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Hadj 96 : la première vague quittera Ouagadougou le 10 avril prochain 20 février 1996 Le 15 février 1996, la Commission nationale d'organisation du pèlerinage à La Mecque (CNOPM) a présenté les préparatifs du Hajj, incluant les inscriptions, le transport (Air Afrique), les coûts indicatifs et l'assistance médicale. Des mesures logistiques pour les départs groupés et la gestion des bagages sont prévues, ainsi que des facilités de paiement via comptes bancaires. L'objectif est de simplifier le voyage pour les pèlerins burkinabè avant les premiers départs fixés en avril 1996.
Hadj 96 : réactions et propositions concrètes 15 mai 1996 Selon divers responsables et pèlerins interrogés, l'organisation du Hadj 1996 par le Burkina Faso a été globalement un succès, marquant une nette amélioration grâce à l'implication de l'État, notamment en termes d'accueil, de transport et d'hébergement des pèlerins. Malgré des difficultés rencontrées (discipline, problèmes de santé liés à l'âge, sécurité), diverses propositions sont formulées pour améliorer les prochaines éditions, incluant des visites médicales obligatoires, une meilleure éducation sanitaire et organisationnelle.
Hadj 97 : 1 236 200 F CFA pour visiter les lieux saints 14 mars 1997 Le texte détaille les préparatifs du Hadj 97, le pèlerinage annuel musulman en Arabie Saoudite, qui aura lieu dans moins d'un mois. Il met en avant l'implication des autorités politiques burkinabè dans l'organisation, qui a considérablement réduit les difficultés rencontrées par les pèlerins. Le coût pour un pèlerin adulte s'élève à 1 236 200 F CFA, une augmentation par rapport à l'année précédente, incluant le billet d'avion et les dépenses sur place, avec des tarifs spécifiques pour les enfants et bébés.
Hadj 97 : le premier groupe de pèlerins déjà en route 1 avril 1997 Les premiers pèlerins burkinabè pour le Hadj 1997 ont commencé à quitter Ouagadougou à destination de l'Arabie Saoudite via Air Afrique. Environ 1650 fidèles effectuent ce pèlerinage cette année, une hausse comparée aux 1603 de 1996. La Commission nationale d'organisation a préparé cet événement, améliorant l'organisation, notamment via l'informatisation des paiements et la programmation des vols.
Hadj 97 : les quatre Burkinabè refoulés retourneront-ils à la Mecque? 9 avril 1997 Le texte explique que des pèlerins burkinabè ont été refoulés car ils possédaient de faux passeports. Le ministre de l'Administration territoriale a précisé qu'à son retour, de nouveaux passeports leur ont été délivrés et une mission envoyée à Niamey pour obtenir des visas. Quatre pèlerins devraient reprendre leur voyage pour le Hadj, sinon ils devront attendre l'année prochaine. L'article soulève des questions sur la vérification initiale des documents.
Hadj 98 : 1 679 Burkinabè sont en terre sainte 1 avril 1998 Le 27 mars 1998, Air-Afrique Burkina a tenu une conférence de presse pour détailler ses missions et faire le bilan de l'opération Hadj 98. La compagnie a annoncé avoir transporté 1697 pèlerins burkinabè vers Djedda pour le Hadj, confirmant que la majorité des inscrits sont arrivés à temps malgré quelques cas de non-départ pour des raisons financières ou de visa. L'opération a été jugée réussie pour l'essentiel.
Hadj 98 : 484 Burkinabè sont déjà à Djedda 18 mars 1998 Ce texte rapporte le départ du premier contingent de pèlerins burkinabè vers La Mecque pour le Hadj le 16 mars, sur les 1400 prévus. Il décrit l'importance de ce pèlerinage, le grand soutien de la population à l'aéroport et l'assistance apportée aux fidèles lors des formalités.
Hadj 98 : à malin, malin et demi 20 avril 1998 Des pèlerins burkinabè ont contourné le coût officiel élevé du Hadj (1,2 million F CFA) en voyageant depuis des pays voisins pour des vols moins chers (500 000 F CFA). Cependant, une fois sur place, ils ont dû faire face à des frais supplémentaires importants (taxes, hébergement, etc.). Face à ces dépenses imprévues, près de 300 d'entre eux se seraient infiltrés dans la délégation officielle burkinabè, parfois avec la complicité d'organisateurs, une démarche jugée malhonnête et finalement peu avantageuse.
Hadj 98 : les Burkinabè seront-ils à temps sur les lieux saints? 24 mars 1998 Le texte rapporte les problèmes majeurs rencontrés par les pèlerins burkinabè pour le Hadj 1998, entraînant le blocage de centaines de personnes aux aéroports de Ouagadougou et Bobo-Dioulasso. Les retards s'expliquent d'abord par des problèmes de visas, puis par une panne mécanique du Boeing 747 affrété par la compagnie Air Afrique. Celle-ci a dû assurer l'assistance des pèlerins en attente et organiser des vols de report, les derniers départs étant prévus fin mars, juste avant la clôture de l'aéroport du Hadj.
Hadj 98 en terre sainte de l'islam : les rites selon Saint B.O. 24 avril 1998 Le texte suit le parcours de B. O., un agriculteur musulman burkinabè ayant économisé pendant des années pour accomplir le pèlerinage à la Mecque (Hadj) en 1998, une obligation religieuse. L'article détaille sa préparation spirituelle, les défis du voyage, son arrivée en Arabie Saoudite (incluant une visite à Médine) et l'importance personnelle de cet acte de foi qui lui vaut le titre d'El Hadj.
Hadj 98 en terre sainte de l'islam : les rites selon Saint B.O. (suite) 27 avril 1998 Ce texte suit un pèlerin burkinabè (B. O.) durant son Hadj à La Mecque, après son séjour à Médine. Il décrit les rites accomplis à La Mecque, notamment l'entrée en état de consécration (Ihram), le Tawaf autour de la Ka'ba, la consommation de l'eau de Zamzam et le parcours entre Safa et Marwa. D'autres étapes importantes du pèlerinage sont mentionnées comme restant à couvrir dans les prochaines éditions.
Hadj 98 en terre sainte de l'islam : les rites selon Saint B.O. (suite) 28 avril 1998 Le texte relate le pèlerinage du Hadj d'un pèlerin nommé B.O., décrivant les étapes clés et les rites associés. Il met en avant l'importance spirituelle de la station à Arafa, la collecte de cailloux pour la lapidation de Satan à Mina, le sacrifice rituel, et la procession d'adieu à La Mecque. Le récit aborde également les prières du pèlerin, les difficultés rencontrées comme une bousculade tragique, et sa purification spirituelle à l'issue du Hadj.
Hadj 98 en terre sainte de l'islam (suite et fin) : les déboires de B.O. 29 avril 1998 Après son pèlerinage à La Mecque, un Burkinabé nommé B.O. a été contraint d'attendre une semaine à l'aéroport de Djedda en raison de vols Air Afrique annulés ou pleins, ce qui l'a mis en difficulté financière. Il a finalement pu rentrer à Ouagadougou après cette longue attente et retrouver sa vie quotidienne.
Hadj 99 : bientôt les départs des pèlerins burkinabè 26 février 1999 Les pèlerins burkinabè sont attendus pour le Hadj début mars 1999, organisé par une commission nationale présidée par le Ministre Yéro Boly. Au 24 février 1999, 1237 inscrits sont enregistrés, alors que la commission table sur au moins 1500. Les inscriptions restent ouvertes, mais les retardataires doivent se presser avant l'arrivée de la mission consulaire pour les visas le 27 février.
Hadj 99 : la Commission nationale d'organisation à pied d'œuvre 28 janvier 1999 Ce texte décrit l'organisation du Hadj 1999 pour les fidèles burkinabè par une Commission nationale, avec des départs prévus du 5 au 8 mars. La commission et ses sous-commissions préparent activement le pèlerinage, incluant la prospection d'hébergements en Arabie Saoudite. Les coûts de transport et d'hébergement sont fixés (ex: 976 800 FCFA pour les adultes), et les pèlerins gèrent leur propre argent.
Hadj au Burkina : il est temps de se ressaisir 28 novembre 2012 Le texte dénonce l'organisation désastreuse du Hadj 2012 pour les pèlerins burkinabè, marquée par des retards, des mauvaises conditions et des bagages perdus, soulignant la souffrance endurée malgré le coût élevé. Face à cette désorganisation chronique qui persiste malgré les changements de gestion, l'auteur appelle à des solutions urgentes et concrètes pour le Hadj 2013, suggérant un forum national ou l'inspiration d'autres pays. Il insiste sur la responsabilité de chacun à tous les niveaux pour améliorer l'organisation et redorer l'image du Burkina Faso.
Hadj avorté de septembre 2015 : les frais ont été reversés aux agences de voyage 23 mai 2016 Le Ministère de l'Administration Territoriale du Burkina Faso informe les fidèles musulmans des dispositions prises pour le Hadj 2016. Les candidats du Hadj 2015, empêchés par le coup d'État, ont été remboursés et sont prioritaires pour 2016. Les agences de voyages sont invitées à se conformer aux exigences techniques pour l'enregistrement des pèlerins. Une liste de 38 agences agréées pour le Hadj et la Oumrah 2015-2017 est publiée, et les pèlerins sont invités à n'utiliser que ces agences, une agence étant suspendue.
Hadj édition 2010 : 1 million 193 mille F CFA pour le billet d'avion 14 septembre 2010 Le ministre Clément P. Sawadogo a présenté l'organisation du Hadj 2010 au Burkina Faso, soulignant l'innovation majeure de la séparation des rôles de transporteur (STMB Tours sélectionné) et d'organisateurs (5 agences retenues). L'État subventionne une partie du coût pour rendre le pèlerinage plus accessible aux pèlerins burkinabè. Un comité national supervise l'organisation, prévoyant des sanctions pour les agences ne respectant pas les règles.
Hadj'2004 : polémique autour d'un billet d'avion 26 janvier 2004 La communauté musulmane de Pô traverse une crise persistante, exacerbée par une polémique autour d'un billet d'avion pour le Hadj 2004. La division interne a empêché le choix d'un bénéficiaire local, le billet étant finalement attribué à un imam de Ziou, ce qui a alimenté les tensions. Cependant, la réouverture récente des mosquées, fermées depuis un mois, est perçue comme un signe encourageant de normalisation et de reconnaissance potentielle d'un bureau de gestion.
Hadj'96 : "No problem!" 16 avril 1996 Des médias étrangers ont rapporté que l'Arabie Saoudite refusait l'entrée aux pèlerins de certains pays sahéliens, dont le Burkina Faso, en raison de la méningite. Le ministre burkinabè Yéro Boly a démenti cette information, affirmant que les 1580 pèlerins officiels sont bien arrivés et accomplissent leur Hadj sans difficulté. Les 21 retardataires ont également pu entrer sur le territoire saoudien.
Hadj'96 : comment assurer la sécurité de nos pèlerins? 18 janvier 1996 Le gouvernement du Burkina Faso a pris en charge l'organisation du pèlerinage à la Mecque de mai 1996 pour garantir la sécurité et améliorer les conditions des pèlerins, suite aux échecs précédents et aux spoliations. Une Commission nationale (CNOPM) et des sous-commissions ont été créées pour gérer tous les aspects (finances, transport, santé, passeports, sécurité), avec une décentralisation via des comités provinciaux. Le coût pour un adulte est de 1.252.100 FCFA (incluant le sacrifice), et des vaccinations spécifiques (méningite, fièvre jaune, choléra) ainsi qu'un passeport spécial sont obligatoires.
Hadj'96 : le point des préparatifs 15 mars 1996 L'État, via la Commission nationale d'organisation du pèlerinage à la Mecque (CNOPM), a repris en main l'organisation du Hadj pour éviter les problèmes passés. Les préparatifs avancent avec 650 inscrits et des coûts variant de 1.081.200 à 1.241.200 FCFA pour les adultes. Le pèlerinage durera environ quatre semaines, avec un départ prévu vers le 15 avril par Air Afrique, et l'État contribue à hauteur de 110 millions de francs pour assurer le logement et la sécurité des pèlerins.
Hadj'98 : foi de député 24 avril 1998 Le Hadj'98 s'est avéré particulièrement éprouvant pour les pèlerins burkinabè en raison de nombreuses défaillances au départ et au retour, malgré les efforts du président du Comité d'organisation, Yéro Boly. La foi des pèlerins est restée inébranlable. Parmi eux figuraient deux députés, Guélo Hamidou Maïga et Mahamady Lamine Koanda, qui ont été chaleureusement félicités par leurs collègues lors de leur réapparition à l'Assemblée nationale le 21 avril.
Hadj'98 : la rigueur comme leitmotiv 10 février 1998 La Commission nationale d'organisation du pèlerinage à la Mecque (CNOPM) a tenu sa première assemblée pour préparer le prochain Hadj. Sous la présidence de Yéro Boly, l'objectif est de réformer l'organisation suite aux problèmes passés, en insistant sur la transparence financière et la probité des encadreurs. Un nouveau décret de février 1998 restructure la CNOPM, créant un secrétariat permanent et remplaçant les commissions provinciales par des régionales, afin d'assurer un déroulement plus rigoureux et transparent du pèlerinage.
Hadj'98 : les mésaventures d'un pèlerin 10 avril 1998 Un pèlerin burkinabé du Hadj 1998, bénéficiaire d'un billet de la présidence, a été refoulé à Djeddah en raison d'un visa non conforme, puis renvoyé au pays. Cet incident est perçu comme politiquement motivé, des personnalités rivales ayant revendiqué l'avoir empêché de partir car il était lié à un parti d'opposition, soulevant la question de la politisation des pèlerinages.