Les IIe Journées de la femme musulmane, organisées les 18 et 19 mars à l'ex-CEAO, ont jeté les bases d'une nouvelle réflexion sur l'éducation de la jeune fille croyante. Au sortir de la rencontre, les milliers de femmes retournent chez elles, comme avec ce ferme engagement de combattantes.
Les IIèmes Journées de la femme musulmane organisées par la Cellule féminine du Centre d'études, de recherches et de formation islamique (CERFI), se sont déroulées les 18 et 19 mars 1995 dans la salle conférence de l'ex-CEAO à Ouagadougou. C'est autour du thème “l'éducation de la jeune fille musulmane” que plusieurs centaines de femmes du Burkina, de la Côte d'Ivoire, du Mali et du Niger ont pu réfléchir et échanger leurs expériences.
En attendant de revenir sur les conclusions des travaux, nous vous proposons une synthèse de la conférence publique animée par le célèbre Imam du Plateau (Côte d'Ivoire), El Hadj Djiguiba Abdallah Cissé sur le thème : la problématique de l'éducation de la jeune fille musulmane".
Il s'est tenu au Lycée technique de Ouagadougou du 23 février au 1er mars 2001, un stage national de formation des enseignants de l'éducation islamique et de la langue arabe. La cérémonie d'ouverture qui a été présidée par le secrétaire général du ministère des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique, a connu la présence effective de son collègue du ministère de l'Enseignement de base et de l'Alphabétisation, du représentant de l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ISESCO Hassane Hamawi, de la correspondante nationale d'ISESCO et de l'Association mondiale d l'appel islamique, Oumar Alimichri.
L'introduction de la l'enseignement de la langue arabe à l'école a fait récemment l'objet d'une conférence de presse conjointement animée par le professeur Terra Kalilou (un enseignant du supérieur) et l'imam Diakité de la mosquée de la Riviera Bonoumin. Cette conférence organisée par l'Institut supérieur de commerce et de management (ISCM) a rassemblé de nombreux enseignants dans la grande salle de conférences du ministère des Affaires étrangères.
Les responsables du groupe scolaire confessionnel islamique Al Ansar, situé à Port-Bouët, ont salué, samedi dernier, la contribution financière du directeur général du Port autonome d'Abidjan (PAA), M. Marcel Gossio, à l'occasion de la célébration du 15ème anniversaire de cet établissement. M. Kaba Mohamed Lamine, directeur de l'école, appuyé par le président du conseil d'administration du groupe scolaire, n'a pas tari d'éloges à l'endroit du premier responsable du PAA pour tout ce qu'il a fait pour la réussite de cette fête.
Voir la langue arabe inscrite dans le programme du secondaire et des universités en Côte d'Ivoire. C'est le voeu le plus cher à la communauté musulmane exprimé récemment, à la faveur de l'investiture des dirigeants des structures de base de l'AMSCI - Port-Bouët, au stade de l'abattoir de la commune.
L'Association burkinabè pour le bien-être familial (ABBEF), à travers son antenne de Ouagadougou, a organisé une journée de partage sur les valeurs culturelles et religieuses liées à l'éducation sexuelle des jeunes.
Le centre Hérauts Africains pour la Diffusion de l'Islam (HADIS), en collaboration avec le Programme des Relations Islamo-Chrétiennes en Afrique (PRICA), a organisé, samedi, à la salle polyvalente du Collège Protestant, une conférence interreligieuse. Basée sur le thème « le bonheur est-il dans le matériel ou dans le spirituel ? », la rencontre a regroupé des représentants de différentes confessions religieuses.
Les fidèles musulmans de la ville de Djougou ont vécu une scène horrible la semaine écoulée. La mosquée de Yamoussagah située dans le 2ème arrondissement de la ville s’est effondrée causant un mort et des blessés dont un cas grave.
Un fidèle musulman a trouvé la mort dans l’effondrement d’une mosquée dans la commune de Djougou. Selon les recoupements, le site serait en chantier et les travaux d’élargissement ont été à l’origine du drame.
Malgré le courant islamiste radical qui secoue le monde, nourrissant un durcissement des relations avec les autres confessions religieuses et conduisant à des amalgames, il faut "maintenir le dialogue coûte que coûte". C'est la substance de ce communiqué de presse émanant de la commission épiscopale pour le dialogue avec l'Islam.
Demain mardi 15 octobre, les musulmans du Bénin vont célébrer la Tabaski. A quelques jours de cette commémoration, ceux de Bohicon s’activent à perpétuer la tradition héritée du prophète Abraham. A ce propos, El Hadj Abdou Rahamane, alpha de la mosquée de Zongo à Bohicon et président des ressortissants haoussa précise ici le sens de cette célébration.
Souvent critiqué par ses co- réligionnaires pour ses prises de position en faveur d'un islam pur, Abdoulaye Borro reste cependant très écouté à travers ses prêches dans les mosquées et sur les ondes des radios FM de la ville. Quel sens donne-t-il a la Tabaski ? La manière de fêter aujourd'hui répond-t-elle à l'esprit du Coran? Des questions que Sidwaya a posées à cet homme rompu aux questions religieuses avant son embarquement pour le Hadj-2004.
El Hadj Alidou Kouanda! Il est agriculteur de profession. Plus de la soixantaine environ, il est l'Imam du quartier Cissin Natinga depuis plusieurs années. A l'âge de 20 ans il a effectué son pèlerinage à la Mecque. Le parcours Ouagadougou -Mecque (Makka) - Ouagadougou il l'a fait à pied. Témoignage.
Le Comité de suivi du pèlerinage à La Mecque a animé une conférence de presse le 15 juin 2017 à Ouagadougou, pour faire le point de l'organisation en cours du hadj 2017. Le moins que l'on puisse dire, c'est que les choses semblent être bien ficelées pour que les pèlerins puissent accomplir le 5e pilier de l'islam dans de bonnes conditions.
L'Union musulmane du Togo a un nouveau président. El Hadj Aoufoh Oumorou Nassiki a été élu à la tête du nouveau bureau de l’union. C’était à l’issue des travaux du congrès extraordinaire de l’union musulmane du Togo qui s’est tenu hier à la grande Mosquée de l'ancien Zongo à Lomé.
La communauté musulmane de Côte d'Ivoire a tenu les 4 et 5 juin derniers à la Riviera Palmeraie ses états généraux sur le thème : "les conditions de l'unité des musulmans et leur participation au développement de la Côte d'Ivoire". Les participants, au nombre desquels l'imam El Hadj Bakary Chérif, ont dénoncé les dérapages des imams.
Il fait partie des inconditionnels du président du Faso, ceux qui voient en Blaise Compaoré un homme providentiel et irremplaçable ; une conviction que le président d'honneur de la Fédération associative pour la paix et le progrès avec Blaise Compaoré (FEDAP/BC), région des Hauts-Bassins, a chevillée au corps.
« Assalamou Aleikoum Warahamatoulaï Wabarkatihou » ! Que la volonté de Dieu soit faite. Au nom de Dieu, le Miséricordieux, celui qui fait miséricorde ; — Respectueux hommage à MAMAN N’DANIDA, Vénérée Mère du peuple Togolais. Monsieur le Président de la République,
Porte-parole des imams, conseiller du président du CNI (Conseil national islamique), El Hadj Boubacar Fofana est une personnalité incontournable dans le milieu islamique ivoirien. Nous avons profité de son dernier séjour au Burkina pour aller plus en profondeur dans les problèmes que vit l'islam aujourd'hui. Et El Hadj Fofana, pour ceux qui le connaissent, ne mâche pas ses mots...