L’Atelier théâtre burkinabè (ATB) a célébré, dans la soirée du lundi 18 juin 2018 à son siège à Ouagadougou, ses quarante ans d’existence. Une cérémonie qui a connu la prestation de plusieurs chorales de différentes confessions religieuses, de slameurs, etc.
Quelques heures après la publication, par le ministère de la Sécurité, d’une liste d’individus soupçonnés d’avoir participé à une entreprise terroriste, l’on apprend l’arrestation, hier 20 juin 2018 à Dori (chef-lieu de la région du Sahel), du conseiller municipal du village de Soumbella et premier adjoint au maire de la commune de Koutoukou, Boureima Alassane.
L'université Ouaga I Pr-Joseph-Ki-Zerbo vibrera au rythme de la 3e édition du Forum citoyen des acteurs et partenaires de l'éducation, les 26 et 27 (...)
Du 28 au 29 juin 2018 se tient, à Ouagadougou, un atelier préparatoire de la 7e conférence sur le rôle de la femme dans le développement des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI). La cérémonie d’ouverture a eu lieu ce jeudi 28 juin 2018, en présence de la ministre de la Femme, de la Solidarité nationale et de la Famille.
Une fois de plus depuis trois ans, Ouagadougou a été le lieu d’une énième attaque terroriste (double attaque cette fois) le 02 mars 2018 un peu plus de 10h locale à l’état-major général des armées du Burkina-Faso, et à l’ambassade de la République française. Cette dernière attaque sera revendiquée deux jours par le mouvement djihadiste appelé groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), groupe né de la fusion le 02 mars 2017 du groupe Ansar Dine du djihadiste malien Lyad Ag GHALY, du groupe Al-mourabitoune de l’algérien Mokhtar BELMOKTHAR et de l’Emirat du Sahara, une branche d’Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI).
Des individus armés, se déplaçant à moto, ont attaqué simultanément dans la nuit du jeudi 06 septembre 2018 le poste forestier du village de Tankoalou (localité située à 150km de la ville de Fada N’gourma, à la frontière avec le Niger) et des bâtiments administratifs dans la commune de Bartiebougou.
Des individus armés non identifiés ont abattu simultanément cinq personnes et blessé trois dont une dans un état grave. Cette tragédie est survenue dans une mosquée dans la nuit du vendredi 14 à samedi 15 septembre 2018, à Djabiga.
Face aux nombreuses attaques terroristes répétées enregistrées par le pays, les autorités multiplient les efforts sur tous les fronts. C’est dans cette dynamique que l’Assemblée nationale a, la semaine écoulée, ouvert une session extraordinaire sur cette préoccupation. C’est également dans ce cadre que le Premier ministre, Paul Kaba Thiéba, a été reçu à l’hémicycle dans la matinée de lundi, 17 septembre 2018 pour exposer sur la situation et la stratégie de riposte militaire. Nous vous proposons le discours prononcé par le chef du gouvernement devant les députés.
Les musulmans du Burkina ont célébré ce vendredi 15 juin 2018, la fête de Ramadan, marquant la fin de 30 jours de pénitence. Pour l’occasion, les leaders religieux ont livré, une fois de plus, des messages de paix, de solidarité et de vivre-ensemble.
Après 29 jours d’abstinence, de prières et d’adorations intenses, les fidèles musulmans du Burkina Faso, en particulier ceux de Dédougou, ont célébré l’aid-el-filtr ou la fête du Ramadan, ce vendredi 15 juin 2018. C’est la place de la grande mosquée située au secteur N°2, qui a servi de cadre pour la grande prière. C’est l’imam de la grande mosquée, Alimami Traoré, qui a dirigé la prière. Dans son sermon, il a imploré Allah pour plus de paix, de justice et de coexistence pacifique entre les communautés religieuses du Burkina.
Toutes les louanges sont à Allah, le clément et miséricordieux qui nous a révélé le coran durant le mois de ramadan, et nous y a prescrit le jeûne pour nous éduquer à la piété, à la crainte révérencielle de Dieu. Paix et salut sur le prophète du repentir et de la miséricorde, Mohammad ibn Abdallah dont le comportement était le coran.
Les fidèles musulmans de la ville de Bobo-Dioulasso, à l’instar de ceux des autres localités du Burkina Faso, ont célébré, ce vendredi 15 juin 2018, la fête du Ramadan. Ainsi, après plusieurs jours de privation, de pénitence, de prières et d’adorations intenses, les fidèles musulmans ont rendu grâce à Dieu à travers une grande prière à la Place Wara-Wara de la ville de Sya. À cet effet, l’mam de la grande mosquée de Dioulassoba, Siaka Sanou, a imploré le Dieu Tout-Puissant afin qu’il accorde la paix et la sécurité au Burkina Faso.
Mois de Ramadan, mois de pénitence, de communion et de partage. Solidaires des fidèles musulmans de la région du Sahel, l’une de ses principales zones d’intervention, Techno Security, le champion de la sécurité des personnes et des biens, a procédé, les 31 mai et 1er juin 2018, à la remise de vivres et de sucre aux communautés musulmanes de Dori, Gorom-Gorom, Essakane-site et Falagountou.
Au lendemain de la neutralisation de la cellule terroriste dans le quartier Rayongo (sud-est de la capitale), le procureur du Faso près le Tribunal de grande instance de Ouagadougou a dressé, ce mercredi, 23 mai 2018, un point de l’enquête. Selon Maïza Sérémé, le présumé cerveau, Sawadogo Abdoulaye alias Abdallah est impliqué dans l’attaque de la Brigade territoriale de gendarmerie de Samorogouan (ouest du pays) en octobre 2015.
Déclaration liminaire de madame le procureur du Faso, Maiza Sérémé, lors de son point de presse sur les évènements de la nuit du 21 au 22 mai 2018 à Rayongo
« Le jour, nous avons peur de l’armée, et la nuit des djihadistes », c’est le titre du dernier rapport, en date du 21 mai 2018, de Human Rights Watch qui porte sur les conséquences des attaques terroristes et des répliques des forces de sécurité dans le nord du Burkina. Un document qui ne manquera pas de faire polémique et auquel on attend la réaction du gouvernement dans les jours à venir.
Au Burkina Faso, la lutte contre les Mutilations génitales féminines (MGF) est loin d’être gagnée. Même si l’on assiste à une baisse du taux de prévalence de l’excision et que les résultats engrangés depuis plusieurs années de lutte sont encourageants, beaucoup reste encore à faire pour atteindre le stade de zéro MGF au Burkina.
Le village de Safané se trouve au Burkina Faso, à 55 km de Dédougou, le chef-lieu de la région de la Boucle du Mouhoun et de la province du Mouhoun. Les Marka (population autochtone), les Kô, les Mossi, les Peulh, les Nouni et les Bwaba sont les principaux groupes ethniques dans la commune. Aussi, y trouve t-on des Mauritaniens, des Guinéens et des Maliens.
Huit assaillants ont brûlé mercredi, l’école sous paillote de Bafina (75km de Kaya) et le logement de son directeur avant de semer la panique dans le marché de la localité, a appris l’AIB de sources concordantes.
La deuxième réunion des ministres en charge des affaires religieuses et de culte des pays du G5 Sahel, tenue à Ouagadougou du 26 au 27 avril, a invité encore au débat une question délicate mais cruciale : quel rôle le fait religieux joue-t-il dans la radicalisation et l’extrémisme violent au Burkina Faso et dans la région du Sahel ouest-africain en général ? Si la religion peut être à l’origine de conflit, de division, et hélas de violence extrémiste, fratricide, mais peut aussi inspirer des efforts louables de réconciliation et de promotion de la paix dans le monde, quelles implications cela a-t-il pour les leaders religieux et politiques et pour le simple croyant ? Pour avoir réfléchi et écrit plus longuement ailleurs sur la question, je souhaiterais proposer ici quelques éléments pour contribuer à enrichir le débat.
Les attaques ont été revendiquées par le mouvement extrémiste « Nusrat al-Islam wal-Muslimin », dirigé par Iyad Ag Ghaly, qui dit avoir agi « en réponse à la mort de plusieurs de ses leaders dont le chef Mohamed Hacen Al-ançari dans un raid de l’armée française », le 14 février 2018. J’ai pris connaissance d’une soixantaine de réactions d’internautes burkinabè sur le site du journal en ligne lefaso.net. Ces réactions résument les perceptions des Burkinabè sur les responsables directs et indirects de cette tragédie. Il s’agit d’un véritable réquisitoire qui laisse apparaître un clivage réel.
Une délégation de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) était à l’hôpital Yalgado Ouédraogo, le 15 aout 2017, pour apporter soutien et réconfort aux blessés de l’attaque terroriste du 13 Août. Elle n’a pas manqué de féliciter le personnel médical et la direction générale dudit hôpital pour le dévouement dont ils font montre pour assurer des soins de qualité aux blessés. Conduite par le président du présidium, El Hadj Abdoul Rahmane SANA, la FAIB est allée invoquer la miséricorde d’Allah pour les blessés et apporté un soutien financier de 1.250.000 Fcfa au nom des musulmans de notre pays.
Le 13 novembre prochain auront lieu les élections à la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso (CCI-BF). Dans ce cadre, Malicka Yugo/Séré, candidate dans la région du Centre pour le secteur de l’hôtellerie et de la restauration, a convié les média à un thé de presse ce jeudi 3 novembre 2016 à Ouagadougou.