Le Burkina Faso a célébré « Aïd El Fitr », la fête qui marque la fin du mois bénis de Ramadan, le mercredi 6 juillet 2016 sur toute l'étendue du territoire. Les musulmans de Bobo-Dioulasso ont prié sous une pluie battante à la place « Wara-wara » de Dioulassoba.
Contrairement aux affirmations d'Ablassé Ouédraogo, président du Faso Autrement, « Jeune Afrique », dans une publication sur son site ce 12 juin 2015, affirme n'avoir pas déformé ses propos où il affirme que son ethnie et sa religion constituent des « atouts » pour son élection à la tête de l'Etat.
A la Mosquée du Président Lamizana, Ismaël Tiendrébéogo, imam au CERFI et membre de l'Observatoire national des faits religieux, a présenté, le 12 avril 2015, une conférence sur le jugement de l'islam sur le terrorisme et l'appréciation du traitement médiatique sur cette question.
Malgré les frustrations et les inquiétudes liées au contexte sous régional, « le modèle de coexistence religieuse du Burkina reste solide », soutiennent les auteurs du rapport Avec ou sans Blaise Compaoré, le temps des incertitudes(2013), qui viennent de publier le 6 septembre leur 2ème rapport sur le Burkina Faso. Il est intitulé Burkina Faso : préserver l'équilibre religieux. Même si le rapport « n'est pas alarmiste » comme le précédent, ses auteurs recommandent de « faire attention à préserver ce qui constitue un trésor » en commençant par ne pas laisser les jeunes diplômés des écoles franco-arabes « au bord du goudron ». Ce qui constitue « des risques évidents », et surtout à l'Etat d'« être présent sur l'ensemble du territoire et à considérer ses filles et ses fils, quelle que soit leur région, à égalité »
Le Cercle d'études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) a un nouveau Bureau exécutif national (BEN) depuis la tenue de son 12e congrès ordinaire des 24, 25 et 26 décembre 2021. Le président dudit bureau, Abdoul Hamidou Yaméogo, officiellement investi ce dimanche 26 décembre 2021, a invité au « renforcement de l'union ».
Les rideaux sont tombés sur la 15e conférence de l'Union parlementaire des Etats membres de l'organisation de la coopération islamique (UPCI). Ce jeudi 30 janvier 2020 à Ouagadougou, les présidents des parlements des pays concernés ont fait une déclaration conjointe.
Le Burkina Faso accueille pour la première fois en Afrique la conférence ministérielle sur le rôle de la femme dans le développement des Etats membres de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI). A Ouagadougou, des experts, des ministres en charge de la femme, les membres des institutions spécialisées se pencheront les 30 novembre et 1er décembre 2018 sur la problématique de l'autonomisation de la femme dans ces Etats membres de l'OCI.
Ce 8 mars 2016, l'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina Faso (AEEMB) et le Centre d'étude, de recherche et de formation islamiques (CERFI) ont organisé à Ouagadougou comme dans les 44 autres provinces du Burkina Faso, « la journée de la sœur musulmane ». Au programme figuraient une conférence sur le thème « La femme musulmane dans la promotion de l'islam au Burkina Faso: acquis et défis », et un panel sur « La femme musulmane face au terrorisme : quelles actions pour une meilleure protection de ses droits ? ».
La ligue islamique pour la paix au Faso a convié les femmes journalistes de 6 organes de presse autour d'un dîner qu'elle a organisé ce mercredi 7 mars 2018, la veille de la célébration de la journée internationale de la femme. Il s'est agi de les encourager dans leur métier.
L'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) a cette année encore sacrifié à la tradition en organisant le 08-Mars, une journée de la sœur musulmane. Cette activité se veut un cadre de réflexion sur la situation de la femme musulmane mais également un cadre saint de retrouvailles pour les musulmanes. Diverses communications ont permis de mettre le doigt sur les maux qui minent le quotidien de la gente féminine islamique. Des concours ont également incité les sœurs à l'excellence. Le tout était jalonné par des divertissements.
Au Burkina Faso, le Code des personnes et de la famille (CPF) favorise le mariage d'enfants. Depuis 2006, des activistes des droits humains réclament la révision de ce texte de référence en matière de mariage. Le processus de relecture dudit Code débuté en 2012 a connu une accélération pendant le Régime de la Transition de 2015. Un nouveau souffle qui devrait « légalement » sonner le glas du mariage d'enfants. Mais, jusqu'au premier trimestre 2019, ce n'est pas encore le bout du tunnel. Combien de temps faudra-t-il pour réviser ce document de 123 pages ? Dans le souci de comprendre ce train de retard, nous avons tenté de suivre à la trace la révision du Code des personnes et de la famille… Enquête !
Le Président du Faso Autrement, Ablassé Ouédraogo, et candidat à la présidentielle de 2015, a réagi au micro de Burkina24 sur ses récentes déclarations sur Jeune Afrique par rapport à ses atouts pour la présidentielle de 2015. Pour lui, c'est notre confrère de Jeune Afrique qui aurait mal retranscrit ses propos. Il affirme avoir envoyé un correctif au magazine. En attendant, il livre ce qu'il a voulu réellement dire.
Du 3 au 9 mai 2015, l'Association des Elèves et Etudiants Musulmans du Burkina Faso(AEEMB) organise sur toute l'étendue du territoire la 3eme édition de la Semaine nationale de la solidarité(SNSI), semaine au cours de laquelle les cœurs seront ouverts aux personnes les moins nanties. Le lancement a eu lieu le dimanche 3 mai dans le conseil général de Sanmatenga.
Le 16e congrès ordinaire de l'Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina (AEEMB) s'est tenu du 25 au 28 décembre 2016, sous le thème : « trois décennies d'existence : bilan et perspectives ». L'événement a été marqué par l'investiture du nouveau président du Comité exécutif, pour un mandat de deux ans.
Ceci est un communiqué de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) sur l'affaire « sécurité islamique » qui a secoué l'opinion nationale.
La création ou la confirmation d'un « groupe de sécurité » à caractère islamique à Pouytenga dans le Kouritenga inquiète la Toile au Burkina Faso. Le prédicateur Dr Isaac Kindo, qui était dans la ville, dément la formation d'un groupe au même caractère que les koglweogos. Le ministère de la sécurité, lui, affirme qu'il a lancé une investigation.
Les musulmans du Burkina Faso célèbrent aujourd'hui, à l'instar de leurs frères du monde musulman, la grande fête de l'Islam : Aīd al-Kabīr. A Ouagadougou, la grande prière organisée comme d'habitude à la place de la nation a réuni des milliers de musulmans qui ont commémoré le sacrifice d'Abraham sous le signe de la paix.
Ce jeudi 08 août, la communauté musulmane du Burkina Faso célèbre la fête de Aïd-el-fitr (Ramadan), à l'instar des musulmans d'autres pays. A la place de la Nation où se sont retrouvés ce matin de nombreux fidèles pour la grande prière, on a surtout prié pour une paix sociale durable au Burkina.
Le Royaume d'Arabie Saoudite a offert 50 tonnes de dattes au Burkina ce jeudi 1er avril 2021. Un geste qui vient dans une logique de solidarité et d'humanité de la part du Royaume des deux saintes mosquées. Selon l'ambassadeur, le présent don vise le renforcement des liens fraternels entre nos deux pays et nos deux peuples. Et ce, dans l'objectif d'alléger les souffrances des populations.
Ce samedi 15 août 2020, le grand imam de Djibo Souaibou Cissé, président de la communauté musulmane du Soum a été retrouvé assassiné dans le village de Tileré (province du Soum). Le gouvernement et quelques autorités ont condamné cet assassinat et présenté leurs condoléances.
Les représentants de la CEDEAO à travers la cellule Organisation Ouest Africaine de la Santé (OOAS) a offert une somme de 30 millions de FCFA, pour soutenir la prise en charge des blessés de l'attaque du café Aziz Istanbul, à l'Etat Burkinabè. C'était ce jeudi 17 août 2017 à l'hôpital Yalgado Ouédraogo.
La Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) a rendu visite aux blessés de l'attaque du Café Aziz Istanbul à l'hôpital Yalgado Ouédraogo, ce 15 août 2017.
La Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) a réagi à l'agression contre une église catholique le 12 mai 2019 à Dablo dans le Centre-Nord.
Quatre jours après les attentats terroristes sur le territoire burkinabè, la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB), après s'être démarquée et avoir condamné dès les premières heures ces attaques, a apporté soutien et réconfort aux blessés à l'hôpital Yalgado Ouédraogo. C'est une forte délégation qui a été reçue ce mercredi 20 janvier 2016 par le directeur général dudit hôpital.
La coordination des Associations Islamiques de l'Ouest a initié un meeting pour élaborer la synthèse des préoccupations des musulmans en vue d'attirer l'attention de la classe politique, de l'administration sur l'urgence et la nécessité de les prendre en compte. C'était ce samedi 12 septembre 2015 à Bobo-Dioulasso.