Le président de la République, Gnassingbé Eyadèma a assisté, hier, aux offices religieux à l’occasion du 37e anniversaire de la libération nationale. Un culte protestant et une prière musulmane ont constitué l’essentiel de ces offices. C’était en présence également du Premier ministre, M. Koffi Sama et du président de l’Assemblée nationale, M. Fambaré Ouattara Natchaba, des membres du gouvernement, des députés, de plusieurs autorités militaires, administratives, politiques, traditionnelles et religieuses et de nombreux fidèles chrétiens et musulmans.
Mercredi, veille de la Journée de la Libération, le général Eyadéma et le gouvernement, les membres du bureau politique et du Comité central du RPT, la présidente de la délégation spéciale pour la Commune de Lomé, le chef de la circonscription de Lomé ont assisté, aux côtés de plusieurs autres personnalités et une foule nombreuse de noire capitale, aux offices religieux organisés pour la circonstance à la Cathédrale, au Temple protestant et à la Mosquée de Lomé.
Le 8 septembre prochain sera commémorée sur toute l’étendue du territoire national, la Journée Internationale de l’Alphabétisation. En prélude à cette manifestation, les musulmans de Lomé ont prié hier à la Mosquée. Dans sa prédication, l’Imam de la grande mosquée, El-Hadj Abdou Rahim Abdou Salami, a saisi cette occasion de prière et de recueillement pour sensibiliser ses adeptes sur le fléau pernicieux qu’est l’analphabétisme.
« L’islam est traité à tort, de religion belliqueuse, extrémiste ou terroriste », c’est le constat de Brahima Fofana, membre du bureau national exécutif du Majlis Khuddam-ul-Ahmadiyya, au cours d’une conférence de presse tenue le samedi 9 novembre 2019, au siège de la communauté musulmane Ahmadiyya sis aux II plateaux.
L’animateur du mouvement «Chrétiens pour changer le monde», Albert Gandonou, en partenariat avec l’institut universitaire du Bénin a organisé vendredi 11 décembre dernier, une conférence de presse dans le cadre des préparatifs d’un colloque international prévu pour les 15, 16, et 17 janvier 2016. Ce colloque a pour thème : «La rencontre des religions et des laïcités pour le réveil de la fierté africaine et la promotion d’un patriotisme éclairé en Afrique».
Travailler à l’enracinement de la paix dans les contrées du Bénin et même du Togo en y impliquant surtout les têtes couronnées et autres personnalités morales traditionnelles. C’est la mission que s’est imposée la Fondation œcuménique pour la paix en Afrique (Fopa). Elle vient ainsi d’achever une longue tournée qui lui a permis d’entretenir les populations sur la problématique de la paix.
Une délégation d'officiels ivoiriens a séjourné, du 31 mai au 6 juin dernier, à Djeddah, en Arabie saoudite sur invitation des autorités de ce pays. Elle était conduite par Dr. Coulibaly Issa Malick, directeur de cabinet adjoint du président de la République. Et comprenait notamment des représentants du Trésor public, du ministère de la Santé et de l'Hygiène publique, et des organisations telles que le COSIM pour préparer le Hadj 2009.
"Nous t'avons choisie pour le parrainage de notre association pour plusieurs raisons. D'abord pour ta simplicité légendaire, malgré ton statut de député de la Nation. En effet, ta porte est ouverte nuit et jour à toute la population de la commune sans distinction ethnique et religieuse. Ensuite, votre engagement et votre bravoure à relever les défis qui se posent à vous sont des exemples à enseigner".
Les premiers feux du onzième anniversaire de la Libération nationale se sont allumés mercredi à la Maison du RPT au cours des offices protestant, catholique et musulman, en présence du chef de l’Etat, président-fondateur du RPT, le général d’armée Gnassingbé Eyadéma. Les fidèles des trois principales confessions de notre pays sc sont retrouvés dans la ferveur, la joie et l'enthousiasme pour offrir au Tout-Puissant les prières du peuple togolais en faveur de son Sauveur le Père du Togo de la Nouvelle Marche.
Les offices religieux catholique, protestant et musulman, célébrés hier matin au parking de la Maison du RPT à Lomé pour implorer la bénédiction de Dieu sur le peuple togolais, ont donné le coup d’envoi des manifestations devant marquer le 27 avril les festivités du 15e anniversaire de notre indépendance nationale.
Les Communautés chrétiennes et musulmanes de notre capitale ont assisté hier matin à des offices religieux, en prélude au 19e anniversaire de notre Libération nationale que nous célébrons aujourd'hui. Partout, que ce soit à la Cathédrale catholique, au Temple protestant ou à la mosquée, les fidèles ont entendu des messages de foi, d'amour, d'union et de paix. A Lomé, Mgr Dosseh-Anyron, le modérateur de l'Eglise Evangélique du Togo, le pasteur Ayivi et l'Imam El-Hadj Boukari Bonfoh ont respectivement imploré le Seigneur afin qu'il répande sa grâce et sa miséricorde sur le peuple togolais et surtout sur le président-fondateur du RPT, le général Gnassingbé Eyadéma que le destin a choisi pour conduire notre pays vers des lendemains heureux. Plusieurs membres du Bureau politique, du Comité central, des autorités politiques et le corps diplomatique accrédité dans notre capitale ont assisté à ces offices religieux.
Le président de la République, président-fondateur du RPT, le général d’armée Gnassingbé Eyadéma a dissous hier matin le bureau de l'Union musulmane du Togo, au cours d’une réunion-dialogue tenue à la Maison du RPT avec tous les responsables des divers comités islamiques. Un comité ad-hoc de 17 membres est chargé de préparer le prochain congrès qui aura lieu le 5 août à Lomé.
Opérateur économique de son état, El Hadj Daouda Lawal actuellement en pèlerinage à la Mecque porte le Bénin dans son cœur. Profitant de son séjour en ce lieu saint de l’Islam, il a fait organiser une prière à l’intention du chef de l’Etat. Grâce à cette initiative, Allah a été invoqué afin que Patrice Talon conduise le Bénin à bon port. L’objectif poursuivi par Daouda Lawal est d’offrir au président de la République l’accompagnement et le soutien spirituels nécessaires pour l’accomplissement de sa mission. Cet office religieux vise à confier le locataire du palais de la Marina aux bons soins de la Providence afin qu’il l’éclaire et l’assiste au quotidien.
Les musulmans du Burkina ont célébré hier, lundi 29 avril, l'Ide Al Kabir. Mosquées et places publiques ont été prises d'assaut par les fidèles, pour la prière. A Ouagadougou, l'imam Koanda a dirigé une grande prière à la place de la Révolution où on a noté la présence de personnalités politiques et coutumières et religieuses. Hamadi Baro vous en dit plus sur la philosophie de l'Ide al Kabir.
Un an. Déjà 365 jours de gestion du pouvoir d’Etat par le gouvernement de la rupture. Douze mois d’une présidence normale de Patrice Talon avec son lot de mesures impopulaires quoique nécessaires, des décisions inutiles et contre productives mais aussi des avancées.
La galère du Hadj, c’est fini. La communauté musulmane, habituée à subir des désagréments dans le cadre de ce pèlerinage, peut désormais dormir tranquille. Cinquième pilier de l’Islam, le Hadj est perçu par tout bon musulman comme une obligation, mieux un couronnement.
Le compte à rebours a commencé. Et l’on assiste au remue-ménage des pèlerins candidats au Hadj. Depuis quelques jours, l’organisation optimale du voyage des fidèles musulmans à la Mecque hante les esprits. Et si avant la mi-août, en amont, les autorités politico-administratives en relation avec les convoyeurs n’ont déjà pas ménagé leurs efforts afin que le pari du rendez-vous sans polémique au 5ème pilier de l’Islam soit relevé, il n’empêche, qu’au fur et à mesure que les jours s’égrènent, l’inquiétude enfle et recommande de redoubler de vigilance.
Ce n’est plus tellement l’apanage des chrétiens catholiques. De plus en plus, d’autres religions font montre d’un engouement pour la société politique. Plus ou moins indifférents à ce qui s’y passait, des courants religieux ont choisi maintenant de s’inviter d’eux-mêmes dans le débat.
Il se confirme pour l’organisation réussie du Hadj. L’adage, jamais deux sans trois sied bien à l’édition 2017 du convoyage des pèlerins à la Mecque à l’ère du Nouveau départ.