Disons-le sans ambages, Dieu et l’Africain, c’est une affaire au-delà de la raison. Opium du peuple, il l’est tellement sous les tropiques que les temples et les mosquées, mieux que la crue, inondent nos villes et campagnes.
Trois jours se sont écoulés depuis le retour de Tripoli du président Eyadéma. Et pourtant, les échos de sa visite en Libye résonnent encore très favorablement à nos oreilles. Les cœurs des militantes et militants du Rassemblement du Peuple Togolais battent toujours au diapason de la satisfaction ramenée de Tripoli.
Sur l’invitation du colonel Mouamar Al Gaddafi, président du Conseil de commandement de la révolution de la République Arabe Libyenne, le général Etienne Gnassingbé Eyadéma, président de la République Togolaise et président national du Rassemblement du Peuple Togolais, accompagné de son épouse, a effectué du 5 au 8 Chawall 1393 de l’Hégire, soit du 30 octobre au 2 novembre 1973, une visite officielle en République Arabe Libyenne, à la tête d’une importante délégation comprenant plusieurs ministres et de nombreux hauts fonctionnaires du gouvernement togolais.
Les pèlerins musulmans ne sont pas au bout de leurs peines. Chaque année, il y en a toujours qui sont laissés en rade, car contraints d’effectuer leur pèlerinage, le cœur plein d’amertume, à la mosquée centrale de Zongo à Cotonou.
C’est le cinquième pilier de l’Islam. Et tout musulman rêve d’accomplir ce rite au moins une fois dans sa vie. Qu’importe le montant à débourser, les musulmans sont prêts à tous les sacrifices et privations pour effectuer le Hadj.
Il se croit tout permis, le préfet du Littoral. Administrateur civil de son état, Modeste Toboula confond tout. La libre administration des communes dévolue au maire et la tutelle administrative qui est du ressort du préfet sont pour lui des notions encore floues.
« Qu’est-ce qui explique les « difficiles rapports » entre l’école et les communautés au Sahel ? Boubacar Ehadji, inspecteur de l’Enseignement du 1er degré à Dori, esquisse des réponses pertinentes à une problématique très complexe, dans la réflexion ci-dessous.
Les enseignants et apprenants de l’Ecole primaire publique du village d’Adjan dans la commune de Zè peuvent pousser un ouf de soulagement quant à leurs difficultés liées à l’insuffisance de mobilier scolaire. La communauté Jama’at islamique Ahmadiyya a mis à leur disposition, ce jeudi 19 avril, 100 tables métriques et bancs pour équiper le module de trois classes entièrement construit par le député Valentin Aditi Houdé, un natif du village.
L'Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina (AEEMB) et le Cercle d'étude , de recherche et de formation islamique (CERFI) ont organisé une colonie de vacances islamiques du 28 juillet au 12 août 2001.
La rentrée scolaire 96-97 est à peine faite que le ministre de l'Enseignement de base et de l'Alphabétisation a saisi son bâton de pelerin pour se rendre dans la Sissili afin d'inaugurer une infrastructure scolaire et rencontrer par la même occasion les acteurs et partenaires de l'école de cette province. C'était le 12 octobre dernier.
Lorsque vous traversez un quelconque village des pays d'Afrique noire, où une partie de la population est de religion musulmane, il est quelque chose qui vous frappe tout de suite si vous n'êtes pas un habitué de la région : des enfants, souvent en très jeune âge, boîtes de conserves de tomate ou de lait transformées en petits seaux aux bras, sillonnent les rues en quête d'aumône.
Agoè-Nyivé, 13 juin (ATOP) – Le préfet de Agoè-nyivé, Col. Awaté Hodabalo et le directeur régional de l’éducation (DRE) ont entrepris le mardi 13 juin à Agoè-Nyivé, une tournée dans des centres d’écrits de l’examen du CEPD, pour constater l’effectivité du démarrage des épreuves écrites.
Initialement prévu au mois d'août, c'est finalement depuis le 26 octobre dernier que se tient au Centre culturel lybien l'atelier sur les medersas (école franco-Arabe), initié par la direction de l'Enseignement privé de base.
La Cour centrale de la médersa de Yako a connu une affluence particulière le vendredi 5 avril dernier. Cette école a eu l'honneur d'abriter le lancement officiel d'une réforme de taille pour les écoles franco-arabes du Burkina.
L'islam respecte toutes les valeurs de civilisations qui concourent à former la conscience de l'humanité. Mais de nos jours, l'islam traverse une phase inerte.
Lomé, 19 oct. (ATOP) – L’Association des jeunes musulmans pour la bienfaisance (AJMB) a fait don de kits scolaires, aux cinq premiers de chaque classe de l’Ecole primaire publique (EPP) Adjougba I, le mardi 19 octobre à Lomé.
Avec le soutien du gouvernement béninois et de la coopération japonaise, le Centre panafricain de prospective sociale (Cpps) a entamé mercredi 24 août à son siège à Porto-Novo, une session de formation de deux jours à l’intention de ses messagers régionaux de paix pour les aguerrir à s’acquitter au mieux de leur mission par le dialogue interreligieux et interculturel dans leur région de compétence.
Le Projet : Éducation arabo-islamique (EDUAI) tient, ce jeudi 17 décembre 2020 à Ouagadougou, un atelier national de restitution des résultats de leur étude. Cette expertise a été commanditée par l’Atelier de recherche sur l’éducation et la formation (AREB). L’objectif de cette prospection est de faire l’état des lieux de l’éducation arabo-islamique au Burkina Faso.
A Karimama, le taux de scolarisation et de maintien est faible, malgré l’existence d’écoles primaires publiques dans toute la commune. Les parents préfèrent occuper les garçons avec les activités agro-pastorales. Les filles sont prises dans le piège des tâches ménagères et du mariage précoce.
Iqra, l'association qui œuvre pour la paix et l'épanouissement par l'éducation, a organisé un déjeuner de presse ce samedi 3 août 2019 sur ses actions à travers le Burkina.
La Ligue nationale des femmes de la communauté musulmane du Burkina Faso a organisé du 16 au 18 juin 2013 à Ouagadougou, un forum national sur les cadres d'apprentissage et d'éducation coranique des femmes musulmanes.