-
Titre
-
Célébration de la fête de la Tabaski dans les préfectures
-
Date
-
25 avril 1997
-
Résumé
-
A l'instar de Lomé, la capitale, la fête de la Tabaski a été observée avec la même piété par les fidèles dans les chefs-lieux de nos préfectures comme en témoignent les commentaires ci-après des correspondants de l’Agence Togolaise de Presse.
-
Page(s)
-
5
-
nombre de pages
-
1
-
Droits
-
-
Identifiant
-
iwac-article-0006226
-
contenu
-
A l'instar de Lomé, la capitale, la fête de la Tabaski a été observée avec la même piété par les fidèles dans les chefs-lieux de nos préfectures comme en témoignent les commentaires ci-après des correspondants de l’Agence Togolaise de Presse.
* A DAPAONG, la grande prière de la Tabaski s'est déroulée dans la cour de la nouvelle mosquée de la ville, en présence des autorités préfectorales et communales, dont le préfet de Tône, M. Damtaré Flindjo Yobé et le maire de Dapaong, Mme Sankarédja Tadempo.
Dans sa prédication, l'imam de la mosquée de Dapaong, Mohamed Miziyawa a loué la grandeur d'Allah et a demandé de prier pour les musulmans morts dans l'incendie survenu le mardi 15 avril à la Mecque. Il a souhaité une prompte guérison aux blessés.
* A CINKASSE et à MANDOURI, les prières ont été dites en présence des préfet et sous-préfet de ces localités, respectivement M. Laré Pakindam et Nam Minlibé. A la fin des prières, les officiants ont procédé au rituel du sacrifice du bélier.
Des réjouissances populaires et des rencontres sportives ont été au menu de cette fête dans les deux localités.
* Dans la KERAN, la prière de circonstance s’est déroulée au stade de la ville de Kandé, chef-lieu de la préfecture. Elle a été conduite par l'imam El Hadj Fousséni Mahamadou, en présence du préfet de la Kéran, M. Ato Koura.
* A KARA, c'est El Hadj Sabitiou Arouna qui a dirigé la prière marquant l’Aïd El Kébir, dans la localité. La manifestation a eu pour cadre le terrain de Lama, à l’est de la ville. L'autorité politique était représentée par le secrétaire général de la préfecture de la Kozah, M. Wiyao Gnangba.
Un bélier blanc a été immolé, en signe de sacrifice à Allah, à la fin de la prière.
* A BAFILO, les fidèles se sont donné rendez-vous pour la prière, dans l’enceinte de l'école coranique de la ville, sous la conduite d’El Hadj Abder-Rahamane Bah-Traoré, en présence notamment du secrétaire d'Etat auprès du ministre chargé du Plan et de l'Aménagement du Territoire, M. Atcha Tcha-Gouni Ati et du préfet d’Assoli, M. Karka Sambone. Il a été également procédé publiquement, à la fin de la prière, au sacrifice rituel d’un bélier.
* A SOTOUBOUA, la prière a été dite par l’imam El Hadj Yacoubou Ousmane, dans la cour de l’école islamique de la ville, en présence du préfet, M. Pounpouni Koumaï Tchadarou. L'imam a notamment prié pour que tombe suffisamment de pluie en vue d'une bonne saison agricole dans tout le pays.
Des prières ont également été dites à Fazao, à Adjengré, à Aouda et à Tchébébé, dans la préfecture et ont été suivies de réjouissances populaires.
* A ATAKPAME, la prière a regroupé les fidèles de Mahomet sur le terrain de l'école coranique à Nyékonakpoé sous la conduite d’El Hadj Abdoulaye, en présence de M. Afoutou Kwadjogan, le maire de la ville.
* A NOTSE, les fidèles sous la direction de l’imam de la ville Mohamed Aboubakar ont remercié Allah dans leur prière pour leur avoir donné une nouvelle année de prospérité. Le préfet de Haho, M. Pierre Kossi Nyamédi et le chef canton de Notsé Agokoli IV ont assisté à la cérémonie. La fête a été également marquée par des réjouissances populaires dans les quartiers musulmans de la ville.
* A TSEVIE, la prière a eu pour cadre, la cour de l'école de Wemé et a été dirigée par El Hadj Ali Ousmane, imam de la ville, en présence du préfet de Zio, M. Komlan Agbotsé. El Hadj Ousmane a imploré Allah pour qu'il mette fin aux atrocités de la guerre et soulage la misère dans le monde entier. Il a rappelé aux fidèles de se conformer aux commandements de Dieu afin d’être prêts au jugement dernier.
Partout les officiants ont invoqué la bénédiction d'Allah sur le peuple togolais et ses dirigeants.
Togo-Presse
Frédérick Madore