La huitième réunion au sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) s’est ouverte hier matin au centre de conférence de cette organisation, à Téhéran en Iran. Près d’un millier de participants au rang desquels une cinquantaine de chefs d’Etat et de gouvernement ont pris part à la cérémonie officielle d’ouverture qui, débutée dans la matinée, s’est poursuivie dans l’après-midi. Arrivé lundi dernier à 3 h du matin à Téhéran, le Premier ministre togolais Kwassi Klutsé qui représente le chef de l’Etat le général Gnassingbé Eyadèma invité suite à l’admission du Togo comme membre de l’OCI prend une part active à cette conférence.
En marge du 8e sommet de l'Organisation de la Conférence Islamique (O.C.I.), tenu à Téhéran du 9 au 11 novembre dernier, le Premier ministre togolais, M. Kwassi Klutsé, s'est entretenu avec plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que des personnalités de marque du monde islamique, dans ses bureaux au Centre des Conférences Internationales de la capitale iranienne.
La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Togo a tenu, du 23 au 25 décembre 2016, sur le site de Togo 2000, à Lomé, sa neuvième (9e) Conférence annuelle islamique. Cette rencontre de toute la communauté musulmane du Togo a été ouverte vendredi dernier, sous le thème « Khilafat », c’est-à-dire « enseigner la paix à travers le monde entier ». Elle a eu peur but de faire le bilan des actions de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Togo et surtout de sensibiliser les participants au bien-fondé de vivre en harmonie avec leurs croyances pour une paix durable.
La grande fête musulmane de la Tabaski, encore appelée Aid El Kebir, et qui se célèbre aujourd’hui, est pour M. Diori Hamani, président du Niger, l’occasion d’envoyer le message suivant au président Eyadéma.
A la demande du président de l'Assemblée nationale, El Hadj Abass Bonfoh, la communauté musulmane de Lomé et de ses environs a prié vendredi 6 juin, pour l'anniversaire de naissance du chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé.
A l’occasion de la fête d'Aïd Al Fitr qui marque la fin du jeûne du Ramadan, le président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, a adressé un message de vœux à plusieurs chefs d'Etat et rois. Il s'agit du Guide, le colonel Mouammar El Kadhafi de Libye, des présidents Ben Ali de Tunisie, Hosni Mubarak d'Egypte, Mahmood Hamadi Nedja d’Iran, Sidi Ould Cheikh Abdellahi de Mauritanie, Mamadou Tandja du Niger, Umaru Musa Yar’Adua du Nigeria, Idriss Deby du Tchad, Amadou Toumani Touré du Mali, Al Hadji Yahya Jammeh de Gambie et des rois Mohamed VI du Maroc, Abdullah Bin Abdulaziz Al-Saud d'Arabie Saoudite, Al-Ahmed Al-Sabah, émir de l’Etat de Koweit, Sheikh Hamad Bin Khalifa Al-Thani, émir du Qatar, Sheikh Khalifa Bin Zayed Al-Nahyan des Emirats Arabes Unis.
La 2e édition de danses traditionnelles organisées par les cadres de Tchaoudjo à Lomé à l’occasion de la fête de la Tabaski s’est déroulée samedi après-midi sur le terrain de jeux à Forever.
Renforcer les liens entre les religions chrétienne et musulmane d'une part, acquérir des richesses sur la culture de la paix et de la réconciliation dont le monde en général et le Togo en particulier ont tant besoin d’autre part, telle était la substance d'un séminaire organisé samedi dernier au collège protestant de Tokoin à Lomé. C'était une initiative du Programme des Relations Islamo-Chrétiennes en Afrique (PRICA) à l'intention du Programme Féminin du Togo autour du thème « femme chrétienne et musulmane au service de la paix et de la réconciliation ».
Dans le cadre des activités de sa clinique, le Centre Culturel Islamique (CCI) de Lomé II a organisé samedi dans ledit centre, sa deuxième campagne de circoncision de l'année. Pour la circonstance, une cinquantaine de petits garçons sans distinction d'ethnie ni de religion ont été circoncis.
La Commission nationale d’organisation du Hajj (pèlerinage à La Mecque) a tenu lundi à son siège, au ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, une conférence de presse. Il s’agit d’informer la communauté musulmane au Togo désireuse d’effectuer le ”Hajj”. Cette année, des dispositions sont prises par ladite Commission pour améliorer les conditions de transport et de séjour des pèlerins à la Terre Sainte.
La communauté musulmanes de par le monde, a célébré, vendredi, la fête de la tabaski ou fête du mouton. Au Togo, l’événement a été marqué par de nombreux cultes à travers le territoire et particulièrement à Lomé par la grande prière au Lycée de Tokoin. Le Premier ministre, Me Yawovi Madji Agboyibo a assisté à cette prière entouré de certains membres du gouvernement et de députés.
La décision du Comité central au cours de sa dernière réunion de vendredi dernier de rompre les relations diplomatiques avec Israël est inspirée par le réalisme qui éclaire notre politique extérieure.
Le secrétaire général de la préfecture d’Agou, Abli Aklesso Palamkiwè a inauguré le centre islamique d’Avétonou le mercredi 20 juillet. D'un coût total de 20 millions de francs CFA, ce joyau, construit sur une aire de 12 m2 comprend une mosquée d’environ 300 places, une école coranique de 3 classes équipées de tables-bancs et une direction. Il est prévu 2 boutiques et 1 logement pour l'Imam d’Avétonou.
Une délégation de la direction de la Formation civique conduite par son directeur Djato Kanda était le mercredi 17 août à Kougnohou dans le cadre d’une tournée de sensibilisation des responsables des confessions religieuses à l'éducation citoyenne des populations.
Si toutes les conditions sont remplies, la Chambre administrative du Tribunal d’Alger doit pouvoir se prononcer aujourd’hui sur la requête de dissolution du Front Islamique du Salut (FIS) introduite par le ministère algérien de l’Intérieur le 9 février dernier, date de la promulgation de l’état d’urgence en Algérie.
La pacification de l’Algérie n’est peut-être pas pour demain. Les récentes négociations secrètes dans ce sens entre le pouvoir et le Front Islamique du Salut (FIS-dissous) ont encore échoué le 10 juillet dernier. Ainsi, comme lors des discussions d’octobre 1994, les responsables du FIS exigent d'être libérés sans condition avant d’appeler leurs groupes armés à cesser le « djihad » (guerre sainte). Ce deuxième échec consommé du dialogue entre la présidence algérienne et les islamistes augure de nouveaux bains de sang. Pour l’heure, le bilan est déjà lourd : au moins trente mille (30.000) morts depuis janvier 1992. Comment l'Algérie est-elle en fait arrivée à cet état de guerre civile larvée qui, depuis trois ans, déchire le tissu social du pays ?