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Affaire "Mosquée de Panzani" : le gouvernement attribue le terrain litigieux à la fédération des associations islamiques 6 mai 2021 Le gouvernement burkinabè a résolu le conflit foncier né de la destruction de la mosquée de Panzani en septembre 2020. Le 6 mai 2021, il a attribué le terrain litigieux à la Fédération des Associations Islamiques du Burkina Faso (FAIB) pour des infrastructures communautaires. L'ancien propriétaire légal, M. Jacques Ouédraogo, a été compensé par l'attribution d'un autre terrain.
Affaire "prêche radical" de Gon-Boussougou : le ministre Sourwéma présente ses excuses 26 juillet 2022 Le Premier ministre Albert Ouédraogo a rencontré le ministre des Affaires religieuses Issaka Sourwéma et la FAIB le 26 juillet 2022 pour aborder la polémique autour du prêche de l'imam de Gon-Boussougou. Le ministère a reconnu sa responsabilité dans la diffusion d'informations erronées suite à un manque de rigueur. Des excuses seront présentées, et une rencontre de haut niveau est prévue pour résoudre durablement la situation, une issue saluée par la FAIB.
Affaire "sécurité islamique à Pouytenga" : Sidwaya dans le box des accusés le 19 juillet 5 juillet 2018 Le journal d'Etat Sidwaya a été cité à comparaître pour diffamation le 5 juillet 2018 suite à un article sur la "sécurité islamique" de Pouytenga. L'association à l'origine de cette sécurité estime que le reportage de Sidwaya contient des propos diffamatoires et calomnieux. Le dossier, incluant aussi le reporter et des sources, a été renvoyé au 19 juillet 2018.
Affaire "sécurité islamique" : l'éclairage de la Fédération des associations islamiques 27 mars 2018 La Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) a publié un communiqué clarifiant l'affaire de la « sécurité islamique » à Pouytenga. Suite à des inquiétudes, la FAIB a rencontré les responsables qui ont expliqué qu'il s'agissait d'un service d'ordre non armé du Mouvement sunnite local, destiné à sécuriser les mosquées et cérémonies religieuses, et dont l'existence est connue des autorités. La FAIB a rassuré l'opinion publique, précisant que 40 tenues ont été remises à la gendarmerie et qu'elle travaille en étroite collaboration avec les autorités pour maintenir l'ordre public.
Affaire "sécurité islamique" : la toile flambe, un prédicateur rassure, le ministère de la sécurité enquête 25 mars 2018 Un "groupe de sécurité" à caractère islamique à Pouytenga, Burkina Faso, suscite l'inquiétude en ligne après la diffusion d'une vidéo montrant des hommes en uniforme. La mission déclarée du groupe, incluant la sécurité lors d'événements religieux et la lutte contre le crime, rappelle les controversés groupes d'autodéfense koglweogos. Le prédicateur Dr. Isaac Kindo dément la formation d'un groupe permanent, affirmant qu'il s'agissait d'une organisation temporaire pour son prêche. Le ministère de la Sécurité a lancé une enquête approfondie sur cette situation.
Affaire "Sécurité Islamique" : le ministère de la sécurité suit de près l'évolution de la situation 25 mars 2018 Le Ministère de la Sécurité a publié un communiqué concernant des informations persistantes sur les réseaux sociaux faisant état de l'installation d'un groupe d'auto-défense nommé "Sécurité Islamique" à Pouytenga. Le ministère rassure le public que ses services suivent la situation de près et que des instructions fermes ont été données pour une investigation approfondie et des mesures éventuelles.
Affaire "Sécurité islamique" : quelques réactions d'internautes 26 mars 2018 La création d'une « sécurité islamique » à Pouytenga, au Burkina Faso, a suscité une vive indignation en ligne, malgré un communiqué du ministère de la Sécurité jugé insuffisant. Les internautes sont divisés : certains approuvent l'initiative (parfois ironiquement ou par comparaison avec les groupes d'autodéfense Koglweogo), tandis que d'autres s'inquiètent des risques pour la laïcité du pays et dans le contexte du terrorisme. Le texte souligne l'importance pour l'État de préserver la cohésion sociale et la laïcité du Burkina Faso face à cette situation sensible.
Affaire "sécurité islamique" à Pouytenga : la FAIB a rencontré les responsables 27 mars 2018 La Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) a enquêté sur une "Sécurité islamique" à Pouytenga, suscitant des inquiétudes publiques. Il s'agit d'un service d'ordre non armé du Mouvement sunnite local, destiné à sécuriser les mosquées et cérémonies religieuses, et dont l'existence est connue des autorités. Ses responsables nient toute vocation de milice ou de groupe d'autodéfense. Pour apaiser les tensions, 40 tenues ont été remises à la gendarmerie. La FAIB rassure l'opinion publique, appelant au calme et soulignant sa collaboration avec les autorités pour le maintien de l'ordre.
Affaire Charlie Hebdo : après les fous d'Allah, les fous de la liberté 20 septembre 2012 Ce texte analyse les vives controverses entourant la liberté d'expression, particulièrement en Occident, où son usage abusif par certains provoque des tensions et des conflits avec des communautés religieuses. Il critique la tolérance de la haine au nom de cette liberté et plaide pour une régulation responsable afin de prévenir les dérives, de promouvoir le dialogue interculturel et de combattre à la fois l'extrémisme religieux et l'incitation à la haine.
Affaire Charlie Hebdo : belle preuve d'œcuménisme à Bobo 26 janvier 2015 Suite au massacre de Charlie Hebdo et à la controverse mondiale suscitée par une nouvelle caricature du prophète, le Burkina Faso a été le théâtre de débats intenses. Un événement interreligieux majeur s'est tenu à Bobo-Dioulasso, où un évêque, un pasteur et un imam se sont unis pour promouvoir la tolérance et la retenue. Cependant, malgré ce symbole fort de dialogue, l'incident du drapeau français brûlé a rappelé la fragilité de la cohésion face au fanatisme et aux menaces régionales.
Affaire Charlie Hebdo : musulmans et chrétiens récitent les mêmes versets à Bobo 25 janvier 2015 Le 24 janvier 2015, des musulmans de Bobo-Dioulasso, au Burkina Faso, ont organisé une manifestation pacifique à la place Wara-Wara. Ils protestaient contre les caricatures du prophète Mahomet publiées par Charlie Hebdo en France, suite aux attentats de janvier 2015. L'événement a bénéficié du soutien d'autres confessions religieuses, soulignant son caractère interreligieux, bien que certains manifestants aient exprimé leur colère en brûlant le drapeau français.
Affaire CIM METAL Group : les explications du procureur du Faso 25 avril 2017 Le 24 avril 2017, le procureur du Faso a détaillé les raisons de l'arrestation, le 19 avril, d'Inoussa Kanazoé, P-DG de CIM METAL Group, et de plusieurs collaborateurs. L'enquête, déclenchée par des révélations de surfacturations à CIMFASO, a mené à des accusations de faux et usage de faux en écriture de commerce, tromperie du consommateur (ciment avarié), fraude fiscale, abus de confiance aggravé, usage frauduleux de numéro IFU et blanchiment des capitaux. Un juge d'instruction a été saisi pour les collaborateurs, tandis que M. Kanazoé est hospitalisé.
Affaire de parcelle au secteur 15 : le mur et la mosquée rasés 7 juin 2004 À Ouagadougou (secteur 15), une parcelle litigieuse destinée à la communauté (sport, maisons jeunes/femmes) a été libérée par la démolition de constructions illégales (clôture, maison, mosquée) malgré l'opposition d'une particulière. Cette action, soutenue par les autorités et les riverains après des années de lutte, a marqué le dénouement du conflit pour l'espace public.
Affaire de Pazani : selon le ministre Clément Sawadogo, le propriétaire légal a cédé volontairement son terrain 8 mai 2021 Le ministre burkinabè Clément Sawadogo a affirmé que Jacques Ouédraogo a volontairement cédé son terrain de Pazani contre compensation, un accord signé à l'appui. Cette déclaration intervient après que le gouvernement ait attribué le terrain litigieux à la Fédération des associations islamiques, une décision contestée par l'opposition et l'intersyndicale des magistrats qui y voient une remise en cause de l'indépendance judiciaire.
Affaire Inoussa Kanazoé 26 avril 2017 Le Conseil représentatif des associations de commerçants formels et informels a tenu une conférence de presse le 25 avril 2017 à Ouagadougou pour aborder l'affaire Inoussa Kanazoé, PDG de Kanis International, arrêté pour diverses accusations. Ils ont démenti la rumeur selon laquelle une plainte de Moussa Kouanda aurait causé son arrestation et ont appelé la justice à communiquer clairement sur le dossier et à libérer Kanazoé pendant que les procédures se poursuivent.
Affaire Inoussa Kanazoé : les précisions de ses avocats 27 avril 2017 Le collectif d'avocats de l'affaire CIMFASO/Inoussa Kanazoé conteste les déclarations publiques du procureur du Faso du 24 avril 2017. Ils réfutent l'idée que Kanazoé ait refusé de se soumettre à la justice, dénoncent des accusations portées prématurément et une poursuite sélective épargnant d'autres actionnaires. Les avocats affirment que Kanazoé et les autres mis en cause coopèrent pleinement et sont confiants que les charges infondées seront levées.
Affaire KANIS : ce qu'on reproche à Inoussa Kanazoé 24 avril 2017 Le procureur du Faso à Ouagadougou, Maïza Sérémé, a détaillé le 24 avril 2017 l'affaire Inoussa Kanazoé, suite à des révélations de surfacturations de plusieurs milliards de F CFA à CIMFASO. Une enquête a mené à l'arrestation de Kanazoé et de ses collaborateurs, accusés de faux et usage de faux, abus de confiance aggravé, tromperie du consommateur, fraude fiscale, usage frauduleux de numéro IFU, et blanchiment des capitaux, notamment via l'utilisation d'une société fictive pour la construction de CIMFASO, causant des pertes importantes à l'État. Tandis que Kanazoé est hospitalisé et refuse son déferrement, les autres suspects ont été présentés à un juge d'instruction, le procureur réaffirmant son engagement à poursuivre les crimes économiques et de sang.
Affaire mosquée de Panzani : les magistrats dénoncent un "grave précédent" 9 mai 2021 L'intersyndicale des magistrats burkinabè condamne la décision du gouvernement d'exproprier un terrain litigieux (sur lequel une mosquée avait été construite malgré un jugement ordonnant démolition) pour le céder à une fédération islamique. Ils dénoncent cette action comme une grave atteinte à l'indépendance et à l'autorité du pouvoir judiciaire et au respect de l'État de droit, appelant le gouvernement à garantir l'exécution des décisions de justice.
Affaire Norbert Zongo : appel des communautés coutumières et religieuses 20 janvier 1999 Réunies le 18 janvier 1999 à Ouagadougou, les autorités coutumières et religieuses du Burkina Faso, dont le Moro Naaba Baongo et l'Archevêque, ont publié un communiqué suite à la tragédie de Sapouy et à la crise nationale. Elles préconisent la pondération, le dialogue et le pardon comme seules solutions, appelant la population au calme et exhortant le gouvernement et le Collectif des organisations démocratiques à éviter la confrontation. Elles demandent également que toute la lumière soit faite sur le drame de Sapouy et expriment leurs condoléances aux familles endeuillées.
Affaire Norbert Zongo : où sont passés les sages du Collège? 10 septembre 2006 Le texte critique vivement l'abandon de la plainte dans le dossier Norbert Zongo, le considérant comme un déni de justice menaçant la paix sociale et sapant les efforts de réconciliation nationale au Burkina Faso. Il dénonce un manque de volonté politique et une peur de la vérité de la part du pouvoir, qui préfère la soumission à une véritable justice, notamment dans les affaires emblématiques de Norbert Zongo et Thomas Sankara. L'auteur suggère de relancer le dossier Zongo avec des juges indépendants et une assistance internationale, tout en soulignant les tentatives de manipulation pour empêcher la manifestation de la vérité.
Affaire Pazani : "Nous avons rendu officielle une décision concertée", ministre Clément Sawadogo 9 mai 2021 Le ministre Pegwendé Clément Sawadogo a détaillé l'affaire de la mosquée détruite à Pazani, liée à un conflit foncier. Un propriétaire légal (Ouédraogo) a obtenu une décision de justice pour démolir les constructions illégales d'un tiers (Guigma) qui incluait une mosquée. Face aux tensions après la démolition, le gouvernement est intervenu pour négocier la cession du terrain par le propriétaire, l'attribuant ensuite à la FAIB afin d'assurer l'apaisement.
Affaire Pazanni : les éclairages du ministre d’Etat 9 mai 2021 Lors d'un point de presse, le ministre Pengdwendé Clément Sawadogo a expliqué la décision gouvernementale sur un terrain disputé à Ouagadougou. Il a précisé que le gouvernement a respecté la décision de justice mais a agi pour gérer ses conséquences sociales, préservant la paix en attribuant le terrain à la FAIB par expropriation pour utilité publique après accord et compensation du propriétaire initial.
Affaire Zida/Armée : le premier round des concertations n'a pas abouti 17 juillet 2015 Une réunion des "sages" convoquée par le président Kafando le 9 juillet n'a pas réussi à rapprocher les positions entre les protagonistes (Zida et l'armée) concernant la crise politique. Face à cet échec, une nouvelle méthode est adoptée dès le 10 juillet : les sages écouteront individuellement toutes les parties prenantes (OSC, partis politiques, armée) afin de formuler des recommandations au président. L'objectif est d'assurer la paix sociale, la cohésion de l'armée et la poursuite de la transition vers les élections d'octobre 2015.
Affaires étrangères et coopération : tournée des États arabes 21 août 1981 Le Ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération, Félix TIEMTARBOUM, a entamé une tournée dans plusieurs pays arabes (Koweït, Qatar, Arabie Saoudite, Bahreïn) pour transmettre un message du Chef de l'État et rencontrer ses homologues, ainsi que des responsables d'organisations islamiques. Parallèlement, il a reçu l'Ambassadeur Le CANNELLIER pour une visite d'adieu, ce dernier quittant ses fonctions après quatre ans en Haute-Volta.
Affiche de la conférence "Rôle et place de la jeunesse musulmane dans la société" 3 juillet 2010 La Jamaat Ibadour Rahmane organise une conférence le samedi 3 juillet 2010 à 15h30 à la Maison des Jeunes et de la Culture du secteur 10. Le Docteur KINDO Mohamad y abordera le thème du "RÔLE ET PLACE DE LA JEUNESSE MUSULMANE DANS LA SOCIÉTÉ". L'événement vise à renforcer l'engagement pour la cause de l'Islam.