La Caisse générale de retraite des agents de l'Etat (Cgrae) a manifesté un élan de solidarité envers les musulmans qui travaillent à la Refondation SA, la société éditrice du journal Notre Voie. Mardi dernier, une délégation conduite par Koulibaly Aboubacar, chargé de communication, s'est rendue au siège de Notre Voie pour offrir du sucre et du lait aux agents en jeûne.
Les fidèles musulmans de la commune d'Attécoubé sont contents et fiers de leur député Marie-Odette Lourougnon en raison des actes que celle-ci pose en leur faveur. Notamment l'envoi en Terre sainte de plusieurs d'entre eux.
La mosquée Mohammed VI d’Abidjan en construction dans la commune de Treichville aura une capacité d’accueil comprise entre 7000 et 12000 fidèles. Du coup, ce sera la plus grande mosquée de Côte d’Ivoire.
Le Mouvement Ançar Dine Côte d'Ivoire (MAD CI), une ONG pour le développement de l'Islam, a organisé dans la nuit de samedi à dimanche dernier à Yopougon une cérémonie religieuse dite "La nuit des défunts". Présidée par El Hadj Drissa Coulibaly, président national du MAD CI, cette manifestation, qui a drainé environ 5000 fidèles musulmans, avait pour but, selon les organisateurs, de rendre un vibrant hommage aux défunts musulmans en général et à ceux qui ont été membres du MAD CI en particulier.
Avec à leur tête leur responsable local, ces fidèles accueilleront le Calife (chef suprême des Ahmadis) qui effectuera une visite dans ces pays et, surtout, plaideront pour la poursuite et le début de certains projets initiés par le mouvement en Côte d'Ivoire.
M. Mubarak qui est arrivé de Londres, siège mondial des Ahmadis, a, au cours de son séjour, rencontré les ministres ivoiriens de l'Education et de la Santé puis, il a visité les localités de Yamoussoukro, Divo, Gagnoa, Abengourou, Appoasso et Koffikro qui sont des villes où le Mouvement a déja construit des centres de santé et/ou des éccoles ou projette d'en construire. Comme c'est le cas pour Yamoussoukro, Gagnoa, Divo... où les Ahmadis comptent bâtir une école et un hôpital.
Depuis le début de la crise ivoirienne, des observateurs familiers de la vie sociale et politique ivoirienne n’ont pas manqué d’incriminer les autorités religieuses d’avoir agi comme facteur d’aggravation des antagonismes politiques qui ont amené à son déclenchement. Que la religion et lesleaders religieux aient volontairement ou involontairement exacerbé la crise militaro-civile en Côte d’Ivoire, voici qui semble paradoxal à première vue, et indéniable après réflexion. Paradoxal, parce que dans la société, ce que l’on attend des religions, c’est leur contribution à l’instauration et à la sauvegarde des valeurs partagées de paix, de tolérance, de justice, de vérité et de liberté ; mais aussi leur implication dans la pacification de la sphère politique1. Indéniable, dans la mesure où des expériences passées et actuelles montrent que plusieurs conflits dans le monde se nourrissent de références à la religion et prétendent trouver en elle le fondement de leur légitimation. Les guerres en Croatie, en Bosnie, au Kosovo, en Afghanistan, en Algérie, au Nigeria, au Soudan, etc. sont là pour en témoigner.
Une cérémonie de lecture du Saint Coran pour le retour de la paix en Côte d'Ivoire a eu lieu à la grande mosquée d'Abidjan-Attécoubé où musulmans et chrétiens ont prié. Cette cérémonie qui est l'initiative de la communauté musulmane de la commune d'Attécoubé sous l'égide du Conseil supérieur des imams (COSIM) a vu la participation du Premier ministre, M. Affi N'Guessan et son épouse, des ministres Douati Alphonse, chargé des Relations avec le Parlement et les institutions, de Lia Bi Douayoua des Télécommunications et des élus de la commune, le maire Danho Paulin et la député Marie Odette Lohourougnon.
Les mutilations génitales féminines (Mgf) en Côte d'Ivoire continuent de causer des dégâts. 38% des femmes en âge de procréer en sont victimes selon l'enquête démographique de santé 2012 de Côte d'Ivoire.
Sauf changement de dernière minute, Sa Majesté Mohamed VI, roi du Maroc, arrive à Abidjan, ce vendredi, en fin d’après-midi. Il vient pour une visite d’amitié et de travail qui se situe dans le cadre de la nouvelle tournée africaine entamée, il y a environ deux semaines. Au menu des travaux, des signatures d’accords de coopération, des visites de sites de projets financés par le Maroc et des audiences privées.
Les fidèles musulmans de la commune d'Attécoubé ont fêté, le lundi 8 octobre dernier, le jour marquant la révélation du Saint Coran au prophète Mahomed (Nuit du destin) à la grande mosquée de ladite commune.
Les musulmans de Côte d’Ivoire se rendront, à partir de ce soir jusqu’à demain à l’aube, dans les mosquées et autres espaces de prières pour satisfaire au rendez-vous de la nuit du destin qui marque le 27ème jour du mois de Ramadan (jeûne musulman).
Cheikh Aboubacar Fofana, guide de la Communauté musulmane nationale et président du Conseil supérieur des imams en Côte d'Ivoire (Cosim), organise la première édition du Méga-Qadr dans la nuit du dimanche 5 au lundi 6 septembre prochain à la salle Anoumanbo du Palais de la Culture à Treichville, de 21 H 00 à 02 H. En prélude à cet événement, El Hadj Diaw Amadou, président de la Commission communication du comité d'organisation, a animé une conférence de presse mercredi dernier au siège du Cosim à Treichville.
La communauté musulmane de Côte d’ivoire a non seulement avoué son impuissance face aux maux qui minent le pays, mais a aussi fait des propositions en vue d’un avenir meilleur. Elle les a faites dans la nuit du 13 au 14 juillet dernier, dans le cadre de la nuit du destin, ou «laylatul Qadr», qui commémore la descente intégrale du Coran.
La communauté musulmane de Côte d’ivoire a non seulement avoué son impuissance face aux maux qui minent le pays, mais a aussi fait des propositions en vue d’un avenir meilleur. Elle les a faites dans la nuit du 13 au 14 juillet dernier, dans le cadre de la nuit du destin, ou «laylatul Qadr», qui commémore la descente intégrale du Coran. la cérémonie a eu lieu à la grande mosquée de la riviera golf, à Abidjan-Cocody, à l’initiative du Conseil supérieur des imams (Cosim), en présence du chef de l’etat, alassane ouattara.
“L’épreuve, quelle compréhension en islam et comment y faire face?”. C’est le thème central de la Nuit du destin en Côte d’Ivoire en général et à Abidjan en particulier. La cérémonie officiel compte tenu de la Covid-19 s’est déroulée, le mardi 19 mai 2020, nuit, spécialement à la Radio diffusion télévision ivoirienne (RTI), chaîne publique, retransmise en directe par le Première chaîne, dans la commune de Cocody. Ce en présence du ministre d’Etat, ministre de la Défense, Hamed Bakayoko, représentant le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
"En principe, la nuit du destin est une nuit imprécise au sujet de sa date. Mais elle se situe entre le 20 et le 30 du mois du carême. Un jour que Dieu a choisi pour pardonner les péchés des croyants", a indiqué El Hadj Barro Bassirifé, l'un des responsables de la mosquée Adja Ténin Coulibaly d'Abobo au cours de la nuit du destin qui s'est déroulée du mercredi au petit matin du jeudi dernier.
Les fidèles musulmans célébreront cette nuit de mercredi à jeudi, la nuit du destin. Une crémonie qui, selon l'imam Sékou Sylla du département de la communication du Conseil supérieur des imams (COSIM), a une valeur supérieure à mille mois d'adoration, soit 83 ans.
Pr Tariq Ramadan, islamologue, estime que les musulmans doivent être dignes de leur foi et qu'il n'y a qu'un islam. Il faut reformé l'esprit des musulmans. Il a fait savoir ses préoccupations, le dimanche nuit, au palais de la Culture, à Treichville, lors de la Nuit du Destin devant des milliers de musulmans venus méditer. La Nuit a été organisée par le Conseil supérieur des Imams de Côte d'Ivoire (COSIM).
Le président du Conseil national islamique (CNI), Idriss Koudouss a révélé qu'il ne se trouve pas au Golf hôtel, parce qu'il n'a pas de parti politique. Et que par conséquent, il fait l'effort de se conformer aux principes de la religion en tant qu'imam. Il a fait la confidence, le lundi 14 février dernier, à la mosquée de Port Bouët 2, à Yopougon, où il est l'imam principal, lors de la commémoration de la naissance du prophète Muhammad.
"Mohamed, prophète de l'humanité". C'est le thème qui a été retenu par le Conseil national islamique (CNI) pour le Maoulid dans la nuit de vendredi à samedi à la grande mosquée de la Riviera Golf.