Issue
Islam Info #833
- Hierarchies
-
Côte d'Ivoire
- Articles de journaux (1445 items)
- Agence Ivoirienne de Presse
- Fraternité Hebdo (74 items)
- Fraternité Matin (420 items)
- Ivoire Dimanche
- L'Alternative
- L'Intelligent d'Abidjan
- La Voie (185 items)
- Le Jour (16 items)
- Le Jour Plus
- Le Nouvel Horizon (4 items)
- Le Patriote (291 items)
- Notre Temps (5 items)
- Notre Voie (450 items)
- Publications islamiques (812 items)
- AJMCI Infos (4 items)
- Al Minbar (12 items)
- Al Muwassat Info (2 items)
- Al-Azan (13 items)
- Alif (34 items)
- Allahou Akbar (1 item)
- Bulletin d'information du CNI (1 item)
- Islam Info (695 items)
- Les Échos de l'AEEMCI (1 item)
- Plume Libre (49 items)
- Photographies (Côte d’Ivoire) (4 items)
- Références (Côte d'Ivoire) (239 items)
- Articles de journaux (1445 items)
- Titre
- Islam Info #833
- Editeur
- Islam Info
- Date
- 4 janvier 2022
- numéro
- 833
- nombre de pages
- 12
- Détenteur des droits
- Éditions ALIF Islam Info
- Langue
- Français
- Source
- Issouf Binaté
- Contributeur
- Frédérick Madore
- Identifiant
- iwac-issue-0001242
- contenu
-
www.islaminfo.org
Avec islaminfo.org, nous allons plus loin et proche de vous
N°833 Du Mercredi 04 au Mardi 11 Jenvier 2022
2
slam Inf ^
DU MERCREDI 05 AU MARDI 11JENVIER 2022
00
LO
co
N° 833
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA 1443 H
ommaire
E
ditorial
or en
LJ
en
u
or
en
O 2 -J U or
u
O
or o Û. u or
‘U
en
œ O û-cn
L'IMPORTANCE DES PRIÈRES DE SUBH ETDE'ASR
Ce que le prophète promet au croyants à propos de Asr' et Subh
FEMME ET POUVOIR EN ISLAM
10 femmes de pouvoir qui ont marqué le monde musulman
QUI ESTBILAL LE PREMIER MUEZZIN
L’amour de Bilâl Ibn Rabâh pour le Messager d'Allah
LA VOIE VERS DIEU
Être dans l’humilité pour s’abandonner totalement à Dieu
CÉLÉBRATION DE LA JEUNESSE MUSULMANE
La mosquée d'Aghien célèbre la jeunesse musulmane la veille du nouvel an
8 ERREURS À NE PAS COMMETTRE APRÈS UN REPAS
Voici des consignes indispensables pour votre digestion
FOOTBALL: VACCIN ET TEST OBLIGATOIRES POUR ASSISTER À LA CAN AU CAMEROUN
Ce que la fédération camerounaise prévoit pour la CAN
Les différentes Unes de Islam info
Par Fatim Djamila
L'EDUCATION DES ENFANTS À L'EPREUVE DU VIVRE-ENSEMBLE DANS LES COURS COMMUNES PHYSIQUES OU VIRTUELLES
Chaque ivoirien et chaque ivoirienne de ma génération a vécu dans une cour commune. Au village d’abord, dans la grande famille traditionnelle. Là où on travaille ensemble dans le même champ. Là où on mange ensemble dans la même cuvette après s’être lavé les mains dans la meme calebasse. C’était la transparence totale et la première façon de vivre ensemble au sens stricte du terme. Cette première cour commune va se reconstituer en ville avec au départ plusieurs familles venues du meme village. Là, même si on ne mange plus tout à fait ensemble à cause de nouvelles occupations, on continue à partager les mêmes valeurs culturelles et religieuses. Et l’éducation des enfants se fait ensemble. Un enfant pris en flagrant délit peut être puni par n’importe quel adulte de la cour commune. Avec l’urbanisation à outrance, ces premières cours familiales vont disparaître petit à petit pour laisser la place aux cours communes d’aujourd’hui dont les caractéristiques principales sont les suivantes :
1. On entre et on sort par une seule porte principale ;
2. On partage la mêmes toilettes
3. On partage la même cuisine
4. On n'a pas la même religion
5. On n'a pas la même éducation ;
6. On n'a pas la même langue : on communique à travers la langue française que tout le monde ne maîtrise pas.
Comment dans un tel contexte peut-on éduquer ses enfants ?
Il faut d’abord :
(1) être un modèle et pour les enfants et pour les voisins ;
(2) parler aux enfants et être très proches d’eux ;
(3) leur expliquer les différences culturelles et l’importance de respecter les cultures des uns et des autres ;
(4) avoir de bons rapports avec les voisins. Pour montrer aux enfants que malgré les différences culturelles et religieuses on se doit du respect et de la considération ;
5. pratiquer correctement sa religion et sans complexe tout en respectant scrupuleusement celle des autres.
Vivre dans une cour commune est une école pour apprendre à respecter les autres et à travailler pour réussir dans la vie. Chacun doit nourrir sa famille au vu et au su de tout le monde.
Ainsi La cour commune devient un lieu d’émulation et de saine émulation. La cour commune est aussi un lieu où on apprend à être solidaire dans le bonheur et dans le malheur.
Cette vie en cour n’est pas forcément une vie en rose tous les jours. C’est même parfois très très compliqué quand les célibataires, les monogames et les polygames doivent cohabiter. Dans un tel contexte la maîtrise de l’éducation des enfants devient plus qu'un impératif de survie. Au moindre relâchement tout part en lambeaux et s’écroule comme un château de cartes.
Mais attention ! Autant il paraît compliqué d’éduquer les enfants dans les cours communes telles
slam Inf «
DU MERCREDI 05 AU MARDI 11JENVIER 2022
N° 833
Tafsir
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA 1443 H
CALENDRIER
Grégorien Hégirien 1440H
Mercredi 05 Jenvier Araba 01 Joumada ath-thania
Jeudi 06 Jenvier Lamissa 02 Joumada ath-thania
Vendredi 07 Jenvier Djouma 03 Joumada ath-thania
Samedi 08 Jenvier Sibiri 04 Joumada ath-thania
Dimanche 09 Jenvier Kari 05 Joumada ath-thania
Lundi 10 Jenvier Ténin 06 Joumada ath-thania
Mardi 11 Jenvier Tarata 07 Joumada ath-thania
HEURES DE PRIERE
ÎSOUBH: O5H1O : :ZOUHR: 13HOO : ÎASR: 16H00 Ê
:MAGRIB: 18H1O :
HCHA 19H15 :
L'IMPORTANCE DES PRIÈRES DE SUBH ET DE 'ASR
Ce que le prophète promet au croyants à propos de Asr' et Subh
C'est une énorme chance pour les musulmans d'avoir comme prophète^ Muhammad (SAW)> l'homme qui a toujours guidé sa communauté vers l'éternel. Dans cet article^ à travers un adith, Le Messager d'Allah nous livre un secret pour accéder au Paradis
Le Hadith :
Selon Abou Musa , le Prophète Muhammad a dit : « Celui qui accomplit les deux prières de la fraîcheur entrera au Paradis. »
L’Imam an-Nawawi ajoute : « Les prières de la fraîcheur sont celles de l’aube (Subh) et de l’après-midi (al-‘Asr). »
Il existe d’autres Ha-diths sur ce même thème, venant renforcer cette narration.
Commentaire :
1. Le Hadith souligne l’importance qu’ont pour les musulmans les deux prières de Subh et de al-‘Asr, bien qu’il faille prier l’ensemble
des cinq prières obligatoires (dans leur temps).
2. Le Subh intervient au moment où on dort confortablement, donc cette Salat demande beaucoup d’efforts car il faut se lever, sortir de son lit douillet, d’où la promesse du Paradis.
3. Al-‘Asr intervient au moment où on est occupé au travail ou à vaquer à ses occupations, donc cela demande également un effort pour prier à ce moment-là (quitter momentanément son travail ou ses occupations).
Par conséquent, ces deux prières interviennent à des moments « confortables » où il se-
rait aisé de passer outre soin, pourra facilement heureuse, mourir avec en restant couché ou en sécuriser les trois autres la Foi et donc entrer au
continuant ce à quoi on est occupé. Ainsi, celui qui observe scrupuleusement ces deux prières de Subh et de ‘Asr, qui en prend spécialement
sans trop de peine supplémentaire. Les efforts entrepris pour préserver ces deux prières représentent un moyen efficace pour avoir une fin
Paradis, inshaa Allâh (succès éternel).
Sunnisme.com
4 slam Inf ^
I DU MERCREDI 05 AU MARDI 11JENVIER 2022
N°833
Histoire
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA 1443 H
FEMME ET POUVOIR EN ISLAM
10 femmes de pouvoir qui ont marqué le monde musulman
On ne connaît pas toujours leurs histoires, pourtant, elles sont importantes. Voici le portrait de 10 femmes de pouvoir, puissantes et influentes, qui ont marqué le monde musulman
Loin d’être exhaustive, cette
l’humanité, les femmes ont
parole du Messager de
layhi, est la souveraine
sélection des 10 femmes de pouvoir musulmanes, puis-
santés et influentes, a pour objectif de remettre à l’honneur des personnalités qui ont joué un rôle important dans l’essor de l’Islam. L’histoire de celles-ci a, pour la grande majorité, été oubliée ou invisibilisée, il est donc important de se rappeler de leur contribution au monde musulman. Cette vidéo est aussi un moyen pour nous de rappeler que dans l’histoire de l’Islam, et dans l’histoire de
pu, malgré les pressions qu’elles ont endurées, jouer
des rôles stratégiques, dans le domaine de la politique, de la science, de l’art, de la religion, et dans tout autre discipline.
Khadija ou Khadidja bint Khuwaylid, première épouse du prophète Mohammed. Khadija n’a cessé de soutenir son époux et la cause divine en mobilisant toute sa fortune pour aider les fidèles. Elle fut la première personne à croire la
Dieu, le Prophète Mohammed. Ainsi, elle est la pre-
mière musulmane de l’histoire de l’Islam. Khadija a affronté les ennemis du Prophète et de la nouvelle religion naissante avec conviction, courage et détermination. Elle a une place particulière dans le coeur des musulmans en tant que femme aux qualités exceptionnelles.
Sayyadiah Bint Ahmed, plus connue aujourd’hui sous le nom d’Arwa al-Su-
ayant régné sur le Yémen le plus longtemps, d’abord à
travers ses deux maris puis seule, jusqu’à sa mort, pendant 40 ans.
Arwa Al Sulayhi a atteint une position unique dans l’histoire des femmes musulmanes. Elle a été la première femme dans le monde musulman à se voir accorder le titre prestigieux de hujja en 1084.
Rabia al Adawiyya, mystique et poétesse musul-
mane soufi, dont certains la considèrent même comme étant la première mystique de l’islam. Elle serait la fondatrice de la doctrine de l’amour pour le divin, un mode de piété et d’ascétisme qui sera à la base du soufisme.
Zaynab Nefzaouia (en berbère Zineb Tanefzawt), a été une femme berbère très influente du llème siècle, dans les débuts de la dynastie almoravide. Elle a été à la base de la création de Marrakech, capitale almoravide, devient reine de Marrakech et pris le contrôle du Maghreb, et d’une partie de l’Espagne.
Lubna de Côrdoba, intellectuelle andalouse de la seconde moitié du lOème siècle.
Elle devient secrétaire du palais sous le califat omeyyade, mais également bibliothécaire, mathématicienne et poète. Grâce à sa ténacité et son ambition, Lubna est devenue une des personnes les plus importantes au sein du palais.» Voir aussi : L’ université Al Quaraouiyine et sa fondatrice Fatima Al-Fihriya
Lecourrierdelatlas.com
slam Inf
N° 833
Spiritualité
DU MERCREDI 05 AU MARDI 11JENVIER 2022
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA 1443 H
QUI EST BILAL, LE PREMIER MUEZZIN ?
L’amour de Bilâl Ibn Rabâh pour le Messager d'Allah
Depuis sa naissance, le prophète (SAW) fait T objet d'adoration auprès de son Créateur "Allah soubhana wata Allah" ainsi que les hommes de son époque mais aussi ceux d'aujourd'hui. Parmi eux, figure Bilal ibn Rabah, son premier muezzin qui lui vouait un amour d'on ne peut plus grand !
Après la mort du Prophète Bilâl se rendit chez Abû Bakr, qu’Allah soit satisfait de lui, et dit : «Ô successeur du Messager d’Allah, j’ai, certes, entendu l’envoyé d’Allah dire : « La meilleure des actions, pour le croyant, est le Jihad dans la voie d’Allah ».
— Abû Bakr lui répondit : « Que désires-tu donc, ô Bilâl?».
Celui-ci expliqua : «J’aurais souhaité tenir garnison dans la voie d’Allah, jusqu’à ce que je meure ».
— Abû Bakr questionna : « Qui donc appellera à la prière pour nous ? ».
— Les yeux larmoyants, Bilâl répliqua : «Je n’appellerai plus à la prière pour qui que ce soit, après la mort du Messager d’Allah».
— Abû Bakr ajouta :
«Non, reste et appelle à la prière pour nous, ô Bilâl ! ».
Bilâl dit : «Si tu m’as libéré pour que je te sois redevable, que ta volonté soit faite. Mais si tu m’as libéré pour Allah, laisse-moi donc faire ce que je désire».
— Abû Bakr ponctua : «Non, je t’ai plutôt libéré pour Allah, ô Bilâl. Vas où tu veux».
Par conséquent, il se dirigea vers le Châm (la grande Syrie)
où il demeura, luttant et tenant garnison dans la voie d’Allah. Il dit à son propre égard : «Je ne pouvais plus demeurer à Médine après la mort du Messager d’Allah. »
Lorsqu’il faisait l’appel à la prière et qu’il arrivait à la formule : «Ach-hadu anna Mu-hammadan rasûl Allah (Je témoigne que Mohammed est le Messager d’Allah)», les sanglots étouffaient sa voix et il se mettait à pleurer. Il s’en alla donc au Châm et partit avec les combattants dans la voie d’Allah. Des années plus tard, il vit en rêve le Prophète qui le questionna :
«Quelle est cette dureté, ô Bilâl! N’est-il pas temps pour toi de nous rendre visite ?».
Il se réveilla triste, enfourcha sa monture et se dirigea vers la ville de Médine. Arrivé à Médine, il se rendit directement à la tombe du Prophète et commença à pleurer auprès d’elle. Sur ces entrefaites, Al-Hasan et Al-Husayn arrivèrent. Il se mit à les embrasser et à les enlacer. Ils lui dirent : «Nous aimerions que tu appelles à la prière au point du jour. Il monta donc sur le toit de la mosquée», et quand il dit : ‘Allah Akbar’ (Allah est le plus grand), ‘Allahu Akbar’, Al-Madînah Al-munnawarah (la ville de Médine) trembla.
Lorsqu’il dit : ‘Ach’hadu an lâ ilâha ilia Allah’ (j’atteste qu’il
n’y a pas de divinité à l’exception d’Allah), elle trembla da-
rait-ce qu’une fois. Quand ce fut l’heure de la prière, l’Émir
Ceci fait trembler les corps d’émotion et remplit les yeux
vantage.
Lorsqu’il dit : ‘Ach’hadu anna Muhammadan Rasûl Allah’ (je témoigne que Mohammed est le Messager d’Allah), les femmes sortirent de leurs ha-
rems.
Jamais on ne vit de jour où un aussi grand nombre d’hommes et de femmes pleuraient.
Quelques années plus tard, lorsque l’Émir des croyants, ‘Umar, qu’Allah soit satisfait de lui, visita le Châm, les musulmans le supplièrent de convaincre Bilâl, qu’Allah soit satisfait de lui, de faire pour
eux l’appel à la prière ne se-
des croyants invita donc Bilâl et lui demanda de faire l’appel. Celui-ci monta [sur le toit de la mosquée] et s’exécuta... Les compagnons, qu’Allah soit satisfait d’eux, qui avaient connu l’époque où Bilâl appelait à la prière du vivant du Messager d’Allah fondirent en larmes. Ils pleurèrent comme ils ne l’avaient jamais fait auparavant. ‘Umar fut celui qui versa le plus de larmes.
Quand il fut à l’agonie, il dit à son épouse qui pleurait à son chevet : «Ne pleure pas. Demain nous rencontrerons ceux que nous aimons, Mohammed et ses compagnons».
de larmes. C’est un exemple vivant de l’amour des compagnons pour le Messager d’Allah. Nous implorons Allah de nous accorder la faveur de suivre dignement leur exemple, de nous ressusciter dans l’au-delà avec eux sous l’étendard de notre Prophète bien-aimé, Mohammed.
Que la prière et la bénédiction d’Allah soient sur notre Prophète bien-aimé Mohammed et la fin de notre invocation est
« Louange à Allah, le Seigneur des mondes ».
Islamweb.net
6
slam Inf ^
DU MERCREDI 05 AU MARDI 11JENVIER 2022
N° 833
Religion
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA 1443 H
LA VOIE VERS DIEU
Être dans l’humilité pour s’abandonner totalement à Dieu
Notre créateur Allah soubhana wata Allah s'est montré invisible au yeux de ses créatures y compris les hommes. Cependant des voix existent pour aller à sa rencontre. Quelles en sont ces voix ? Les détails ci-dessous
Soient les versets de la sou-
cours réside tout entier dans
elle essentiellement dans ce
rate al-Fatiha : « lyyaka na’boudou
wa iyyaka nasta’ine »
C’est Toi que nous adorons, et
C’est en Toi que nous recherchons le secours...
Et de comprendre, en première lecture, que le se-
T adoration. Formulation universelle du motif de l’engagement dans la pratique rituelle. Mais ouvrant illico notre esprit à l’intelligence d’un second niveau de lecture, établissant (tout en maintenant intacte la structure du motif original) que l’adoration est ce qui nous ouvre une voie d’accès intérieur vers Dieu : une voie de communication avec l’Absolu. Ainsi, l’aide qu’Il nous octroie réside-t-
qu’Il nous communique en termes de « signes ».
Le secours nous parvient donc de ce que le monde fait désormais pour nous en tant que « signe » vers Lui. Le « monde » n’est, pour le croyant, une bénédiction, que si son esprit, orienté vers la présence, accueille l’entière manifestation en sa qualité de « stance signalé-tique », comme un faisceau de signes de la réalité divine
(« signe » en arabe se dit « ‘alama », signifiant aussi bien « signe » que « monde »)•
La Loi est le chemin conduisant le pratiquant sincère jusqu’à la Résidence de son Ami. C’est dans cette compréhension que pourrait résider la signification la plus profonde de l’Islam, savoir, dans la reconnaissance de l’Ami, la contemplation de Sa présence... Lorsque l’homme reconnaît la présence du Dieu personnel, miséricordieux, secoureur, son âme aspire infiniment à trouver le chemin du lieu de vie de son Ami (lieu de résidence symbolique) ; ainsi trouve-t-il, dans sa pratique, le lieu — réel et symbolique — de la Kaaba.
Mais pour reconnaître Dieu dans Sa Réalité — lorsque la motion psychique du pratiquant se disperse pour s’unir dans l’excédence de la transcendance divine — il faut reconnaître, soi-même, en soi-même, sa propre impuissance ou faiblesse ontologique ; la voir
à nu, se mettre à découvert, scruter la condition humaine dans son plus simple appareil. Raison pour laquelle ce sont le plus souvent des épreuves et du désespoir que naît la lumière de la foi en Dieu, vivant, personnel, secoureur ; que nait la foi en la Providence.
La reconnaissance de l’Ami conduit l’esprit de l’homme repenti à cheminer vers Son lieu de résidence symbolique pour y trouver refuge. La Kaaba devient sa destination ; la Loi, son itinéraire. En orientant le regard de son esprit vers le Kaaba, la maison de son Ami, l’homme détourne sa conscience, de soi-même, vers l’Ami. Et c’est précisément ce déplacement que la « conversion » opère en toute rigueur dans l’âme de celui qui se « convertit ». En reconnaissant la Providence, le musulman prend conscience que Dieu est plus proche de lui-même « que sa veine jugulaire » (5) ; que Dieu ne demande pas mieux que de le bénir et sauver. Pour recevoir le se-
slam Inf
I, DU MERCREDI 05 AU MARDI 11JENVIER 2022
N° 833
Religion 7
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA 1443 H
cours de Dieu, le regard intérieur du musulman doit se déporter du « Je » et se porter vers Lui !
Dieu devient alors le centre de son attention. C’est Dieu, et non plus lui-même, qui est le Centre de son existence : Centre mystique dont le rayonnement est nécessairement universel. Le regard de l’homme — fût-il spirituel — ne saurait L’atteindre, mais Lui, Permanent, atteint le regard de l’homme. (6) L’œil du cœur humain saisit l’actualité du regard que Dieu pose sur lui dans la manifestation. Ainsi la réalité divine se donne-t-elle à contempler dans la constellation des signes de notre univers symbolique, dont la Kaaba est, en dernière analyse, la pierre angulaire, le principe organisateur.
De fait, la Loi — ou « sha-ria » — est un moyen de se déprendre de soi en se souciant de soi. Elle est ce par quoi l’homme peut s’engager dans un processus de déprise de soi tout en restant engagé dans un processus psychosocial de subjectiva-tion. Il n’est donc pas ici question de perdre sa subjectivité (conscience de soi) ou de la dissoudre complètement, mais de la transformer, de l’élargir à l’universel.
Transformation opérée via
le processus initiatique de la « caractérisation » (« ta-khalluq »), processus consistant pour le sujet à se positionner intérieurement de sorte à laisser Dieu investir, prendre en charge, diriger sa conduite et remplacer ses qualités par les Siennes. Dieu devient alors l’ouïe par laquelle le sujet entend, la vue par laquelle il voit... (7) Dieu substitue Ses attributs aux siens. Et cette « position intérieure » que le sujet doit emprunter afin d’activer ledit processus, c’est l’humilité.
Ainsi, pour rendre cette substitution possible, l’homme doit-il se trouver dans un état d’humilité. Nous avons celle-ci en nous, mais encore s’agit-il de nous humilier devant Dieu, et non pas (ou plus) devant de fausses idoles. (8) Et la plus massives des idoles — celle qui les résume toutes — n’est autre que le Moi. Ainsi la tâche spirituelle consiste-t-elle à se déprendre du Moi pour s’abandonner totalement à Dieu. C’est le saut vers l’Absolu. Le mouvement intérieur, la conversion, on l’appellera comme on voudra. Reste que le saut dans le vide, le saut dans l’invisible, ou l’ineffable, passe nécessairement par un départ de la terre ferme.
La terre ferme de nos certi-
II n’y a qu’une erreur dans
qui conduit l’homme vers la
tudes, stéréotypes, connaissances, titres, mérites, petites satisfactions. Se déprendre du Moi, c’est s’accorder un moment de vérité quant à soi en prenant ultimement acte du fait que notre Moi n’a aucune valeur ou réalité en soi seul. Le sujet trouve la délivrance dans la conscience, pleine, entière, intransigeante, que le Moi n’est rien d’autre que ce que l’Absolu lui donne d’être et dont il dépend radicalement.
La terre ferme du Moi est tendre, verte et bien confortable. Pourquoi faudrait-il la quitter ? Parce que le moelleux et le confort de notre petit Moi satisfait nous dissimulent la dure réalité de notre irréductible pauvreté ontologique. L’esprit le plus fort est celui qui connaît le mieux sa faiblesse.
le monde, la souveraineté de l’homme. (9) Pour se ménager une chance de vivre selon l’harmonie, l’homme doit donc comprendre et admettre son erreur, puis travailler sans relâche pour se corriger. Il doit se déprendre de l’illusion de sa propre autonomie. L’homme n’a pas sa cause en lui-même...
Tant qu’il vit sous l’emprise de cette illusion de suffisance et d’autonomie, il vit bien dans la « présence divine » ; mais ne parvient pas à la reconnaître. Elle lui échappe totalement. Pour faire le saut, quitter la terre ferme de la souveraineté humaine, l’homme a besoin de repères, de balises, besoin de trouver par delà sa personne quelque sorte de sillage dans lequel il puisse inscrire sa propre dyna-
mique. La Loi est le chemin
Présence Divine. C’est la voie droite sur laquelle les musulmans demandent à Dieu de les guider dans chacune de leurs prières rituelles. C’est donc bien une voie « invisible », intérieure, individuelle et secrète...
Ce n’est donc que dans des conditions bien déterminées que cette voie prendra une forme collective, politique, institutionnelle. La sharia des âmes ne peut donc trouver —sans s’annuler — d’espace d’intégration politique dans l’humanité que dans la seule organisation que le consensus (« ijma’ ») désigne par le nom de califat universel.
Oumma.com
8 jSlamlnf^ ^
If DU MERCREDI 05 AU MARDI 11JENVIER 2022
CÉLÉBRATION DE LA JEUNESSE MUSULMANE
Reportage
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA 1443 H
La mosquée d'Aghien célèbre la jeunesse musulmane la veille du nouvel an
Tous les 31 décembre comme c'est la tradition, la mosquée d'Aghien organise une cérémonie à l'intention des jeunes. Le 31 décembre 2021 était sa 13e édition
Les jeunes musul- nie, l'iman Haroun locuteurs constitués mans se sont donné Koné de la mosquée essentiellement de
jeunes filles et garçons en attirant leur attention sur les défis à relever sur terre.
« En tant que jeunes musulmans, vous devez être ambitieux. Voyez-vous, on le dit très souvent "Plus pressé que la musique danse mal".
Et aujourd'hui les jeunes sont pressés sans vouloir fournir
d'efforts. Si vous voulez avoir de bons résultats, il faut vous mettre au travail. Dans le cas contraire, vous vous verrez gérer par les autres et finalement, ce sera le regret », exhorta le résident de la commune de Treichville.
Yaya Cissé Sultane
rendez-vous une énième fois à leur habituel cérémonie dénommé "La nuit de la jeunesse musulmane" à la mosquée d'Aghien sous l'autorité spirituelle du Cheikhoul Aïma Dia-kité Ousmane, guide suprême du Cosim.
C'est la lecture du noble Coran qui a marqué le début de la soirée en guise d'introduction . Prenant ensuite la parole, l'hôte de la cérémo-
du CHU de Treichville, a entretenu l'auditoire sur la quête de la science.
« Il faut combattre l'ignorance, privilégier la recherche de toutes les sciences modernes, parce que cela nous amène à pratiquer convenablement la religion et nous permettra d'être utiles à notre société », a fait savoir l'invité du jour. Poursuivant, il s'est adressé de plus belle à ses inter-
slam Inf
N 8 3 Interview
DU MERCREDI 05 AU MARDI 11JENVIER 2022
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA1443 H
L'imam adjoint de la mosquée d'Aghien et autres participants (parent et jeune) disent leur satisfaction
Islam info : A quelle occasion la cérémonie "La nuit de la jeunesse musulmane" a été initiée ?
Diakité Karamoko : Allamdou-lilah nous avons le soutien du Cheikh Boikary Fofana. Avant même son rappel à Dieu, je l'ai fait venir ici, à la mosquée, pour participer à notre événement annuel. Il en a profité pour donner des conseils aux jeunes. Le constat que l'on fait très souvent, c'est que les jeunes, à la faveur des nuits du 31 décembre, s'adonnent à des actes ignobles qui s'écartent des recommandations morales et religieuses. C'est dans cette perspective que cette assise est mise en place afin de les occuper sainement.
1.1. : Et à présent, quels sentiments vous animent ce soir ?
D. K. : Je suis très satisfait ! Je
remercie Doukouré Ousmane qui a été initiateur de cette nuit fait à l'intention des jeunes musulmans. Aujourd'hui, nous sommes à notre 13 édition. Ça n'a pas eu lieu l'année dernière du fait de la crise sanitaire, et aujourd'hui, Dieu merci, nous l'avons repris. Je suis content aussi parce que, voyez-vous, les enfants sont sortis nombreux.
1.1. : Est-ce que l'imam a un message à l'endroit des enfants mais aussi parents ?
D. K. : Naturellement. Je lance un message particulier au parents. Qu'ils fassent des bénédictions pour les enfants pour que d'éventuelles dérives soient évitées. A la jeunesse, c'est les encourager à œuvrer toujours dans la bonne voie qu'elle a prise.
Yaya Cissé Sultan
Réactions de
Yaya Cissé Sultane
Sidibé Mariam (élève en classe de seconde).
« Je suis vraiment très heureuse de participer à cette cérémonie. Là c'est la première fois que j'y prends part et si Dieu nous fait voir l'an prochain, ce sera avec grand plaisir de vouloir être parmi les autres participants. Nous avons beaucoup appris avec l'imam Haroun Koné ce soir. J'invite tous mes amis à venir partager les prochaines soirées avec nous au lieu d'aller s'abandonner dans l'alcool. »
Berté Mamadou (parent).
Je salue cette initiative de la communauté musulmane d'Aghien. L'objectif étant de maintenir les jeunes dans la spiritualité, je ne peux que remercier une fois de plus la mosquée. Je souhaiterais que cela s'étende sur tout le territoire d'Abidjan, pas seulement dans une seul commune.
10 slam Inf ^ N° 833
DU MERCREDI 05 AU MARDI 11 JENVIER 2022
8 ERREURS À NE PAS COMMEÏÏRE APRÈS UN REPAS
Santé
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA 1443 H
Voici des consignes indispensables pour votre digestion
Vous venez à peine de déguster un gros poulet rôti. Après, vous sentez une indigestion. Vous constatez des difficultés pendant la selle. Vous vous posez mille questions... Que vous arrive-t-il ? Découvrez à travers cet article, les astuces qui vous aiderons à mieux digérer vos repas
Après un repas, nombreuses sont les personnes qui ont des petits rituels pour faciliter la digestion : boire un thé, faire une petite sieste, manger un fruit... Et si les gestes que l'on faisait depuis des années sans penser à mal étaient en réalité mauvais pour notre santé ?
N'allez pas dormir après manger
Nombreuses sont les personnes qui aiment faire une petite sieste juste après manger pour se requinquer un peu. Et c'est vrai que la sieste, c'est un acte salvateur pour notre corps : une sieste de 10 à 15 minutes pendant la pause-déjeuner nous per-
met souvent d'entamer l'après-midi du bon pied. Certes, mais en réalité, faire un petit somme juste après le repas ce n'est pas vraiment l'idéal.
Pourquoi ? Tout simplement parce que quand on dort, on s'allonge. Or, quand on s'allonge, on bouleverse complètement le processus de digestion. Les aliments ont plus de mal à descendre dans les intestins, et restent donc plus longtemps dans notre estomac, ce qui ralentit la digestion.
De plus, la position allongée peut entraîner une remontée
des sucs gastriques (produits par notre estomac pour réduire en bouillie les aliments avalés lors du repas) vers l’œsophage et le pharynx. Ce qui se traduit par une sensation de brûlure dans la gorge et la bouche. Pas très agréable, il faut l'avouer !
Pour toutes ces raisons, il est conseillé d'attendre au moins deux heures après un repas pour tomber dans les bras de Morphée... Et pouvoir ainsi profiter des bienfaits avérés de la sieste.
Oubliez la cigarette d'après-repas
Fumer, c'est très mauvais
pour la santé. Mais si la cigarette post-repas est une des préférées des fumeurs, c'est aussi l'une des plus dangereuses, juste après celle du matin 1 ! En effet, plusieurs études ont démontré que fumer une cigarette après manger équivaudrait à fumer plusieurs cigarettes en temps normal !
Les raisons invoquées par les experts ? Le fait que la nicotine avalée après le repas va passer dans notre tube digestif et se mélanger à l'oxygène contenu dans notre sang. Ce qui accroîtrait considérablement le risque de cancer...
Alors si l'on veut éviter que cette mauvaise habitude ne nous détériore encore plus vite la santé, on attend au moins lh30 après un repas pour s'allumer une cigarette. Et d'ailleurs, si on en profitait pour essayer d'arrêter pour de bon ? En plus d'éviter les risques accrus de cancer, on dirait du même coup adieu aux dents jaunies, aux ongles abîmés, à la peau terne...
Évitez de boire un thé après manger
Après un repas, nombreuses sont les personnes qui préfèrent boire un thé plutôt qu'un café car cela les aiderait à di-
gérer. Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette idée est complètement erronée.
Le thé est en effet une boisson qui regorge de vertus pour notre santé et notre silhouette (coupe-faim, antioxydant, etc.). Mais pour notre bien, il serait préférable de consommer cette boisson en dehors des repas (toujours une heure avant ou après manger).
Il existe deux raisons à cela. La première, c’est que les tanins contenus dans le thé provoqueraient l’inhibition de certaines enzymes digestives. De plus, les tanins que renferme le thé peuvent compliquer l'absorption du fer contenus dans les aliments par notre organisme. Or le fer est un minéral vital pour notre organisme, dont les jeunes femmes et les enfants manquent souvent. Alors si l'on veut éviter une carence en fer, ou réserve le thé vert à d'autres moments de la journée.
Passeportsante .net
slam Inf ^
DU MERCREDI 05 AU MARDI 11JENVIER 2022
N° 833
Sport
DU ARABA 01 AU TARATA 07 JOUMADA ATH-THAMIA 1443 H
FOOTBALL : VACCIN ET TEST OBLIGATOIRES POUR ASSISTER À LA CAN AU CAMEROUN
Ce que la fédération camerounaise prévoit pour la CAN
Le calendrier du tournoi africain ne va pas céder aux caprices de la crise sanitaire Covid-19, qui gronde encore le monde. Le Cameroun qui a l'honneur d'organiser la CAN le 9 janvier mobilise ses armes pour en faire une réussite. Comment compte s'y prendre les Lyons d'Afrique ?
Les supporteurs devront être entièrement vaccinés contre la covid-19 et présenter un test négatif pour assister aux matches de la Coupe d'Afrique des nations de football au Cameroun (9 janvier - 6 février), ont annoncé jeudi le gouvernement et la Confédération africaine de football (CAF).
Cette annonce survient alors que se répand la rumeur insistante d'une annulation ou d'un nouveau report de la compétition phare du football sur le continent.
"Les supporters ne pourront accéder aux stades (...) que s'ils sont entièrement vaccinés et présentent un test PCR négatif de moins de 72 heures ou un TDR antigénique négatif de moins de 24 heures", expliquent le Cameroun et la Confédération africaine de football (CAF) dans un communiqué.
Le communiqué a été publié à l'issue d'une rencontre entre les ministres camerounais de la Santé, Manaouda Malachie, des Sports, Narcisse Mouelle Kombi, le secrétaire général de la CAF Véron Mosengo-Omba et la
première vice-présidente de la fédération camerounaise de football, la FECAFOOT, Céline Eko Mendomo, qui ont tous les quatre signé le document.
"Malgré ce défi supplémentaire que constitue cette pandémie, notre CAN doit maintenant se jouer. Sa cérémonie solennelle d'ouverture est prévue le 9 janvier 2022 au Complexe sportif d'Olembe" à Yaoundé, précisent-ils dans le communiqué.
Lundi, l'Association européenne des clubs (ECA)avait menacé de ne pas libérer les joueurs internationaux pour la CAN, s'inquiétant du protocole sanitaire de l'épreuve sur fond de pandémie. Elle avait notamment invoqué l'absence à ce stade de "protocole médical et opérationnel adapté pour le tournoi".
L'ECA pointait surtout le risque d'une absence des internationaux plus longue
que la période de mise à disposition prévue, en raison des "quarantaines et restrictions de déplacement" liées notamment à l'émergence du variant Omicron du co-ronavirus.
L'envoi de ce courrier de l'ECA à la Fifa intervient alors que s'accumulent les rumeurs autour d'une éventuelle annulation de la CAN, ou bien d'un nouveau report du tournoi, initialement programmé en 2021 mais
repoussé d'un an en raison de la pandémie.
Interrogé par l'AFP, un haut dirigeant de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) avait qualifié lundi ces spéculations de "fake news".
Rtijnfo
Les différentes Unes de Islam info
www.islaminfo.org
Avec islaminfo.org, nous allons plus loin et proche de vous
N°827 Du Mercredi 24 au Mardi 30 Novembre 2021
le prophète et la féminité
www.islaminfo.org
Avec isiaminfo.org, nous allons plus loin et proche de vous
N°828
Mercredi 01 au Mardi 07 Décembre 2021
entage en islam
Le prophète Yacoub, un modèle de patience et de miséricorde
7 increvables bienfaits pour la femmes à la pratique du sport
Histoire de Abou Hanifa
Le dernier Sermon du
Prophète
Muhammad
www.islaminfo.org
Avec islaminlo.org, nous allons plus loin et proche de vous
N°829 Du Mercredi 08 au Mardi 14 Décembre 2021
Du Araba 03 au Tarata 09 Joumada al oula 144311
L’INFORMATION À LA LUMIÈRE DE L’ISLAM
www.islaminfo.org
Avec islaminfo.org. nous allons plus loin et proche de vous
N°829 Du Mercredi 15 au Mardi 21 Décembre 2021
Du Araba 1O au Tarata 16 Joumada al oula 1443H
Doit-on lire lo Coran autrement ?
p 11 Société
Face à l'épreuve de
l'homosexualité
une villa à l'imam de Béoumi
P 08
LUMIÈRE DE L’ISLAM
Les signes de la finiluinpnde
Spiritualité Comment craindre Allah ?
P 04
Croyance
Tout savoir sur les rituels du mariage chrétien P11
Fait partie de Islam Info #833