Le conseil des ministres s'est tenu ce mercredi 28 mars 2018 sous la présidence du président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré. Des dossiers de fond ont été examiné lors dudit conseil dont trois évoqués par le porte-parole du gouvernement, Rémis Fulgance Dandjinou.
« Après mon accouchement, les sages-femmes m'ont présenté les différents modèles ; mais ça ne m'a jamais intéressée». C'est ce qu'a confessé Wendemi Sérémé, mère d'un enfant qui a quatre printemps, laquelle avoue, sans sourciller, n'avoir jamais voulu entendre parler de méthodes contraceptives. N'a-t-elle jamais craint de tomber de nouveau enceinte sans y être préparée ? « Vu sous cet angle, c'est vrai que ça peut paraître irresponsable. Seulement, je redoute les fameux effets secondaires qu'on prête à ces produits. On entend tellement de choses à ce sujet ! On raconte même que ça peut rendre stérile ou occasionner des maladies », se justifie ce petit bout de femme encore loin des bouffées de chaleur de la ménopause. Des craintes partagées par Chantal Nikiéma, gérante d'un restaurant du côté de Dapoya, qui, visiblement, s'y connaît en méthodes contraceptives, même si elle avoue n'en avoir jamais fait l'expérience. « Une de mes amies prenait la pilule quand elle était jeune fille. Et lorsqu'elle s'est mariée, elle n'a pas pu avoir d'enfant. Après quelques années, son mari l'a répudiée. Je ne peux pas affirmer que c'est dû aux comprimés, mais en tout cas je préfère ne pas en prendre », a déclaré cette trentenaire « prudente » qui compte bientôt mettre à son tourtereau la corde au cou.
Depuis les attentats du 02 mars 2018 contre l'etat-major général des Armées et l'Ambassade de France au Burkina Faso, une équipe d'investigation des services de renseignements de la Gendarmerie nationale et de la Police nationale, des services de police judiciaire et l'Agence nationale de renseignement a été mise en place. Le travail de cette équipe d'investigation a permis d'identifier la planque des présumés terroristes dans une mini villa dans le quartier Ragnongo de l'arrondissement n°11 de Ouagadougou.
Selon les autorités saoudiennes, environ 2 millions de fidèles musulmanes et musulmans du monde effectueront le pèlerinage à La Mecque pour cette année 2018. Parmi eux figurent les 8 143 Burkinabè qui se sont inscrits dans les agences de voyages habilitées à recenser les candidats. Hier 8 août, à l'aéroport international de Ouagadougou, il était 15h 40 lorsque le premier contingent, fort de 268 pèlerins, s'est envolé pour l'Arabie Saoudite. Dans la soirée, 435 autres sont partis de Bobo-Dioulasso, dans le but de sacrifier au rituel du 5e pilier de l'islam.
Après plus d'un mois en terre sainte où ils ont accompli les rites du 5e pilier de l'islam, les premiers pèlerins burkinabè ont regagné Ouagadougou hier 19 août 2019. Ils sont environ 600 nouveaux el hadj et hadja à avoir foulé le tarmac de l'aéroport de la capitale et de celui de Bobo-Dioulasso sur un effectif global de 8143. Sourire aux lèvres, accolades et scènes de liesse étaient au rendez-vous à la vue des pèlerins en ce début de journée.
Après le retour des derniers pèlerins le 6 septembre dernier, l'heure était au bilan le mardi 19 septembre 2019 à Ouagadougou, à l'hôtel Ramada. Au cœur de la conférence de presse, les pertes de vie humaine ainsi que quelques problèmes logistiques sont ressortis.
Résidant à Ouagadougou, le cheik Ahmado Sawadogo a effectué un déplacement à Barsalogho, commune rurale de la province du Sanmatenga, le 15 septembre 2019. Le retour au bercail de ce natif de la localité a été marqué par des visites de courtoisie à des autorités administratives, sécuritaires et coutumières locales, une séance de prières pour la paix dans une mosquée et un don de vivres et d'un forage d'eau au profit des personnes déplacées internes de la commune.
Suite à notre publication sur la zakat du mardi 8 juillet 2014, certains de nos lecteurs ont voulu avoir des compléments d'informations, cas pratique à l'appui.
Cette année encore, c'était le parcours du combattant pour les musulmans burkinabè qui voulaient effectuer le pèlerinage à la Mecque. Et quand après toutes sortes de difficultés, ils atterrissaient en Arabie Saoudite, le calvaire n'était pas pour autant terminé.
Placée sous la présidence du gouverneur de la région du Nord, la cérémonie officielle de déclaration publique d'abandon de la pratique de l'excision et du mariage des enfants de 234 villages s'est déroulée le mardi 5 mars 2019 à Sambtenga, dans la commune de Ouahigouya. Pilotée par le Groupe d'appui en santé, communication et développement (GASCODE), l'activité a mobilisé de nombreux élus locaux de la région du Nord ainsi qu'une représentation de l'UNICEF.
Depuis l'annonce de la désignation du journaliste Newton Ahmed Barry comme commissaire de la CENI au titre de la communauté musulmane, des rumeurs font état de ce que ce choix est contesté par des organisations islamiques. Le CERFI et l'AEEMB démentent ces allégations et réaffirment leur soutien à notre confrère.
Comme à l'accoutumée, c'est à la Place de la Nation que les fidèles de la Communauté musulmane du Burkina (CMBF) ont accompli la prière de l'Aïd el Kébir en souvenir de l'acte d'Abraham. La particularité, cette année, c'est que l'événement a été célébré en rangs dispersés chez les adeptes de la religion de Mohammad au Faso.
Le comité de suivi du Hadj 2013 a signé, hier mardi 10 septembre 2013 au ministère de Communication, un contrat avec la compagnie NAS AIR CHARTER (2e transporteur privé en Arabie Saoudite) pour le transport des 4 200 candidats burkinabè au pèlerinage à la Mecque.
Voilà un an de cela que le peuple américain et le monde entier voyaient avec stupeur des symboles de la puissance des Etats-Unis ployer sous les «feux» d'attaques terroristes. Depuis lors, quel impact cela a-t-il eu sur les relations internationales ? Est-ce qu'une prochaine attaque terroriste de grande envergure comme celle du 11 septembre est possible ? Telles sont entre autres les questions que nous avons posées à un enseignant-chercheur, M. Issa Cissé, chargé du cours de relations internationales au département de communication et journalisme (ex-Arts et communication). Maître-assistant d'histoire, M. Cissé est également enseignant à l'Ecole normale supérieure de Koudougou (ENSK), son institution de rattachement, et à la section diplomatie de l'Ecole nationale d'administration et de magistrature.
Les populations du village de Songdin, dans la commune rurale de Boussouma (province du Sanmatenga), étaient en liesse le vendredi 30 janvier 2009 à l'occasion de la cérémonie d'inauguration de la mosquée. Cette infrastructure d'adoration de Dieu a été réalisée par la députée Hadja Zénabo Drabo.
L'auteur des lignes qui suivent estime qu'il faut se garder de mettre un religieux, de quelque confession que ce soit, ou un coutumier à la tête de la transition. Il explique pourquoi.
Le dimanche 3 février 2002, il y avait foule à la maison des jeunes et de la culture de Ouagadougou (MJCO). Pour cause, le chef du projet Zone d'activités commerciales et administratives (ZACA) y avait convié les attributaires de parcelles et autres résidents des secteurs 1, 4, 5 et 6 concernés par ledit projet à une assemblée générale d'information. En lieu et place de la réunion, nous avons été témoin d'un brouhaha suivi d'échauffourées.
La coordination des résidants de la Zone d'activités commerciales et administratives (ZACA), avec à sa tête l'Imam Saïdou Bangré, est allée visiter les trames d'accueil des populations concernées par le projet. C'était sous la conduite du chef de projet, M. Alain Bagré, et du directeur général de la SONATUR, M. Hamidou Ouédra
Le vendredi 13 septembre 2002, le grand imam et père fondateur du Mouvement sunnite au Burkina, el hadj Sayouba Ouédraogo, a animé une conférence de presse sur la crise qui secoue leur confrérie, dans l'enceinte de la mosquée dudit mouvement au secteur
La fête nationale du Royaume d'Arabie Saoudite a été commémorée le 10 septembre 2007 à Ouagadougou, à la résidence de son ambassadeur auprès de notre pays, Abdul Rahman Al Murshad.
Mouloud est célébré chaque année par la majorité des musulmans du monde entier. Cette commémoration, qui ne donne pas lieu à des réjouissances populaires, est l'occasion d'évoquer la vie, les actes et les paroles du prophète Mohamed, « placé par le célèbre historien américain Michael Hart à la tête des 100 personnalités ayant changé le monde et réformé l'humanité ».
Les musulmans du Burkina Faso ont commémoré la Tabaski le vendredi 27 novembre 2009. Dans la capitale, c'est la place de la Nation qui a servi de cadre à la grande prière dirigée par l'imam de la grande mosquée de Ouagadougou, Aboubacar Sana. Pour la première fois, sauf erreur, les fidèles musulmans avaient à leurs côtés l'archevêque de Ouagadougou, Mgr Philippe Ouédraogo.
La Communauté soufie du Burkina Faso a célébré le Maouloud dans la nuit du lundi 28 juin 2010 au domicile de leur guide spirituel, EL Hadji Cheick Moaze. Une célébration en large différé d'un événement qui marque la naissance du prophète Mohamed du côté de Tanghin (secteur 23 de Ouagadougou) qui n'a entaché en rien sur le degré de mobilisation de participants venus de divers horizons.