la « Commémoration de l’An I de l’enlèvement du couple Elliot » donne de la voix. Entre devoir de reconnaissances et interpellation des autorités burkinabè…, ce regroupement d’organisations a décidé de marquer cette page noire par plusieurs activités dévoilées au cours d’une conférence de presse ce jeudi, 12 janvier 2017 au Centre national de presse Norbert-Zongo à Ouagadougou.
Le seul patrimoine culturel immatériel accepté par les musulmans est, à notre connaissance, Allah. Et pour eux, « il n’y a de dieu que Dieu ». Il n’en est pas de même pour les religions animistes, polythéistes.
Un mouvement sunnite local a obtenu en 2005 l’attribution d’un terrain “réservé” où avait été érigée une mosquée, puis, plus tard, une école franco-arabe. Mais le Donoble, coutume sèmè (siamou pour l’administration néocoloniale) qui revient chaque 40 ans, approche, et les Sèmè veulent récupérer ce terrain car Djòmò tobrà Tien, la divinité propre à cette coutume, s’y trouve. Aucune conciliation à l’amiable n’a abouti, et c’est l’impasse. La justice républicaine peut-elle trancher ?
“Les uns mangent, les autres regardent”. Cette maxime qui traduit l'égoïsme de l'homme est à la base d'une pratique sociale déplorable : la mendicité. L'oisiveté, le sous-emploi, le chômage, les inégalités sociales et les systèmes économiques mal adaptés constituent autant de maux qui aujourd'hui militent en faveur de la persistence de cette mendicité. La charité et l'aumône que préconisent les prescriptions religieuses sont-elles des solutions véritables pour enrayer le fléau ?
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a rencontré ce mercredi 22 février 2012 la communauté musulmane burkinabè. Il a expliqué à la délégation dirigée par le Dr Aboubacar Doukouré, représentant le présidium de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FIAB), l'enjeu et l'importance de l'enrôlement biométrique et des élections couplées de 2012.
Le grand imam de Ouagadougou, Aboubacar Kassim Sana, est allé se faire enrôler, le 1er août 2012 au bureau de vote n°2 de la zone W, situé à l'école primaire Cissin-pilote. Le porte-parole du collège des Oulémas de la Fédération des associations islamiques du Burkina Faso, Aboubacar Kassim, s'est présenté devant les opérateurs de la CENI du bureau de vote n°2, à l'école primaire Cissin-pilote, le 1er août 2012.
Une délégation de militantes du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) a rencontré, le mardi 31 juillet 2012 à Ouagadougou, les femmes musulmanes de la grande mosquée. La rencontre entre dans le cadre de la mobilisation pour l'enrôlement biométrique qui a débuté dans la zone IV, le 27 juillet 2012.
Le stage de formation pédagogique des encadreurs de l'enseignement de la langue arabe et de développement de la culture islamique dans les pays du Sahel (Burkina, Mali, Niger, Nigeria et Tchad) qui se tenait dans notre capitale a pris fin dimanche dernier, sur une note de satisfaction. Organisé par l'Organisation arabe pour l'éducation, la science et la culture (ALESCO), en collaboration avec l'Association mondiale de l'appel islamique (AMAI), ce stage a permis aux participants d'approfondir leurs connaissances pédagogiques et scientifiques.
Le jeudi 20 juillet 2000 a eu lieu au ministère de l'Enseignement de base et de l'alphabétisation (MEBA) la remise officielle des programmes en arabe. Lesdits programmes ont été reproduits sur des fascicules par l'Association mondiale de l'appel islamique (AMAI) avant de les remettre au MEBA. Le ministère à son tour va se charger de les diffuser dans les medersas.
« Atelier national sur l'élaboration de programmes d'enseignement et la conception de manuels d'alphabétisation au moyen du caractère coranique» est le thème d'un séminaire organisé conjointement par l'Organisation islamique pour l'Education, les Sciences et la Culture (ISESCO) et l'Association Mondiale de l'appel islamique (AMAI).